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D'après les rumeurs, Le Généralissime King Bradley aurait été vu dans les jardins du Q.G, tondant la pelouse avec un tablier rose.
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(Mai 1911) Sur la route de la sainte journée (PV Salem) Sujet: (Mai 1911) Sur la route de la sainte journée (PV Salem) Sam 20 Oct - 10:58 (Rp souvenir, le Rp se passe à ses 19 ans presque 20 ans, dans le présent il en a 22. Gabriel ressemble encore à un ado à cette époque et est moins bien coiffé et moins bien habillé Lol) Gabriel stressait un peu, plein de doutes, même si cela faisait maintenant quatre mois qu'il avait quitté le foyer familial chaud et réconfortant pour les nuits froides, mais excitantes du voyage. Le jeune homme avait déjà aidé des gens en les soignant. Cela les avait surpris quand Gabriel n'avait rien demandé en échange. Le couple, reconnaissant qu’il ai sauvé leur enfant, avait insisté pour lui donner des provisions.
Et depuis quatre mois, Gabriel faisait ainsi, en aidant les gens sans rien demander. Il recevait, en plus de la satisfaction de voir ses patients heureux, de la nourriture, parfois de l’argent même si c’était peu. Le dernier patient, un cordonnier, lui avait offert une bonne paire de chaussures, lui assurant qu’elles dureraient entre deux et trois ans de marche intensive sans problème. Bien sûr, Gabriel n'avait pas accepté… Enfin si, après que l’homme ai insisté. Alors le blond l'avait remercié et avait reprit la route.
Chaque nuit, il retirait ses précieuses chaussures et grimpait aux arbres sous sa forme féline. Il s’étirait et faisait ses griffes. Il allait jusqu’à chasser s’il n’avait pas mangé depuis plusieurs jours.
Aujourd’hui était un jour comme les autres. Au matin, le jeune docteur se réveilla sur une branche d’arbre. Il s’étira et sauta au sol avec ses deux sacs. Il bailla sur le chemin de la rivière et alla se laver. Une fois propre, sec et habillé, Gabriel reprit la route, direction Youswell ! Il ne savait pas ce qu’il y trouverait, mais espérait au moins une banque et un téléphone pour appeler son père. Celui-ci lui versait de l’argent tous les mois, car il avait trop peur que son petit chat manque de trop de choses. Bien sûr, Gabriel l’empruntait rarement. Mais là, c’était trop la dèche ! Il lui fallait acheter un nouveau pantalon, le sien étant trop vieux, prêt à craquer. Les pantalons étaient ce qui s’usait le plus vite, d’ailleurs.
Avec une carte du pays en main, assis sous son arbre, Gabriel repéra le chemin tout en mangeant un bout de viande séché. Son dernier. Enfin, il se releva et rangea le papier dans son sac à dos. Cette fois-ci, c’était la bonne ! Il quitta son campement de fortune et rejoignit la route, marchant ainsi sur le bord du chemin. Il savait qu’à pied, il dormirait encore une nuit dehors avant d'arriver à destination. À moins que…
Le jeune homme se retourna en entendant des pas. Ho, un cheval et une carriole… Pleine à craquer ! Le coché avait déjà un passager. Celui-ci s'arrêta à hauteur du blond.
Coché : Bonjour ! Où tu vas, mon garçon, comme ça ?
- Bonjour ! je vais à Youswell !
Coché : À pied ? Ha, tu n'as pas fini, au prochain croisement prend à gauche et rejoins la route parallèle, là il y a des voitures qui passent, parfois. Tu trouveras peut-être quelqu'un pour t'aider. Malheureusement, moi, je ne peux pas.
- Ha ! Merci pour l'astuce ! Ne vous en faites pas, j'ai l'habitude de marcher.
Coché : De rien ! Fais attention, quand même.
Puis l'homme reprit la route avec sa monture, son passager et sa cargaison.
Gabriel, reconnaissant, s'inclina en les laissant partir puis reprit sa marche. C'est sur les coups de midi qu'il arriva au croisement et prit à gauche, le chemin était étroit et broussailleux, mais il parvint a s’en extirper et à arriver sur une route faite pour la circulation. Le blondinet retira des feuilles et petites branches de ses cheveux et les recoiffa rapidement. Il tendit l'oreille... Ho, une voiture !!! Marchant à reculons, il fit alors de grands gestes pour que le véhicule s'arrête.
- Excusez-moi ! Passez-vous par Youswell ? Pourriez-vous m'y déposer ?
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(Mai 1911) Sur la route de la sainte journée (PV Salem) Sujet: Re: (Mai 1911) Sur la route de la sainte journée (PV Salem) Sam 20 Oct - 15:49 Le printemps était agréable. Il avait un goût d’évasion, de renouveau. Cela semblait essentiel en cette période trouble et Salem avait saisit une opportunité de voyage. L’excursion n’avait jamais été aussi trépidante qu'à cet instant où le jeune homme reposait ses mains contre le gigantesque volant en cuir d'une chevrolet flambant neuve ! Le bruit du moteur lui arrachait des frissons d'exaltation tandis que son pied s'enfonçait au maximum sur la pédale d'accélération. La marque de la voiture venait à peine d'être imprimée sur les papiers du brevet, mais Salem se retrouvait tout de même en possession d'un de ces bijoux. Le mystère restait entier pour quiconque le voyait faire de l'extérieur.
Lui qui était habituellement peu loquace se laissa à quelques sourires intrépides sous le masque de cuir qui recouvrait la moitié de son visage. Seuls ses yeux reflétaient l'excitation de la vitesse et l'adrénaline. À une telle vitesse, il ne parvenait pas à sentir les phéromones alentours. Peu à peu, le chemin s'éclaircit et les arbres se firent moins denses sur les rebords. La silhouette d'un individu devint évidente sur le bas côté. Salem ralentit. Il s'arrêta, alerté par les grands gestes de Gabriel et éteignit le moteur bien trop bruyant pour parvenir à entendre quoi que ce soit. Brutalement, toutes les odeurs qu'il ne parvenait pas à sentir jusque ici lui explosèrent au visage. Sa langue bifide s'animait sous le pourtour de son masque de cuir, reniflant avec avidité cette étrange effluve… Ce n'était pas tant bizarre de sentir les phéromones laissées ci et là par quelques félins, mais ce qui était d'avantage préoccupant était que cette particularité venait du garçon qui se tenait à présent devant lui. Celui-ci devait avoir une sacrée compotée de chats à la maison !
« Monte. »
Il répondit brièvement et n'attendit pas que le jeune homme pose ses fesses sur le côté passager pour se lever de son siège. Salem fit le tour de la voiture, passant ses doigts le long de la carrosserie noire et brillante. Les arbres se reflétaient à l'intérieur comme dans un miroir. Lorsqu'il revint vers sa portière, Salem retira la carte en papier qui s'y cachait et l'étala sur le capot de la chevrolet.
« Yousssswell... »
Il examina un petit moment le chemin le plus court jusqu'au village réputé pour ses mines. Cela pouvait être intéressant d'y faire un tour, ne serait-ce que pour voir du paysage. Il espérait simplement que tout se passerait bien. Lorsqu’il releva les yeux sur Gabriel, assis dans l'automobile, il chercha à déterminer si leur entente pourrait être bonne durant le voyage. Salem avait un regard glacial, dominé par des yeux aussi clairs que fendus en leur milieu. Cette particularité le suivait au-delà de sa cause chimérique. Depuis toujours. Pourtant, nullement agressif, il retourna dans la voiture, prêt à prendre la route. Un silence mortifié s'installa entre les deux passagers. Salem savait qu'il n'était pas doué pour la causette. Il fouilla dans la poche de sa portière et attrapa un sachet en papier qu'il posa sur les genoux du jeune homme. C'était du pain. Il n'avait rien d'autre à offrir et maintenant que Gabriel était là, il ne pouvait de toute façon pas retirer son masque pour en manger au risque de le faire fuir ! Depuis que Salem était une chimère, il avait malheureusement la bouche déformée par un sourire aussi opulent qu'effrayant à l'image du serpent qui fut transmuté avec lui. Sa langue bifide faisait des va-et-vient à sa guise dans la cavité de son masque, laissant au passage un bruit de sifflement très caractéristique chaque fois que cela se produisait. Mais lorsque Salem ralluma le moteur de la chevrolet, il savait que ce bruit serait vite étouffé par l'arrogance de l'automobile.
Ils reprirent la route. Salem réajusta son manteau sur ses épaules, rentrant le bec dans son cou de fourrure noire. Il était perturbé par cette odeur persistante et féline. - Spoiler:
Chevrolet 1911
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(Mai 1911) Sur la route de la sainte journée (PV Salem) Sujet: Re: (Mai 1911) Sur la route de la sainte journée (PV Salem) Dim 2 Déc - 18:13 C'était quoi cette odeur . Des phéromones ? Il sentait tous les poils de son corps se hérisser, mais cet homme était son salut. Et quelque chose lui disait qu'il était un individu gentil. Mais pourquoi cette peur qui le prenait aux tripes ? C'était ses sens félins qui s'agitaient, Luna qui lui miaulait « cours ! » mais il balaya tout ça d'un geste imaginaire et préféra fermer ses sens félins pour rester avec ceux humains.
Et en parlant de sens humains, ils appréciaient la belle voiture. La carrosserie aussi brillante qu'un miroir, ou le blond put se voir, et retirer des feuilles récalcitrantes et fermement accrocher à sa tignasse. Le jeune homme se recoiffa, enfin ébouriffa ses cheveux, puis pendant que l'autre regardait sa carte, il se permit de faire glissa sa main sur le cuir du siège, ça sentait le neuf. Quelle marque était-ce ? Il ne savait pas, mais elle était belle. Le félin posa ses deux sacs sur la banquette à l’arrière. Puis il posa son fessier sur le siège et s’installa, savourant ce petit moment ou enfin ses jambes allaient pouvoir se reposer.
Ha enfin, visiblement le brun avait trouvé un chemin. Décidément il lui sauvait la vie. Quand la voiture démarra et que le vent fouetta leurs visages, il ne ressentait plus cette peur. Les yeux fermé il les raient ouvrit en sentant qu'on lui posait un truc sur les genoux. Du... pain ? C'était curieux, oui il avait faim mais du pain, heu... pas trop son alimentation.
- Merci !
Dit le blond par automatisme, Il prit le sachet et le referma bien puis le posa entre eux.
- Je m'appelle Gabriel et vous ?
Une question somme toute très simple et pourtant utilisée depuis des centaines et des centaines d'années si ce n'est plus pour engager la conversation.
- Cette voiture est vraiment fabuleuse !
Continua l'auto-stoppeur en s'étirant, tirant ses mains et bras vers le haut puis les fait redescendre vers Bas. Hum il était bon de profiter du soleil et du vent à la fois, de se déplacer sans marcher. Bien que cela ne le dérange pas de marcher. Il se tenait au siège en plaçant ses mains sous ses genoux, le dos bien droit, penchez un peux en avant, le nez au vent il ferma les yeux profitant de la caresse de celui-ci sur sa frimousse. Gabriel se sentait enivré par la vitesse même s'il ne conduisait pas. A vrai dire il ne savait pas conduire de toute façon.
En tout cas une chose de sur, ils devraient arriver à Yoursell avant la nuit. Là il appellerait son père pour le rassurer et direction la banque. Dommage que son chauffeur et interlocuteur ne soit pas plus bavard, le chat se demandait aussi ce qu'il cachait sous ce masque. Mais il avait la politesse de ne pas demander même s'il était curieux. Mais qu'importe, il préférait pensé que ce soir il irait manger un bon steak.
Gabriel vains à se surprendre que ses pensées était chaotique passant de la coque à l’âne sans distinction. Peux être était-il plus fatigué qu'il ne le pensait. Peu importe, profitons de ce moment agréable.
( Désoler c'est court, deux personnages pas communicatifs ça aide par Lol) |
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(Mai 1911) Sur la route de la sainte journée (PV Salem) Sujet: Re: (Mai 1911) Sur la route de la sainte journée (PV Salem) |
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