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Mei Lin Yuan
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L'ivoire de l'Empire pour un fou, l'avènement d'une nouvelle guerre (PV Shawn Llord) Empty

L'ivoire de l'Empire pour un fou, l'avènement d'une nouvelle guerre (PV Shawn Llord)

MessageSujet: L'ivoire de l'Empire pour un fou, l'avènement d'une nouvelle guerre (PV Shawn Llord) L'ivoire de l'Empire pour un fou, l'avènement d'une nouvelle guerre (PV Shawn Llord) EmptyJeu 22 Mar - 11:34




Shawn & Mei Lin

Mei Lin. Magnifique fleur de jade… C’était ignoble. Je combattais depuis que je savais marcher, j’avais la même puissance que tous les guerriers Khan du clan, y compris mes frères et mon géniteur, j’avais du sang sur les mains, et eux, m’appelaient comme une mignonne petite fleur. Avais-je l’air faible et fragile ? N’étais-je plus leur égale depuis la prise du trône ? Ou bien avaient-ils seulement voulu partir dans des traditions inutiles et néfastes pour notre véritable clan ? Je ne savais pas ce qui avait germé dans leur tête, mais ça ne me plaisait pas.

Sauf que je ne pouvais plus rien dire. J’étais désormais Mei Lin Yuan, la première héritière de sexe féminin, une petite princesse. Heureusement, seul le nom et le jour devaient voir la parfaite jeune fille bien élevée. J’étais toujours le scorpion de l’ombre dans l’armée de mon père. Heureusement pour ma mère, l’éducation de Kukachin lui permettait de s’occuper comme l’impératrice qu’elle était dans les danses, la broderie, l’art du thé, et les soieries. Je me prêtais quelque peu au jeu de jour, ne serait-ce que pour garder cet air impérieux et délicat des demoiselles du gynécée.

Hang Hua était celui qui avait le plus de mal à agir comme si c’était normal. Nous avions assis notre autorité et nos pouvoirs su le pays en quelques mois, mais lui et sa jeune femme semblaient regretté les Yourtes et le calme de la vie de nomade. Si c’était bien plus facile pour nourrir et chauffer l’endroit, puisque son épouse était fragile, le fait de toujours devoir être bien vêtu, propre sur soi, et maitre de chacune de ses émotions était déplaisant. Nous aimions rire, plaisanter, nous amuser, nous battre. Ce n’était pas très princier en effet, que de patauger dans la boue avec nos chevaux. Alors on faisait ça à l’abri des regards et de nuit, nous rendant aux écuries et aux jardins.

Cela faisait bientôt six mois que je vivais sous deux états. Princesse fragile de jour, assassin la nuit, j’avais l’impression de vivre un mensonge que seuls les Khan semblaient comprendre. Mon père avait pris une seconde épouse, et les choses devenaient étranges, des enfants naissaient sans même qu’il ne soit possiblement les siens, mais qui s’en souciait ? Mère n’était pas bien face à cette situation, nous avions toujours prôné la monogamie, car le cœur d’un homme ne peut aimer deux femmes de la même manière, et là, Kuroï Yuan… Notre ancien chef, détruisait tous nos principes.

Même Kothun, qui pourtant était née de la cinquième femme de son père était perturbée par ce fait. Mais aujourd’hui, nous avions mieux à faire. Aujourd’hui sonnait les premières festivités de l’automne pour le mois à venir. Ce soir, tous les chefs de clan se réuniraient dans la grande salle sous l’égide de notre Empereur. C’est pourquoi, toutes les femmes de la famille se préparaient en ce moment même, moi y compris, dans le gynécée avec l’aide de servantes. Evidemment, les nouvelles épouses de mon père avaient apportés une quantité faramineuse de bijoux et semblaient vouloir représenter la richesse et la beauté de leurs origines.

Elles étaient ridicules avec leur épaisse couche de maquillages et poudres, de soie et de bijoux désaccordés à leur vie. En lançant un regard à ma mère, qui pourtant avait presque quarante ans je constatais qu’elle resplendissait de fierté et de puissance. Chabui était bien plus belle et forte que toutes ces idiotes de quinze ans. Elle avait rehaussé sa chevelure noire en 6 chignons descendant les uns sur les autres avec des perles et des voiles, et sur son front, la coiffe des épousées du clan Khan reposait. Elle n’avait peint que ses lèvres, en rouge avec une flèche descendant vers le bas, et sa robe de soie fendue et brodée lui donnait cet aspect sans âge et délicat de la rose des Khan.

Elle portait trois manches, et ces dernières étaient lourdes, pour la danse traditionnelle organisée pour les chefs de clan qu’elle comptait faire. L’éclat du soleil recouvrait ma mère, bordées par les soieries rouges, or, et orangées. Kothun, elle, avait l’air un peu plus fragile, dans des teintes roses et violettes, sa chevelure était attachée en une queue haute avec un diadème sur le dessus, un diadème fleurit qui rehaussait son teint pâle. Quant à moi, je devais jouer deux rôles, alors j’étais la plus habillée. À la demande de ma petite cousine, j’avais accordé ma seconde tenue à la sienne.

Si la petite Kukachin portait du violet cependant sur ses robes, j’arborais du bleu, du violet et du blanc. Tout d’abord, des chausses serrées, un sarouel blanc assez lâche, et un bustier aux mailles plus que serrée pour me protéger des coups et des lames. Par-dessus, j’avais ajouté une longue jupe de lin blanche ainsi qu’une large tunique bleue aux longues manches, puis une seconde jupe, bleue nuit, quoique plus courte, elle remontait jusqu’en dessous de ma poitrine. Enfin, une sorte de bustier assez large violet, démarrant en dessous de ma poitrine et terminant sur mes hanches, enserrant donc l’ensemble. J’attachais le tout avec une ceinture violette plus clair, puis une seconde, turquoise. J’avais au moins l’air d’une fille tout en pouvant me déshabiller rapidement pour pouvoir bouger et combattre.

Dans la ceinture, j’avais placé mon arme, le kikuchi nari que l’on m’avait offert avant la guerre, au niveau de mon dos, en travers. J’étais peut-être une princesse, je restais cependant une combattante. De plus, la plupart des chefs de clans m’avaient déjà vu à l’œuvre. Ils savaient comment je me battais, pour avoir perdu des fils dans de nombreuses batailles par ma faute. On toqua à la porte, et certaines femmes de mon père se mirent à crier que ce n’était pas la place d’un homme. Je tournais la tête pour voir apparaitre deux de mes frères. Ryuki et Hang-Hua. Ils me firent signe d’approcher, chose que je fis en un bond.

« Le scorpion devra être prêt avant les autres, les fourmis arrivent plus tôt que prévu. » Je hochais la tête avec un air neutre sur le visage.

« Le scorpion rejoindra le serpent et le tigre dès que possible dans la grande salle » Les deux s’en furent, et je constatais que le regard d’or liquide de mon frère favori se posait sur son épouse avec inquiétude sur le pas de la porte. Elle avait l’air fragile et sur le point de tomber malade. Ma mère nous connaissait tous, et elle offrit un sourire à mes frères avant de recouvrir Kothun d’un large yukata de soie brodée violette pour lui tenir chaud.

Je m’occupais donc rapidement de ma coiffe, nouant ma longue chevelure en un chignon haut dont le reste des mèches descendait ensuite en cascade. Je nouais le tout avec des rubans de soie, un peigne de fleur de lys, et des perles de jades. C’est bon, j’étais presque prête, je mettrais les quelques bijoux que je devais porter en dernier, sur le chemin. Je saluais donc ma mère et mes sœurs par alliances, puis quittais le gynécée d’un pas vif. Mes ballerines de soie ne faisaient aucun bruit sur le sol, et c’était bien pratique, car je devais rejoindre rapidement la grande allée. Soit l’endroit où arrivaient les premiers invités, juste devant la grande salle. Les clans Li, Shi, Han et Kô approchaient avec leurs caravanes et fiacres décorés.

Je me postais à l’entrée avec mes frères, et attendis de voir les différents clans se mettre en ligne avec leurs membres devant l’entrée. On nous annonça que les portes allaient s’ouvrir, alors, nous nous mimes en routes vers la salle du trône pour rejoindre notre père. Il portait une tenue entièrement constituée d’or et de joyaux. À sa droite, sur un autre trône, notre mère, fière et parfaite. A la gauche, debout et armé, se trouvait dans l’ordre, Shunki, Shou, Ren et Sen, à la droite de notre mère, Hang-Hua, Ryuki et moi. Et aux pieds de notre père, ses dernières épouses. Inutile de dire qu’on aurait dit des prostituée…

Et devant nous vinrent se prosterner, un à un, les membres de chaque clans déjà présents et invités de l'Empire des Yuan.



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