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D'après les rumeurs, Le Généralissime King Bradley aurait été vu dans les jardins du Q.G, tondant la pelouse avec un tablier rose.
Témoin effrayé - "Faites attention à vous ! Scar n'est pas un véritable humain, c'est un Dalek déguisé... Fuyons !!!" "EXTERMINATE"
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Quand les civiles aident les militaires [pv Félicité] Sujet: Quand les civiles aident les militaires [pv Félicité] Mar 9 Sep - 15:41 Comment pouvaient-ils être ? Grands ? barbu ? le regard froid et distant ou plutôt amical ? Il faut dire qu'il y a tellement de possibilité que c'est amusant de se faire des idées, d'imaginer le visage parfait, ou celui que l'on préfère... Aujourd'hui, je me rends à L'Ouest sur l'invitation de Kazu. Il m'a indiqué hier que son frère connaissait aussi bien l'elixiologie et qu'il avait accepté de me dévoiler quelques unes de ses capacités. C'était une belle occasion à ne pas rater ! Du coup, le lendemain, j'ai rassemblé quelques affaires, et me voilà en route. Accoudée au bord de fenêtre du train, je laisse mon imagination me faire sourire en me présentant ses plus folles idées sur l'apparence et le caractère potentiels de ce fameux frère.
Une fois arrivée à destination, je sors et prends un bon bol d'air. Pour la première fois, je peux admirer le paysage de West City, endroit où je n'avais encore jamais mis les pieds. C'est vrai que je n'ai jamais eu l'occasion d'aller rendre visite à la famille du couple qui nous a recueilli, et je n'ai jamais eu intérêt à me diriger dans cette direction. Le sourire au lèvre, j'admire encore un instant, le paysage avant de sortir le plan pour me guider jusqu'à la maison de Miko, le frère de Kazu.
Enfin... si on peut appeler ça un plan. C'est plutôt un gribouilli fait à la hâte la vieille, lors du repas, ce qui a eu pour effet de bien amuser Shosuke. Il se moquait de Kazu en lui disant que ses dessins étaient mieux. à voir... Je tourne la feuille dans tout les sens, espérant retrouver la gare sur cette oeuvre d'art. Lorsqu'il me semble l'avoir trouver, mais sans grande conviction, je commence à marcher et emprunter les rues qui paraissent correctes d'après le plan. Mais après une petit demi-heure de marche, je me rends compte que je me suis perdue.
Je m'assied sur un banc et soupire. Autant lui m'a appris l'elixiologie, autant je pourrais lui apprendre les bases du dessin. Ce qui fait que je me retrouve en terrain inconnu sans aucune idée du chemin à prendre. Je ne sais que le nom et le prénom du frère de Kazu. Bah au moins, c'est déjà ça... Il ne reste plus qu'à espérer que quelqu'un par ici le connaisse. Poussant un second soupir, je me relève et pars à la recherche d'indications. Empruntant les rues un peu au hasard, je finis par tomber sur une femme accompagnée d'un chien fièrement aux côtés de son maître. Je décide de m'approcher. Gardant un oeil sur se cher canin, par précaution, sais-ton jamais, je me lance.
Euh... excusez-moi Madame, vous êtes de la région ? Je cherche la maison de Miko Himuka, ça vous dit quelque chose ? |
| | | Who am i !
Notes Ticket de Loterie: Succès:
Quand les civiles aident les militaires [pv Félicité] Sujet: Re: Quand les civiles aident les militaires [pv Félicité] Sam 13 Sep - 19:06 Jour de congé. Cela veut tout dire. Félicité s'était levée ce matin de bonne humeur mais celle-ci régressait au fur et à mesure que la journée passait. Depuis hier soir, Crochet se sentait mal. Lui qui est, d'habitude, si joueur n'est plus que l'ombre de lui-même. Il n'a même pas mangé sa gamelle ce matin et daigne seulement se lever de son panier quand Félicité sort les poubelles. Septique, elle l'observe longuement, là, debout devant lui. Il lève les yeux vers elle d'un air flegmatique et la questionne silencieusement. Félicité regarde la pendule au dessus de son frigo. Il est treize heures et d'habitude à cette heure-ci, Crochet se précipite vers la porte d'entrée afin de sortir se promener avec la langue en dehors de sa gueule et les yeux pétillants. La jeune femme rabaisse le regard sur le chien qui n'a rien d'un joyeux toutou très impatient de sortir. La gueule fermée, il garde les yeux rivés sur elle.
"- Hummm...."
Crochet l'entend bien septique mais ne peut pas démentir sur son état ni même lui faire un rapport médical détaillé. Il se contente donc de papillonner des oreilles et de pencher la tête sur le côté.
*Tu vois ? Aller, devine un peu...*
Elle s'agenouille devant lui et passe sa main sur son pelage de jais.
"- Qu'est-ce qui va pas mon bébé ? lui demande t-elle, suppliante" Crochet la scrute toujours. Félicité attrape une croquette dans la gamelle de son chien et la met sous le museau de celui-ci. Il la renifle scrupuleusement avant de reposer lentement sa tête contre sa patte. Découragée, la jeune femme se relève en jetant la croquette dans la gamelle et soupire. Elle attrape d'une main son manteau de cuir et de l'autre son chapeau.
"- Allons faire un tour avant que tu ne vieillisse ici, lui dit-elle avant de siffler"
Le signal oblige Crochet à se lever. Il sort lentement du studio, la tête basse. Félicité rabat son chapeau sur sa tête et termine d'enfiler sa manche de veste avant de tourner ses clés dans la serrure. Une fois dehors, elle caresse gentiment Crochet dans le cou. Intérieurement, elle se promet d'aller illico chez un vétérinaire si dans une heure, il se comporte encore de cette manière. Ce n'est décidément pas normal. Ils firent le tour du parc, l'un devant l'autre. Crochet restait en retrait. Il croisait le regard des passants, tantôt surpris, tantôt peinés. Une heure et demie passa alors que Félicité sortait une cigarette de sa poche. Elle l'allume alors discrètement. Crochet ouvrit enfin la gueule afin de lui japper faiblement après.
"- Oui, je sais, c'est pas bien de fumer... répondit-elle en lui renvoyant un regard de côté"
Les babines de son compagnon se soulevèrent rapidement suite à un bref aboiement qui signifiait sa réponse. Ils quittèrent le parc tranquillement en prenant le petit chemin traversé de pavés bordeaux. Soudain Crochet relève la tête. Une personne c'est arrêté devant eux. Une jeune femme visiblement perdue. Un papier à la main et le regard méfiant envers de son compagnon canin elle lui demande poliment si elle est de la région et si elle ne connait pas une personne du nom de Miko Himuka. Félicité voit bien que la jeune femme ne semble pas très à l'aise dans sa situation de la femme "perdue dans un coin paumé avec en guise de guide number one, une promeneuse de chien plutôt douteux". Le regard qu'elle avait pour ce pauvre Crochet fit rire Félicité qui lui répondit;
"- Vous demandez ça à mon chien ou à moi ?"
Soudain, Crochet déglutit et s'allonge sur le côté. Sa respiration est saccadée. Des plaintes aiguës lui sortent de la gueule. Félicité s'agenouille à ses côtés et en oubli sa plaisanterie.
"- Crochet ! appelle t-elle à plusieurs reprises"
Les larmes lui montent aux yeux et sa gorge est brusquement très serrée. Elle sert entre ses doigts le long pelage noir de l'animal et se penche vers lui;
"- On va te trouver un médecin mon bébé !" |
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Quand les civiles aident les militaires [pv Félicité] Sujet: Re: Quand les civiles aident les militaires [pv Félicité] Mar 23 Sep - 20:30 À voir cette pauvre bête, elle ne semblait pas être au sommet de sa forme. Une sorte de lassitude ressortait à travers ses petits yeux. C'est comme si une bataille intérieure se passait en lui. Des étrangers franchissent la porte interdite, et les gardes prennent toute l'énergie de ce pauvre être pour défendre le territoire. Résultat, les ressources s'épuisent et bientôt les ennemies auront le dessus. Voilà ce que je pensais en regardant ce chien qui m'inspirait de la méfiance au premier coup d'oeil. Succède à cette appréhension une certaine pitié.
"- Vous demandez ça à mon chien ou à moi ?"
Mes yeux court jusqu'à la source de cette voix. Obsédée par l'état de son compagnon, j'en avais complètement oubliée la dame à qui j'avais posé une question. Je bredouille une réponse incompréhensible, un peu sous l'effet de la timidité, avant de replonger dans ma réflexion en me demandant si cette jeune femme avait déjà songé à agir pour le soigner. Mais la réponse tombe d'elle-même soudainement, lorsque l'animal commence à s'allonger et respirer bruyamment. Son maître s'alerte immédiatemment et s'agenouille à ses côtés, l'appelant comme si elle voulais l'extirper des mains de la mort. Je sens toute l'émotion qui se dégage de la jeune femme et sa dernière phrase allume une lumière dans mon cerveau.
Un médecin... mais il est là le médecin, devant eux ! Instantanément, je sors une fiole de ma sacoche et m'approche de la bête. Je m'assied à ses côtés et pose une main sur l'épaule de son maître.
Laissez-moi faire, je pratique l'élixiologie madame
À ces mots, bizarrement, une joie et une fierté jaillissent en moi. C'est toujours comme ça quand je soigne des gens dans la rue. Je les dissimule pour ne pas leur faire croire que je me réjouie de leur mal, mais ces sentiments sont bien là. Et il me rappelle que même si je ne suis pas forte au combat, je peux aider autrement. Et cette aide est autant précieuse qu'une aide armée.
Je me penche doucement et pose ma tête sur le flan de l'animal. Apparemment, son coeur bat normallement. Le problème est ailleurs. Je me relève et tâte gentiment quelques parties de son corps. Soudain, alors que je touche la nuque, une plainte aïgu sort des poumons du blessés. Une plainte plus aïgue qu'avant. Un peu surprise, je sursaute, mais comprends bien vite.
J'ouvre ma fiole et en extrait un petit peu de produit que je manipule avec mes doigts. Le liquide prend une teinte bleu clair, légèrement fluorescente. Avec toute la précaution dont je peux faire preuve, j'amène le soin jusqu'à l'endroit douloureux. Puis j'enchaîne un mouvement des doigts qui fait bouger et agir le liquide. Tout en me concentrant sur ce que je faisais, je m'adresse à la jeune femme qui me regardait, visiblement étonnée qu'une fille de 17 ans maîtrise autant l'élixiologie. Je parle en souriant.
Ne vous inquiétez pas, je sais ce que je fais, l'homme qui m'héberge m'a tout appris. Votre ami va bientôt pouvoir garder à nouveau votre maison finit-je en rigolant doucement
Le chien est toujours couché, il semble à nouveau respirer et se calmer. Mon sourire s'agrandit à cette constatation. Avec fierté, je me dis qu'une fois de plus, je suis utile et peut apporter le bonheur aux gens que je désire aider. Quelle délicieuse pensée ! |
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Quand les civiles aident les militaires [pv Félicité] Sujet: Re: Quand les civiles aident les militaires [pv Félicité] |
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