Quentin naît de deux parents travaillant dans l'armée, Laure Dubois caporal et médecin, âgée d'environ 25 ans et Alexandre Dubois, un peu plus âgé et officier dans l'armée, au sein des services de communications. Ils vivent au sein d'une petite ville à deux heures de train de la capitale, Quentin est né le 16 janvier 1891, aux environs de 19 heures. Laure resta avec lui, l’élevant pendant les deux premières années de sa vire, Alexandre venant les voir en permission, apportant un ours en peluche blanc, tout doux dont il à encore du mal à s'en défaire, trônant toujours sur le lit de Quentin, dans ses bras pendant qu'il dort, ce qui lui vaut quelques moqueries de la part de ceux qui le savent. Au bout des deux ans Laure dû réincorporer l'armée, un médecin étant toujours utile, peu importe le front où il sera déployé ou bien officiant en hôpital militaire, aidant les soldats à se remettre de leur blessures.

Pendant ce temps la Laure le laisse à un voisin, alchimiste doué, répondant au nom de Romain, se faisant assez peu remarquer sauf quand il sort pour faire des choses assez banales comme aller faire ses courses ou bien rendre service entre deux heures de travail. Il prend bien soin de Quentin, lui apprenant à écrire, lire, compter et à être curieux. Il reste souvent chez lui, jouant peu avec les autres, préférant supplier Romain de lui laisser quelques livres dans un coin pour qu'il puisse lire, souvent Quentin gagne rapidement, Romain préférant ne pas perdre de temps, retournant à son bureau juste après, Laure profite de ses permissions pour aller voir Quentin, constater ses progrès fait en classe ou en dehors, elle l'aide même à apprendre ses leçons et souvent bien plus, ayant quelques facilités d’apprentissage, habitué au système scolaire.

Ceci continuait jusqu'à ses dix ans, entre temps Laure à été muté plus près, dans un hôpital militaire situé non loin, spécialisé dans la rééducation et les soins psychologiques doux. Elle essaie de venir un peu plus souvent, regardant Quentin grandir, affirmer son caractère peu sociable, curieux et assez sportif, partant souvent explorer le coin, très souvent sans autorisation de Romain, qui le dispute à chaque fois puis se calme petit à petit le voyant revenir en bonne santé, expeté une égratignure de temps à autre. A ses dix ans Laure dû partir plus loin, sur le front Ishbal, appelé en prévention des pertes ainsi qu' Alexandre, en poste assez loin mais parvenant quand même à envoyer un colis pour l'anniversaire de Quentin, contenant un jeu d'échecs et quelques livres. Quentin était très bon à l'école, arrivant à être dans les premiers de sa classe sans aucun problème, ayant même parfois quelques notions d'avance sur le programme par rapport aux autres.

Quentin ne revit pas Laure pendant trois ans, elle envoyait régulièrement des lettres lui demandant comment il allait, si il continuait à être aussi bon à l'école et si il continuait à embêter Romain. Quentin lui répondait qu'a l'école tout allait bien, qu'il continuait à très bien travailler, appuyé par Romain qui envoyait des lettres à Laure, lui informant que Quentin commençait à faire pas mal de sport, dont des sports de combat comme la boxe et qu'il commençait à réfléchir à une carrière d'officier au sein de l'armée mais que Romain ne le pressait pas trop, entendant des rumeurs sur le front qui n'étaient pas forcément à son goût. Laure lui répondit qu'il fallait le laisser choisir, qu'il était loin d'être bête et qu'il avait encore le temps de changer.

Laure revient peu après les 13 ans de Quentin, avec des bonnes et des mauvaises nouvelles. Laure fut promu sergent-chef pour différents exploits, consistant parfois à chopper le pauvre blessé en plein combat, parfois face au feu ennemi mais elle avait eu que quelques blessures légères, parfois laissant une cicatrice, Alexandre fut porté disparu après que l'avant poste de communication qu'il avait sous son commandement fut attaqué et que touts les soldats furent tués, le seul corps qu'ils n'ont pas pu retrouver est celui d'Alexandre, ils ont à peine pu trouver son haut, avec son grade de commandant, ses décorations et ses poches contenant encore quelques effets personnels. Laure est venu avec un petit ami, cachant cet amour le mieux possible, ne sortant pas avec en public, un sous-officier répondant au nom de Lucien, rencontré et soigné sur le front et à l'air strict, ce qui ne mit pas longtemps à se vérifier, Laure étant à nouveau muté dans l'hôpital d’à côté pour éviter que les même médecins s'épuisent au front, organisant un roulement et Lucien en permission prolongé suite a ses blessures et à un alcoolisme assez développé à certaines périodes surtout quand il revenait du front.

Ils récupéraient Quentin et Lucien ne mit pas longtemps à montrer son côté sévère et autoritaire face à un Quentin commençant a avoir un bon caractère, ne faisant pas forcément ce qu'on lui demande, parfois parlant très sèchement et froidement à Lucien. Ou pire. Lui répondre, lui criant parfois littéralement dessus, cherchant à crier plus fort que Lucien, ce qui finissait la plupart du temps au punitions physiques, du style coups, parfois aidé d'une grosse barre de fer laissant de belles traces, la douche froide, habillé ou non, suivant l'humeur dans le quel il est et bien d'autres trucs encore, ce qui amène rapidement aux soirées ou Quentin bosse dans sa chambre, entendant les cris venant d'en bas entre Lucien et Laure, se stoppant tard le soir parfois sous les coups. Quentin tente rapidement de s'opposer, sans succès, Lucien étant d'un bon gabarit et frappant fort, ce qui ne fait pas du bien, surtout quand il vous choppe bien fermement par le col.

Souvent Laure lui hurle de stopper, Lucien lui hurle de la fermer et Quentin subit en silence, sans presque s'opposer, sans un mot, couvert rapidement de traces de coups qu'il cache, préférant se débrouiller seul. Quentin est en cours toute la journée, faisant ses devoirs en rentrant, studieux et avec de très bons résultats, Laure passe beaucoup de temps à s'occuper des soldats blessées et Lucien passant la majorité du temps bouteille à la main, bien chargé en alcool et hurlant sur Quentin pour un oui ou un non, qui répond de plus en plus, ce qui ne plaît absolument pas à Lucien, de plus en plus violent alors que ça ne fait que quelques mois qu'il s'occupe de Quentin.   

Un soir, Laure rentre du travail, assez tard, repas en main, elle ouvrit la porte, observa la pièce et poussait un cri, on pouvait voir pas mal de sang a certains endroits et Lucien buvait, grand sourire aux lèvres, chantonnant « Il à enfin pris~ Il à enfin pris~ », il en éclata même de rire, Laure suivait les traces de sang, la conduisant jusqu'à la chambre de Quentin, à moitié conscient, elle arriva à le faire transporter rapidement en hôpital ou il fut directement pris en charge et soigné, Laure hurla sur Lucien si fort qu'il en avait eu peur, elle avait un fusil à pompe en main et lui ordonna de partir « Parts ou j'te jure je n'aurais aucune pitié à viser ton gros bide dégueulasse rempli d'alcool !!! Tu m'as trompée, espérant te réfugier chez moi, jouant avec moi, aimant uniquement ta bouteille !! Pars gros lard, part et que je ne te revois pas !!!!!! » 

Lucien fila sans un mot, ayant bien profité d'une Laure triste d'avoir perdu son amour, essayant de chercher un remplaçant, encore un peu d'amour, en vain. Quentin mit six mois a pouvoir sortir de l'hôpital, boitant un peu, surtout quand il fatigue, ayant un peu de mal avec son bras droit avec de belles marque de brûlures, faites à l'eau bouillante ou à la barre de fer laissé reposer au dessus du feu, Laure le laissa avec Romain, pas assez disponible pour bien s'occuper de lui, Quentin reprit les cours comme il le put, farfouillant très régulièrement dans la bibliothèque, tombant parfois sur des livres d'alchimie, surtout traitant la foudre et les basses de l'alchimie. Quentin avait un peu plus de 14 ans à cette époque, quand il comprit de quoi Romain était capable de faire, il le supplia de le prendre comme apprenti, le suppliant une bonne heure par jour. Au bout d'un moment Romain poussa un long soupir et accepta, commençant par lui enseigner la théorie en plus des cours normaux de Quentin, qui arriva à s'en sortir, habitué à apprendre pas mal.

Romain commence à lui apprendre la pratique après plusieurs mois de théorie, Quentin est très attentif, suivant bien ce qu'on lui dit, ayant bien récupéré et se débrouillant sans aide au quotidien, il s’entraîne de longues heures par jour, essayant tant bien que mal mais avec motivation et envie d'arriver à un niveau basique voir correct, il s'entraîne aussi physiquement aidé par Romain qui du premier regard ne donne pas l'impression d'une personne pouvant tenir tête face à quelqu’un voir de le battre et qui pourtant donne beaucoup de fil à retordre à Quentin, usant même des faiblesses de se dernier. Il fait aussi des gants spéciaux à Quentin, lui permettant de s’initier à l'alchimie de la foudre en vue d'une éventuelle spécialisation dans se domaine.

Quentin continue comme ça jusqu'à ses 17 ans quand il annonce à Romain et Laure qu'il veut servir au sein de l'armée, en tant qu'officier et pourquoi pas viser le diplôme d’alchimiste d'état. Ils le laisse faire, le laissant se renseigner sur les conditions d'admission à l'académie militaire. Quentin à toujours d'aussi excellents résultats scolaire, il est arrivé à un bon niveau physique même si sa jambe et son bras peuvent être des points de faiblesse qu'il essaie de cacher comme il peut. Quentin étudie beaucoup, il lit énormément, il continue de s'entraîner avec Romain, qui le pousse dans ses derniers retranchements, voulant essayer de le pousser au meilleur niveau possible avant qu'il entre à l'Académie des officiers.

Désormais ils s’entraient pas mal ensemble, au combat a mains nu ou bien avec l'alchimie, répliquant rapidement, usant pas mal des cercles, Quentin arrive à avoir de bonnes bases, à a bien se défendre. Quentin préparait ses cercles, lançant son attaque, souvent habillement esquivé par son maître, qui usait de ses connaissances et de ses avantages. Le combat s'arrêtait quand Quentin arrivait à le toucher, ce qui pouvait prendre du temps par moment. Romain lui fournit de meilleurs gants, en latex avec du caoutchouc à l’intérieur pour éviter qu'il brûle et le cercle d'alchimie inscrit dessus.       

Quelques jours avant ses 18 ans Laure le câlina, lui donnant quelques conseils pendant qu'il préparait son sac, sa pré-inscription était faite, les choses qui étaient aux frais de l'élève payés et Quentin avait bien révisé ce qu'il pouvait. Le jour du départ Quentin s'était bien habillé, tout en gardant une tenue assez simple, ils allaient tout les trois a la gare, l'accompagnant et lui disant longuement au revoir, Quentin eu le droit aussi a quelques gâteaux a grignoter pendant le trajet. Il entra dans le train, se mit a sa place, rangea sa valise, leur dit au revoir pour la dernière fois et le train se mit en route.

Le trajet se passait sans incidents, Quentin mangeant en silence et sans salir le compartiment, il faisait assez beau et pas trop chaud, ce qui était au goût de Quentin, appréciant le trajet. Au bout de deux heures il arriva à la gare de Central, reprenant ses affaires et allant à l'Académie des officiers valider son inscription, terminant de remplir ce qu'il faut, on lui indiqua poliment ou aller ensuite, ce qu'il fit en silence. Il rejoint un groupe d'élèves-officiers pour qui ces années d'académie allait aussi commencer, certains étaient en groupe, sûrement qu'ils s'étaient croisées dans leur train ou sur la route. Quentin resta dans son coin, silencieux, on vint à eux et leur fit un tour de l'académie, présentant les différents lieux et leurs futurs salles de classes.

On les répartit dans les dortoirs à leur disposition, des chambres de deux ou quatre, suivant la ou ils sont, a son grand soulagement Quentin était dans une chambre de deux avec un autre élève discret, se contenant de dormir et réviser dans la chambre. Il ne mit pas longtemps à s'adapter à l'académie, se contentant de travailler, de réviser et de faire les exercices demandés et il réussit très bien. Révisant souvent et efficacement il arrive à être dans les cinq premiers de sa promotion, il aurait pu faire un peu plus mais il à plus de mal au niveau physique, à cause de son bras et de sa jambe, qui handicapait un peu.

A la fin des deux ans, il commençait à s’inquiéter plus pour les tests d'alchimiste d'état, il avait bien préparé le test écrit et se préparait pour le test d'aptitudes, travaillant bien ses cercles. Il apprend qu'il commencera par le test écrit, il est convoqué dans une grande salle avec les tables bien écartées et les feuilles déjà préparés, on lui indique sa table ou il s'installe en silence. Il à déjà les feuilles de brouillon et la feuille ou il devra faire le test de prêt, la personne surveillant la salle distribue les sujets, autorisant les personnes de la salle à commencer qu'une fois qu'il à été distribué. Il y a une autre personne venant surveiller pendant que l'autre distribue les sujets, face retournée.

Une fois que tout le monde à le sujet on leur dit le temps qu'ils ont et quelques explications de consignes, Quentin lit bien le sujet, prenant le temps qu'il faut pour répondre correctement et précisément aux questions données. Il arrive quand même à sortir un peu en avance, rendant un test au moins un peu plus que correct à son goût et sort de la salle en silence, refermant doucement la porte, pensant à ceux qui ne l'ont pas encore fini. Le lendemain du test on leur donne les dates pour les tests d’aptitudes, Quentin commence s'exercer l'après midi même de l'annonce des dates, très appliqué et sérieux. 

Le jour de son test, Quentin essaie de rester calme, prenant de grandes respirations, attendant son tour, voyant certains revenir, mine triste, pas fier de leur test. On l'appelle au bout d'un moment, le Généralissime dans un coin, Quentin salue tout les officiers présents dans la salle, puis écoute les consignes de son test. Vu qu'il compte se servir de son alchimie de foudre en combat il devra combattre en un contre un puis en un contre deux. Quentin hoche la tête en signe de compréhension on lui laisse quelques minutes de préparation, le temps de se calmer et de s'échauffer un peu si il le veux. 

Quentin fait signe qu'il est prêt quelques minutes plus tard, on fait signe a un soldat de venir, bien musclé et d'un bon gabarit. Quentin sifflote presque, ce qui n 'est pas du goût du type en face de lui, qui le fixe d'un d'air voulant dire « Toi tu va me poser aucun problème, trop facile à battre. » Quentin hausse légèrement un sourcil, voulant dire « Ah bon ? ». Le type se jette sur lui, Quentin l'esquive et lui donne une pichenette, on le voit rapidement s'énerver, il se jette à nouveau sur lui, Quentin l'esquive rapidement, fait un peu d'électricité statique et lance son cercle, on voit que la personne d'en face ne l'a pas forcément apprécié.

Le soldat essaie de le prendre par derrière, Quentin profite du sol assez glissant pour passer en dessous de lui et lui lancer à nouveau un cercle, on voit à la réaction du soldat que c'est plus puissant. Quentin profite du sol assez glissant pour faciliter ses esquives et prépare ses cercles dans un bon timing, arrivant à la fin de se débarrasser du soldat. On lui fait signe qu'il est temps de passer au deux contre un, Quentin les observe, sûrement qu'ils vont profiter d'être à deux pour le déstabiliser. Il réfléchit quelques instants, il peut user du sol glissant pour faciliter ses esquives et peut être les rendre plus rapides. Il peut utiliser son alchimie de plusieurs manières : soit il en profite de manière à faire une diversion, soit aux deux, soit à l'un d'entre eux suivant comment ils son positionnés, soit il passe à l'attaque, plus ou moins directement, en veillant bien à ne pas être pris en tenaille ou a les laisser jouer de leur supériorité numérique pour enchaîner les attaques ou l'un qui attaque pendant que l'autre protège les deux en même temps.

Il commence le combat sans trop de plan en tête, juste pour voir ce qu'ils vont choisir de faire. Les deux soldats combattent avec l'un d'entre eux à l'attaque pendant que l'autre défend, évitant qu'ils prennent un désavantage, comme être blessé ou se fatiguer. Quentin utilise le sol glissant à son avantage, essayant de les séparer, il essaie de les aveugler avec son alchimie en emmenant l'un d'entre eux loin de l'autre et le neutralisant le plus vite possible. Le soldat restant réplique comme il peut mais il est un peu moins sûr de lui en ne voyant pas son allié se relever, inconscient, surtout de Quentin essaie de bien s'appliquer, enchaînant les attaques comme il peut, il commence à se fatiguer mais son adversaire s'épuise plus vite que lui, démoralisé d'une part en combattant seul et d'autre part en voyant que Quentin continue malgré une fatigue commençant à se faire sentir.

Le soldat tombe finalement à terre, épuisé, Quentin en profite pour reprendre son souffle, bien fatigué, bien rouge aussi a force de bouger, esquiver, attaquer et utiliser son alchimie, il transpire même un peu. Le soldat abandonne, trop fatigué pour continuer le combat. On fait donc signe à Quentin de sortir, ce qu'il fait aussitôt, retournant à sa chambre et faisant une longue sieste, bien fatigué.    

Au bout d'une semaine il apprit qu'il fut reçu comme alchimiste d'état, il reçu son gousset d’alchimiste et son affectation de tout jeune officier à Briggs. Il y va avec son grade de lieutenant, obtenu grâce à ses excellents résultats tout au long de l'Académie. Il y resta un an la bas, recevant son grade de capitaine après avoir plutôt bien repoussé les différentes attaques en communiquant efficacement et rapidement avec les autres, avec une bonne stratégie, une bonne analyse du terrain et de la situation et aussi en allant parfois au corps à corps ce qui lui valut quelques blessures, pas trop grave.

Les attaques prenaient souvent forme d'escarmouches, essayant d'isoler les différents groupes en place, mais mené avec de bonnes troupes, bien équipés et bien soutenus soit par d'autres unités soit par d'autres groupes avec pour mission de s'infiltrer le plus possible dans les lignes ennemies. Il fallait être bien coordonné avec les autres groupes, rester discret, neutraliser l'ennemi le plus rapidement possible, sans bruit et sans se faire repérer. Il fallait aussi une bonne connaissance du terrain, de l’ennemi en face, une stratégie au moins correcte voir bonne ou plus encore. Quentin essayait de faire en sorte de communiquer rapidement, efficacement et de donner un rapport rapide mais assez précis de la situation de leur groupe aux autres et d'essayer d'agir ensemble et efficacement.

Au bout de l'année de service à Briggs il eut une permission de deux semaines revenant voir sa mère sans la prévenir. Il y alla en uniforme, sourire aux lèvres, le trajet passait rapidement avec deux gâteaux au chocolat, un qu'il s'interdisait de manger et l'autre qui à eu une durée de survie d'un peu moins de deux heures. Il allait tranquillement jusqu'à sa mère et sonna, seul Romain était au courant car Quentin lui avait demandé quand elle était disponible, évitant de revenir pour rien. Il attendait, en uniforme impeccable, long manteau noir et montre d'alchimiste en poche, rangée bien soigneusement.

La porte s'ouvrit, elle poussa un cri de surprise et un grand sourire s'afficha sur son visage. Elle le fit entrer, lui proposa de quoi boire et lui posa différentes questions, tout fière de voir son fils en uniforme et avec son galon de capitaine. Quentin lui répondit calmement, détendu, Romain regarda la montre d'alchimiste, lui posant quelques questions a son propos, Quentin y répondit. Romain sortit puis revient avec un pistolet pour lui, un Luger P-08 modifié, avec un meilleur système de visée et moins capicieux et un peu plus fiable, en cadeau ce ce qu'il a accompli, Quentin le remercia longuement, Romain lui faisant signe que même sans remerciements ça ira. Il apprend aussi que Lucien à changé, devenant beaucoup plus sobre et cherchant à monter en grade du mieux qu'il peut, Quentin hausse les épaules en l'apprenant.

Il profita bien de sa permission, repartant, recevant une affectation au QG Nord et pouvant être déployé a Briggs en cas de besoin. Il repart, allant la bas, se contentant de bien faire son travail, restant dans sa chambre en cas de journée de congé, dormant longuement, nounours à ses côtés, se déplaçant la ou il va, toujours sa petite place dans sa valise. Presque deux ans plus tard, l'affectation de Quentin est toujours la même, ne cherchant pas a la changer.