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Trois brins de folie pour un grain de génie !

MessageSujet: Trois brins de folie pour un grain de génie ! Trois brins de folie pour un grain de génie ! EmptyDim 1 Avr - 8:38
Elizabeth Colt

Âge : 27 ans
Nationalité : Amestrien
Métier : Ingénieur spécialisée dans les armes
Etat civil : Célibataire
Spécialité : Mécanique, physique, inventions en tout genre.
Objectif : Créer les meilleures armes de l'histoire Amestrienne et accesoirement devenir l'ingénieur la plus connue de l'Histoire tant qu'à faire.
Groupe : Civil
Caractère

Qualités - Intelligente - Sens de l'empathie développé - Volontaire - Persistente - Honnête - Vive
Défauts - Tête de mule - Orgueilleuse - Mauvaise perdante - Veut toujours avoir raison - Maladroite - Brute de décoffrage

Elizabeth n’est pas une personne difficile à comprendre. Elle a un objectif dans la vie et est bien décidée à l’atteindre. Et aucune distraction ne réussira à la détourner de son chemin. A côté de ça... Dans ses relations avec les autres la jeune femme a toujours fait preuve d’une grande maladresse, et ce depuis toute petite. La rouquine est experte dans l’art de se mettre les gens à dos, faute à sa sale manie de s’exprimer avant de penser. Aussi ne le pensera-t-elle pas deux fois avant de vous dire qu’elle vous trouve complètement stupide. Même si elle en sera désolée après coup. Sans nul doute, cet aspect de sa personnalité est le plus handicapant et Lizzie fait de son mieux pour travailler dessus, avec un succès somme toute mitigé.

Sans doute pour cette même raison la jeune femme n’est pas très sociable, et se sent assez mal à l’aise entourée d’un trop grand nombre de personnes inconnues. Pour ce qui est de son caractère en soi... Lizzie a énormément de mal à accepter la critique et a tendance à se vexer comme un pou si on ne lui fait pas cas. Elle est également grognon et aime râler pour rien. A côté de ça, la jeune chercheuse est une personne extrêmement loyale, que ce soit à sa patrie, sa famille ou à ses rares amis qu’elle n’hésitera pas à défendre bec et ongles.

Assez renfermée et ayant tendance à se couper du monde quand elle pense à ses inventions, ce n’est pas la personne la plus facile d’approche quand elle a les yeux dans le vague et la tête dans les étoiles. Ce qu’on ne peut lui enlever c’est une intelligence certaine, tant théorique que pratique, et le moins qu’on puisse dire c’est que malgré ses airs d’adolescentes Elizabeth est tout sauf naïve. Et c’est bien souvent pour cette même vivacité d’esprit qui la fait penser toujours à mille choses à la fois que les conversations vides ont tendance à l’ennuyer à mourir.

Un peu étrange donc, mais attachante dans le fond, la militaire est surtout une grande incomprise. Beaucoup pensent qu’elle se croit meilleure que tout le monde ou qu’elle les prend de haut, mais ce n’est jamais volontaire de sa part. Simplement, elle a parfois du mal à trouver les gens intéressants, ce qui n’est pas vraiment de sa faute si ? Fait qui explique également le désert sentimental de ses relations. Mais à presque vingt-huit, Elizabeth commence tout doucement à s’avouer que ce fichu caractère renfermé et grognon lui complique bien la vie. Son horloge biologique commence tout doucement à s’affoler dans le fond de son cerveau, essayant peu à peu de la convaincre que viendra le jour où son travail ne suffira plus à la satisfaire. Pour le moment elle esssaye de ne pas faire cas et de penser que son chien lui suffit comme compagnie.

On ne peut pas dire non plus que la militaire a eu une vie malheureuse malgré ce petit bémol. Malgré les adversités qu’ils ont traversé pendant son enfance, la famille Colt a toujours fini par s’en sortir haut la main. Et ce caractère de battante lui est resté. Une autre chose qu’elle a ressorti des passages difficiles de son enfance et adolescence est une grande sensibilité. Elizabeth a extrêmement de mal à tolérer les injustices et, sans posséder l’âme d’une justiciaire, ne restera pas les bras croisés en voyant une personne lésée ou tout simplement malheureuse.

Capacités & Inventaire

En réalité, mis à part un cerveau brillant et un caractère d'ours mal léché, Elizabeth ne possède aucun autre don.
Inventaire : Toujours du chocolat dans les poches


Histoire


Physique : Elizabeth, ou Lizzie de son p’tit nom, n’est pas vraiment ce qu’on pouvait appeler une belle femme. Pas bien grande, atteignant avec peine le mètre soixante-deux, c’est surtout la chevelure flamboyante héritée de sa mère qui lui permet d’attirer les regards. Ses cheveux sont d’ailleurs longs, lisses, sains et brillants, se propulsant sans doute à la partie de son corps recevant le plus de soin et d’attention. Quant au reste... Malgré sa vie plutôt sédentaire le mélange d’un tirage chanceux à la génétique et de sa nouvelle décision de se mettre à la boxe trois fois par semaine résultait en un corps plutôt mince malgré des hanches un peu trop généreuses. Et une poitrine ni trop grande ni trop petite, des plus banales malheureusemnt, sinon ça aurait au moins fait équilibré entre le haut et le bas mais on peut pas tout avoir hein.

Son visage, lui, retient un peu plus l’attention, à commencer par la cicatrice longue de cinq centimètres qui lui barre la joue gauche, remontant jusqu’à son oreille à laquelle il manque un bon bout. Mais en général seule la cicatrice sur sa joue est visible, Lizzie prenant soin de cacher l'oreille déchiquetée sous son abondante masse rousse. Bien entendu, comme la plupart des femmes, Elizabeth a tendance à à voir bien plus grande et horrible cette balafre qu’elle ne l’est réellement. Mais pour se consoler elle préfére penser aux dires de sa chère maman qui affirme que cette marque lui donne du caractère. Ce à quoi sa génétrice ne manque jamais d'ajouter avec sarcasme « Pas comme si tu en avais besoin mais bon ! ».

Le reste des traits de son visage ovale sontt harmonieux, étrangement doux, lui donnant une allure juvénile que l’on pourrait presque qualifier d’enfantine. En même temps sa peau d’un blanc crémeux éclairée par des tâches de rousseurs espiègles sur son nez et ses pommettes n’aident pas vraiment à la faire paraître plus vieille. Une bouche à la lippe épaisse et un peu boudeuse ainsi que des yeux d’un noisette presque doré à l’expression vive et intelligente viennent compléter le tableau. Son nez est droit, sa mâchoire petite et ses sourcils épais, bien souvent froncés d’une manière concentrée. Oh, et n’oublions pas un sourire aux dents un peu de travers, une canine ayant décidé de chevaucher les incisives. Non, décidemment, Lizzie n’est pas vraiment belle. Mais on ne peut pas lui enlever qu’elle a du chien... Ou en tout cas, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas commune.

Niveau vêtements, Elizabeth aiment les vêtements confortables et il est extrêmement rare de la voir porter jupes ou talons. Sinon dans le cadre du travail, elle aime porter la fameuse blouse blanche des chercheurs bien qu'elle n'ait que très rarement besoin de manipuler des ingrédients liquides ou corrosifs. Pas de bijoux. Pas de maquillage. Ce genre de chose l’ennuit plus que tout. Par contre les deux derniers doigts de sa main gauche, automails, brillent presque de la maintenance assidue qu’elle leur otorgue quotidiennement.

Histoire :
« Lizzie viens-ici ! » représentait sans nul doute la phrase la plus répétée par les parents d’Elizabeth pendant toute son enfance. Du moment qu’elle apprit à marcher la rouquine devint incontrôlable au grand damne de sa mère qui ne savait plus quoi en faire. Entre son atelier d’automail, un mari dépressif, des dettes par-dessus la tête, la maîtresse de maison avait déjà bien assez de quoi s’occuper. Chevelure et caractère ardent, vaillante comme pas deux et l’une des meilleure mécanicienne d’automail d’Amestris, Geneviève Colt sera pour toujours le modèle et plus grand héros d’Elizabeth. Ce sera d’ailleurs de sa mère que la jeune femme héritera sa forte passion pour la mécanique et son sens de la débrouille. Mais de trois à treize ans Lizzie fut surtout la bambine la plus casse-pied du quartier. Sa pauvre génétrice avait l’habitude d’affirmer de ne pas savoir ce qui avait été le pire, qu’elle apprenne à marcher ou à parler. Enfin, à brailler, serait plutôt le terme juste.

Pourtant, Geneviève avait beau s’en plaindre à ses voisins en roulant des gros yeux et se lamenter des pots cassés (car en plus d’énergique, sa fille s’était révélée d’une maladresse accablante...), dans le fond elle était plutôt contente de voir son petit bout de chou mettre autant de vie dans la maison. Depuis que son époux, Ronan, avait perdu la vue suite à une terrible maladie dégénérative, Elizabeth et ses gaffes intempestives semblaient être les seules choses capables de faire se relever en un doux sourire le pli triste de ses lèvres. C’était terrible pour Geneviève qui ne pouvait s’empêcher de penser que si son mari avait perdu presque n’importe quoi d’autre elle aurait été capable de le remplacer par un automail. Mais à ce jour, personne n’avait réussi à inventer un oeil mécanique, et tous les traitements, alchimiques ou non, avaient échoué à stopper l’avancée de cette terrible cécité. C’était Ronan qui avait déclaré qu’il ne souhaitait plus tenter aucune sorte de nouveau traitement malgré l’insistance de sa femme : ils s’étaient déjà endetté jusqu’au cou sans aucun résultat et il était grand temps d’arrêter ce cirque sans fin de docteurs et charlatans. Sinon il ne faisait aucun doute qu’ils n’arriveraient jamais à rembourser leurs dettes. D’autant plus que sans sa vue Ronan, travaillant dans les mines de charbon, se retrouvait sans travail du jour au lendemain.

C’était donc dans cette ambiance qui n’était pas toujours au beau fixe que la future ingénieur avait grandi. Elizabeth était extrêmement sensible sous ses airs de gaffeuse caractérielle. Et elle s’était rendue compte très jeune de la tristesse qui noyait le visage prématurément vieilli de son père. C’était donc avec une énergie têtue que la petite fille s’efforçait à chasser cette sombre mélancolie. Babillante, toujours de bonne humeur, il était difficile de ne pas être contaminé par sa joie de vivre. De plus, Lizzie s’intéressa très vite à tout ce qui l’entourait, plongeant le nez dans les livres de sa mère dès qu’elle sut lire. Voir sa génétrice travailler fascinait à la petite fille, et, bien vite, Geneviève se retrouva avec la gamine fourrée dans les pattes à chaque fois qu’elle travaillait sur une de ses prothèses, que ce soit pendant l’étape de création ou d’ajustement ou de pose. Et étrangement l’hyperactivité d’Elizabeth semblait alors se calmer comme par magie. Bien vite Geneviève la laissa l’assister dans les tâches les plus simples et fut surprise de son adresse et concentration. Un peu orgueilleuse aussi, comme n’importe quelle bonne mère.

Quand Elizabeth eut quatorze ans, la guerre civile éclata à l’est. Obligés de déménager car leurs créditeurs, effrayés par le conflit, ne souhaitaient plus attendre le remboursement de leurs prêts. Et Geneviève et Ronan étant deux personnes fort orgueilleuses, il était hors de question qu’ils aillent supplier un délai ou pleurer un peu d’argent ailleurs. A la place ils laissèrent leur belle maison aux vautours qui leur tournaient autour depuis plusieurs années et se retrouvèrent basiquement à la rue.

Sans même parler du fait que Lizzie se trouvait dans un âge difficile ou que personne ne l’avait consulté sur cette décision, la situation en soi suffit à balayer avec la violence d’une gifle la joie de vivre dont elle avait fait preuve jusque là. Et pour cause, après avoir vagué sur les chemins pendant plusieurs mois, la petite famille finit par emménager dans une cabane en bois dans les bas-quartiers de Centrale. A peine mieux qu’un taudis en réalité. Mais ni Geneviève, ni Elizabeth n’étaient prêtes à se laisser abattre. Sa mère n’hésitait pas à partir toute la journée à faire du porte à porte pour proposer ses services de maintenance ou créations d’automails, bradant ses tarifs. Quant à sa fille... Elizabeth restait s’occuper de son père une partie de la journée avant de filer en douce à un travail qu’elle avait réussi à obtenir dans le dos de sa mère. Rien d’illégal ou de déshonorant, mais elle savait que sa mère n’aurait jamais accepté qu’elle laisse son père tout seul une si grande partie de la journée.
A force d’insister, et sans doute parce qu’avec ses vêtements rapiécés et sa pâleur elle avait dû faire pitié à l’intendant, Elizabeth avait réussi à se faire embaucher par le QG militaire de Centrale. Pas en tant que soldat bien entendu, elle avait beau avoir menti sur son âge et prétendre avoir dix-huit ans, la rouquine n’était pas assez folle pour ça. Puis elle se doutait bien que l’intendant, qui n’avait pas l’air d’être tombé de la dernière pluie, n’avait fait que semblant de croire à ce gros mensonge. Dans tous les cas on lui remit un tablier, un balai et une serpillière et elle se retrouva à astiquer une grande partie du complexe de onze heure du matin à six heure du soir. Pas bien glorieux mais ce serait toujours un petit peu d’argent à ramasser, et en plus on lui offrait le repas du midi !

Bien entendu le problème de sa paye finit par se poser au bout d’une semaine de ce rythme. C’était bien beau de vouloir aider sa famille mais comment allait-elle expliquer d’où elle sortait cet argent durement gagné. Elizabeth n’eut bien vite pas d’autre choix que d’avouer l’entourloupe à sa mère. Heureusement Ronan supporta loyalement sa fille, affirmant que si on continuait à le traiter comme un invalide inutile il n’allait jamais retrouver un tant soit peu d’autonomie. Geneviève dut céder mais était loin d’en être heureuse.

Pourtant ce fut le poste plutôt minable de Lizzie qui, par une étrange série de circonstances, finit par améliorer leur vie à tous. Cela faisait bientôt trois mois que l’adolescente avait commencé, et ce fut alors que revinrent énormément de soldats du front. Dont une grande partie avait été gravement blessé. Ou avait perdu un membre. Et au grand étonnement de l’adolescente l’armée d’Amestris ne semblait guère intéressé par le destin de ces amputés. La jeune fille ne put s’empêcher de mentionner ce qui lui semblait être une terrible injustice à sa mère. Si seulement tout le monde avait les moyens de se payer un automail, tout serait plus facile. Mais les matières premières, sans mentionner la dextérité des mécaniciens, rendaient ces prothèses extrêmement coûteuse. Ecouter sa fille s’indigner ammena alors à l’esprit de Geneviève une idée toute simple mais que personne n’avait eu avant elle. Qui allait changer beaucoup de vies.

La société Colt ouvrit ses portes moins d’un an après. Geneviève avait eu la brillante et toute simple idée de laisser les gens s’offrir ses soins à l’aide d’une petite mensualité facile à payer. Ceux qui en avaient besoin pouvait décider sur combien d’années s’étalerait le payement. Bien entendu la qualité des automails ainsi produits étaient légèrement moindre car pour s’ajuster au budget Geneviève se retrouvait à utiliser des matières premières de moins bonne qualité. Mais cela n’empêchait pas ses automails d’être perfectement fonctionnels. Quand l’idée fut connu les clients affluèrent de tout Centrale. Pour ceux qui arrêtaient de payer, facile, les soins s’arrêtaient également et des poursuites judiciaires s’engageaient. Bien vite, plusieurs médecins souhaitèrent se joindre à la société Colt. En plus d’aider les moins fortunés, ils en sortaient tous de quoi vivre de manière confortable. Quand Elizabeth eut seize ans, la société Colt était devenue Colt Assurance et allait ouvrir sa première succursale dans le sud du pays.

Autant dire que, pour une fois, la situation économique de la famille Colt était au beau fixe. Plus qu’elle ne l’avait jamais été auparavant d’ailleurs. Et après l’année si dure qu’ils avaient passé avant que l’idée de Geneviève porte ses fruits, Lizzie était bien décidée à faire quelque chose de sa vie. Et se pencha de nouveau sur sa passion de toujours. La mécanique. Mais au contraire de sa mère, elle ne se cantonna pas aux automails. Les armes exerçaient une étrange fascination sur sa personne depuis son bref passage au QG de l’armée et elle ne put s’empêcher d’en récupérer en douce. Tout d’abord pour les démonter et remonter dans le but de comprendre leur fonctionnement. Puis bien vite la jeune femme commença à expérimenter, cherchant à améliorer leur rendement. A dix-sept ans, elle avait construit son premier prototype fonctionnel de chargeurs de douze tirs. Quatre de plus que les standards de l’armée. Par contre le processus ne fut pas exempt d’accidents et d’explosions. Dont l’une lui fit voler les deux derniers doigts de la main gauche et lui déchira une partie de l’oreille tout en lui laissant une vilaine plaie sur la joue. L’explosion endommagea également son tympan droit ce qui fait qu’elle n’entend que partiellement de ce côté-là. Quand la mère d’Elizabeth se rendit compte du nouveau passe-temps de sa fille, de cette manière choquante en plus, elle n’en fut vraiment pas ravie. Sa petite fille si gentille, qui avait toujours fait preuve d’une grande empathie, améliorer des armes à feu ? Et se mettre en danger de cette manière ? Cette incompréhension mena à la plus grande dispute de famille de l’histoire des Colt. Et se solda par la sortie avec pertes et fracas d’Elizabeth.

Le jour-même la jeune fille alla présenter son prototype au quartier général militaire de Centrale. Et autant dire que l’arme retint l’intention des militaires. Etant donné que la jeune femme était encore mineure à trois mois près, la branche de recherche de l’armée se contenta de lui acheter les droits de patentes de l’arme pour une somme plus que coquette tout en lui assurant qu’elle pourrait peut-être trouver une plus stable dès qu’elle serait majeure.
Cependant l'idée d'années d'entraînement dans une école militaire rebutait la jeune fille. Trop de discipline, trop d'épreuves physiques à son goût. Après tout la seule et unique chose qu'elle souhaitait réellement était créer des armes ou autres gadgets. Elizabeth décida donc de se lancer dans sa propre voie, installant son atelier dans le sous-sol de la maison familiale malgré la désapprobation de ses parents. Mais peu à peu ils se firent une raison. Leur fille avait trouvé sa voie, ne leur en déplaise. Et comme pour sceller la paix Geneviève fabriqua un automail parfait pour la main abimée de sa fille. Bien entendu Rosie ne l’avait pas attendu pour palier à ce problème d’elle-même, ce n’était pas pour rien qu’elle avait été son apprentie pendant toutes ces années après tout. Mais pour le coup, en plus de l’offre de paix implicite, il ne faisait aucun doute que cette prothèse là était bien meilleure que celle qu’elle avait maladroitement crée.

Au fil des années la demoiselle Colt réussit à s'imposer avec fougue sur le marché, n’hésitant pas à affirmer que leplus gros problème d’Amestris en cas de conflit globale résidait en la confiance aveugle que l’on prêtait aux alchimistes d’état. Et que sa technologie pourrait palier à ce souci. Les pays voisins ne possédaient certes pas ou peu l'avantage de l'alchimie, mais c’était pour cela que leur technologie était supérieure à la leur. Et la jeune ingénieure était bien décidée à mettre du sien pour que ce ne soit plus le cas. De ses mains surgit l’un des premiers fusils de précision permettant des tirs à longues distances de près d'un kilomètre. Elle réussit à rendre également plus légère les vieilles mitrailleuses utilisées depuis une vingtaine d’année. Bien entendu le jour où un soldait pourrait porter une mitrailleuse comme un fusil normal était encore loin mais la jeune femme savait qu’avec le temps ce ne serait pas impossible. Mille projets fourmillaient dans sa tête en même temps même si ces derniers mois elle s’était surtout intéressée au potenciel d’allier des armes aux mécaniques automails... Et bien qu’elle avait auparavant montrer sa réticence à trop reposer sur l’alchimie, Elizabeth ne pouvait s’empêcher de se demander si cet art ou science (elle n’en savait malheuresement pas assez sur le sujet pour trancher) pourrait l’aider à améliorer ses invention.

L'armée en avait fait sa consultante officielle en armement. Ce qui lui rapportait une jolie somme en plus des inventions bien plus innocentes qu'elle patentait parfois. La seule condition de son contrat ? L'interdiction formelle de faire part de ses recherches en armement ou de vendre une patente à un particulier. Ou pire, à un pays voisin. Mais cela ne lui posait pas de souci, Lizzie se considérait une personne patriote dans l'âme. Elle ne partagerait jamais ses créations avec les ennemis d'Amestris. Tout du moins jamais de son plein gré.

Cela fera bientôt cinq ans qu'Elizabeth Colt vit à ce rythme, habitante de Central la plupart du temps, elle voyage tout de même énormément, que ce soit pour rendre service à la compagnie de sa mère ou pour visiter les différents grands centres militaires du pays.

Du côté de sa vie personnelle... Eh bien, il n’y a pas grand chose à en dire. En réalité, à presque vingt-huit ans, Lizzie n’a jamais eu de petit ami et n'est jamais passé à l’étape au-dessus du flirt et du baiser. Dans le fond ce n’est pas ce qui l'intéresse le plus. Et son tempérament un peu bizarre allié à un manque de préoccupation certain pour son apparence ou tout ce qui a à voir avec la coquetterie n’allait pas l’aider à attirer le regard de la gent masculine. Être respectée dans son travail et ses recherches lui suffisaient amplement. Puis pour meubler le vide de ses appartements elle avait adopté un vieux chien qui rôdait dans le quartier. Un petit malin sans doute croisé schnauzer, plein de boucles noires qui semblait toujours la juger avec amusement de sous les poils qui lui couvraient les yeux. Au moins ça faisait quelqu’un pour qui s’inquiéter et qui lui tenait compagnie le soir...

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MessageSujet: Re: Trois brins de folie pour un grain de génie ! Trois brins de folie pour un grain de génie ! EmptyDim 1 Avr - 22:27
Ah que bienvenue o/

N'hésites pas à dire si ta fiche est terminée pour qu'on vienne te validoche au plus vite o/
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MessageSujet: Re: Trois brins de folie pour un grain de génie ! Trois brins de folie pour un grain de génie ! EmptyDim 1 Avr - 22:28
Oh, c'est vrai que j'ai un p'tit peu oublié de prévenir pour le coup x)
Oui, c'est bien terminé, normalement
N'hésitez pas à me dire si quelque chose ne va pas
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MessageSujet: Re: Trois brins de folie pour un grain de génie ! Trois brins de folie pour un grain de génie ! EmptyLun 2 Avr - 14:16


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• Physique

Hop juste pour prévenir que j'ai vu une cicatrice sur la joue de la madame. Bien faire attention puisqu'elle n'est pas visible sur sa joue o/ Juste un petit détail, rien de bien méchant ~


• Caractère


J'ai rien à dire de ce côté là.


• Capacités et inventaire


Du chocolaaaaaaaaaaaaat <3


• Histoire


Pour l'histoire j'ai quelques soucis à te faire part !

- Chercheuse militaire à Central : Premièrement Central est fermée pour les militaires inventés (cf :groupes)
- Elle est donc militaire, mais n'est pas passée par la case école. Ce qui pose un petit souci  vu qu'elle devrait apte à porter une arme et pour cela faut passer par l'école et avoir un grade. Si elle était civil à la botte de l'armée, elle ne pourrait pas travailler dans le QG lui-même, mais dans un batiment annexe et elle ne ferait que revendre ses armes à l'armée sans avoir son mot à dire (Je dis ça pour le passage où y a la réunion avec les supérieurs).
Je prends l'exemple de Schiezka, le rat de bibliothèque. Elle n'est pas militaire, mais bien civile à la botte de l'armée. Elle a accès au Q.G pour son travail dans les archives, mais n'a pas d'arme, ni de grade pourtant pour se faire reconnaître, elle porte l'uniforme.

Donc soit Eli' est comme Schiezka, soit elle est militaire, mais va devoir passer par la case école militaire et obtenir un grade, mais ne pourra pas travailler dans le Q.G de central. o/

- De même son statut ne serait pas chercheuse, mais ingénieur spécialisée dans les armes pour le coup.

Sinon le reste c'est tout bon ~

Je te laisse faire les modifications et préviens-moi en dessous quand ce sera fait o/





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MessageSujet: Re: Trois brins de folie pour un grain de génie ! Trois brins de folie pour un grain de génie ! EmptyMar 3 Avr - 21:17
Hmm, c'est possible que pour le coup de la balafre je l'avais décrit d'une manière un peu ambigüe, j'ai corrigé ça >< (cicatrice visible, oreille en mauvais état non)

Je m'excuse vraiment pour le coup de Central, j'avoue que je n'ai pas lu l'intitulé des groupes, je pensais que comme je connaissais FMA je n'avais pas de les lire. Je vois que je me suis trompée xD

Et du coup tu m'as laissé de quoi penser avec ces deux options, j'ai eu du mal à me décider, mais j'ai préféré l'idée d'une consultante au final (non, je ne viens pas du tout passé vingt-quatre heures à jauger le pour et le contre céfo xD)
J'espère que ça te conviendra du coup =)
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MessageSujet: Re: Trois brins de folie pour un grain de génie ! Trois brins de folie pour un grain de génie ! EmptyMer 4 Avr - 20:03
C'est moi qui termine ta validation Banette agonise dans son lit xD Alors par rapport à la cicatrice Banou voulait parler vis à vis de l'avatar. On ne voit pas cette cicatrice dessus :3 du coup sois tu la rajoute sur ton avatar (ou tu peux demander à quelqu'un) soit faudra que tu la décrive à chaque fois dans tes rps pour que le gens le sache o/ Voilà voilà ~



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• Validation


Tu es officiellement validé(e) !

Trois brins de folie pour un grain de génie ! 5912fcdea1a7b_original

Voici ce qu'il te reste à faire avant de venir RP avec la famille :

- Recenser ton avatar, ton métier et ton pouvoir. ICI , ICI et ICI
- Faire ta banque, chronologie et peut-être même un shop, si tu es un commerçant.
- Ta demande de logement ou shop.
- Ton journal de bord.
- Ta demande de RP.
- Aller flooder comme un malade si tu le désire ou poster pleins de bêtises.
- Si tu as des demande diverses. ICI




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