Il faisait noir... tout noir dans ce trou a rat. De merveilleux compagnons rodaient dans les cellules du bâtiment qui servez de base d'opération de la PM (Police Millitaire). L'humidité était bien présente, remontant lentement vers le plafond. Les mur été recouverte de mousse verte, signe d’une humidité bien présente.


La sentinelle faisait sa ronde a l’extérieur, il marchait lentement, pas a pas, un autre prisonnier gueuler : « Liberté ! Va te faire niquer » Avant de ce faire interrompre par le garde : « Ferme ta putain de grande gueule Johnny ! » Dit-il avant que ce fameux Johnny ce mette a ce marrer a toute allure. « Ta gueule tas de merde ! » Cria le garde en lui mettant un vilain coup dans la tronche, un bruit... qui ne mettais pas inconnue.


Le garde continuer son chemin devant chaque cellule, avant de s’arrêter devant la porte de sécurité, qui permétait de boucler le secteur ou j'étais détenue. Ce dernier frappa a 3 reprise, et en même temps nous pouvions entendre Johnny hurler : « Tu ma briser le nez... aaaah ! Fils de putees ! Aaah ! ». ce que cela doit être triste d'être con et d'avoir le droit a la paroles, j'ai de la chance d'être née muette. Le garde sorti de la cellule laissant place a son remplaçant. Comment le sais-je ? Je sais quel heure il est. Et les bruit de ses pas son plus calme, plus léger. Ce type la n'est pas la pour plaisenter, et lui c'est pas un garde, c'est Ghost,


Max s'arréta devant la cellule de Johnny, ce dernier devais être pétrifier face au masque de Fantome qui caractérisais Bien Ghost. Certainement le premier a revendiquer ce nom de code.
Si ce type devenait une légende sur le champ de bataille, cela ne m'étonnerais même pas. C'est avec ce type que j'ai fais mes première armes en binôme sur le champs de bataille. Mais pourquoi était t'il ici ? Pour me voir ? Cela est très étrange. Il s’arrête maintenant devant la seconde cellules. Devant observer le pénitent. Il reprend sa marche s’arrêtant devant la cellule a côtés de la mienne. Et reprend sa marche a nouveau pour s'arréter en face de la mienne cette fois.


Il me regarda longuement, alors que je restait assise sur mon lit de fortune, espérait t'il que je regarde dans sa direction ? Ah mon avais oui, il attendais une réaction de ma part. Ce que je me résigne a faire, par pur respect envers un amis. Je le regarder longuement, avec mon cache œil de l'époque. Il était malheureusement a l'origine d'une blessure qu'il m'a infliger après le meurtre que j'ai commis, Si je voyais encore un peux avec mon œil droit, il me la complétement retirer. « Pardonne moi Crow. J'voulais pas te blesser... Mais pourquoi ta butter le lieutenant colonel bordel ? » me disait-il tout bas. Et mon corbeau commencer a gueuler, pour le calmer je lui caresser la tête, délicatement, et tendrement.


En y repensant...Si Ghost est la... c'est qu'elle sera la... Me relevant de ma position actuelle, afin d’aller confronter Ghost du regard, pour lui poser la question, œil contre yeux.
Il gloussa, de frayeur ? Ou de frustration ? « Désoler Crow... Mais la patronne voulais te récupérais, tu la connais, elle tien a toi comme si elle tenait a ses cheveux. En plus t'est devenue une légende dehors, y'en as qui t’ont même attribuer un nouveau surnom, en plus de ton nom de codes. Le dernier venue est ''Phantom''. » Phantom ? Hein ? Ça me va presque comme un gant... Même si le meurtre de cet enfoirer de merde ma conter la prison. Je lui demandais une clope rapidement, ce qu'il me donna sans hésitation. C'est bon de revoir les copains. Ghost repartie a son inspection, ayant trop bavarder avec moi, s’arrêtant face a l'autre cellule.


La porte s'ouvrit une nouvelle fois, mais j'étais déjà plus calme, assez calme pour comprendre que je partais aujourd'hui, aujourd'hui même. Ouais, c'est sur j’étais réaffecter, pour ma plus grande joie, La grande sœur avez réussi a m'éviter le peloton. La porte claqua, me faisant revenir aux monde des vivant. Les pas était encore plus léger, plus gracieux. Alors c'est comme ça ? T'est bien venue... Colonel. J’attendais au pied de ma cellule. J’imaginais déjà les curieux en voyant Elizabeth arrivait.
Une colonel ? Se disent t'il , avec leurs regard pervers. Et ce fameux Johnny qui s'exclama : « Tu sais que je te baiserais bien toi ? » Vous l'attendez non ? Cette réponse aussi franche, qu’extrêmement froide et cruelle, pour laisser l'agonie plonger dans la cellule de Johnny, un coup de feux qui retentis dans le bloc. Les garde a l’extérieur du bloc qui s'agitaient, un Johnny qui hurlais a la mort, que lui était t'il arriver ?


Ghost se retrouva a nouveau face a ma cellule, pour m'ouvrir la porte. Prenant mon corbeau sur l'épaule, je garder la clope au bec, pour récupérer mes affaire pour sortir de cette cellule, elle allez me manquer en tout cas. Cette cellule. Elizabeth m’attendait au bout, je marchais lentement pour allez la confronter dans une distance plus intimes. Elle se mit a me parlais, avec ce sourire, un sourire réconfortant. « Alors Phantôm ? Ta pris de bonne vacance ? En tout cas maintenant, tu va revenir au front, bon comme tu t'en doute, je t'évite la peine de mort, je sais bien que ce type n'étais qu'un gros connard, ont essayer de le virer de tout façons. Par contre j'ai une mauvaise nouvelles, on ne te réintègres pas dans ma division pour le moment. Un supérieur voulais quand même te punir pour avoir assassiné un de tes supérieur, l'insubordination, m'enfin bon, je te comprend, ce petit con me donner du tord, en s’opposant a mes décision, c'est ces nombreux ''crimes'' qui te permette de te sortir de ce trou. Tu peux lui dire merci en tout cas, Tu t'est venger de lui, et il te sauve, c’est pas mignon non ? Bon voilà ta nouvelle affectation. Tu va allez dans cette unité la. Par contre ta pas intérêt de te mettre en colère envers moi, c’est pas moi qui est imposer ça. Tu va être intégré dans une section de Peloton d’exécution, voilà ou ça te mène, le fais de tuer un supérieur pour le simple fais d'avoir été forcer a tuer des innocent, tu va être amener a passer deux foutue longue semaine a fusiller des Ishval désarmer, et sans défense, et certainement de tout age, en plus des enfant et des femme qui ne demande rien de tout ça. Tu ne le voulais pas hein Phantom ? Bien sur que tu le voulais pas, considère ça comme une punition. »

Je marchais lentement. Pour le coup, c’est vrais que j'ai agis stupidement, la colère l'a emporter sur moi. J'ai commis une erreur, une erreur qui aurais pus me coûtais la vie sans l'intervention d'Elizabeth. Je nais plus qu'a me tenir a carreau, et subir le pris de ma connerie. Elizabeth était devant moi. Cela devais-faire drôle au gardes, voir Elizabeth dans un prison, elle qui ne sort pas souvent. Je m’arrêta devant la cellule du pauvre Johnny, le pauvre a subit la colère d'Elizabeth. 1 Balle contre 2, ont devine rapidement qu'elle balle a gagner dans ce duel. Johnny pleurnicher par terre. Il avais de quoi.

En allant a l'extérieur de la prison, c'est l’éclat du soleil qui m'explosa l’œil gauche. Après quelques temps, j’arrive a supporter la puissance lumineuse, après avoir été terrer 1 mois en prison. A l’extérieur... la vie était la même que quand je suis entré, une ville calme et paisible ce dresser face a moi. Le quotidien normal d'une ville charmante, et sans problème. Et pourtant... les organisation de l'ombre en font partie. Mafia... Gang... Organisation de malfaiteur... Terroriste... Si bien qu'a la fin de la guerre... j'aurais encore du travail, jusqu’à ce que j'en crève.
Mais pour le Moment, mon travail été a Ishvale, bien que je n'aime pas tuer ces gens la, des innocents pour la plupart, victimes de notre supériorité, victime d'une fautes commise par mon camps, auquel je suis obliger de m'impliquer corps et âme, pour pouvoir survivre dans cette guerre. Oui, Ishval, la guerre civile, n’est par une guerre civile ordinaire, elle est plus qu'une simple guerre, pour la simple raison, que tout le monde ce bas pour survivre contre Ametris, même les soldats d'Ametris, ne ce battent pas pour, mais en réalité, il veule y survivre. Moi de même, mais j'ai presque été bonne pour le peloton d’exécution. Mais même si je pense comme cela... je serais coupable par rapport a ce massacre. Pourquoi ? Parce qu'en réalité... j'en profite largement pour être prête pour un nouveau combats, qui sera certainement encore plus dangereux que cette guerre civile, mon instinct, ne me trompe que rarement.


La guerre change au fils du temps, j'en ressentais déjà le début de ce changement, rien que par ma participation dans l'unité spéciale d'Elizabeth, nous somme en train de combattre sous une autre formes, au lieux d'envoyer toute une unité a allez combattre sur le champs de bataille, Je travaille en binôme avec mon corbeau sur le terrain. Avec une équipe d’assaut pour attaquer des cibles précise, et pour d'autre de missions, a petite échelle, mais assez bien ciblés.
Trêve de rêverie, il était temps pour moi de retournée au front... pour allez faire ma sale besogne. J'allais souffrir pendant 2 belles semaine.
Elizabeth, qui était monter la première dans le camion, m'aide a y grimper. Pour aidez Ghost ensuite, m’installant au devant du camion, Elizabeth vint me rejoindre a nouveau, alors que Ghost aide un soldat de l'unité a monter.

« Phantom, en réalité, tu va devoir surveiller le Colonel Albert Eiffage. Apparemment, il permettrais certain de ses sous-off a faire de la vente d'esclave avec des mafia aux 4 coins du pays. Certain Ishval ne passe pas en peloton d’exécution, tout ça pour payer une belle petite retraite a des hurluberlue, qui croivent que personne ne peux les voire faire. Mais la ou ils ont de la chances, c’est que l'on ne peux rien faire contre eux, ils sont intouchable, le Généralissime ne jetterais même pas l’œil sur un dossier du genre. Enfin je pense qu'il en aura rien a foutre en fais. Mais bon, le but c'est de faire le ménages, dans les officier pour le bon plaisir du généralissime, après ça, on aura peut être plus de moyen pour continuer nos propres activité. Et on aura peut être les nouvelles technologies que tu réclamer, il y a quelques mois. »

Le camion s’arrête a nouveau. Nous laissant certainement dans le camps de ce chère Eiffage. Qui aurais crue, que je ne me battrais pas contre les ishvals ? Les victime dans toutes cette histoire, et le seule peuple a s'éteindre, a coup sur dans cette guerre ? Qui auraient cru ? Qui auraient cru qu'un jours, j'allais devoir participé a une guerre, une guerre de position, une guerre de position en plein dans l'armée d'Ametris ? D'un cotés, les visionnaire, comme Fox, et sa division de Force spécial, la TEO (Tactical Espionage Operation.). De l'autre, des illuminées, profitant de leur position pour leur plaisir personnelle, mais comment leur en vouloir ? Si la situation en est la, la fautes a qui ?

Elizabeth était derrière moi, elle s'empresse de dire : « Phantom, ce sera ton nom de code officiel envers moi, bien que tout le front doivent le connaître déjà, personne n'a encore vue ton vrais visage, et réussir a faire le rapprochement est quasi impossible ne t'en fais pas. Sur ce secteur, tu regagne ton nom de code officiel, Crow. Pour pouvoir nous communiquer. Utilise les moyens habituelle. » Le camion étais en manœuvre, pour pouvoir être prêt a repartir, afin de faire remonter Elizabeth plus rapidement. Elle remonta assez rapidement, quand tout était en place. Et Alors que je m’apprêtais a partir elle s'écria : « Let a Legend come back to life ! »

Alors que je piquet un somme dans les baraquement de la base d'opération du colonel Eiffage. Je me remémorer le meurtre du Lieutenant Colonel Buscemi. Un meurtre motiver par la vengeance personnelle, je n'avais jamais été autant agresser dans mon égaux personnelle, Cette enfoirer a décider de me braquer, pourquoi ? Par ce que ma participation dans l'unité d'Elizabeth lui faisais de l'ombre, pourquoi ? Cette enfoirer voulais le pouvoir, juste pour le pouvoir. Alors pour essayer de me descendre complètement, pour me faire tomber dans la folie, il me braqua avec son arme, pour me forcés a flinguer 6 enfants Ishvals, de moins de 15 ans. Comment ils a réussi a en cueillir 6 ? en y repensant... n'étais ce pas le trafic d’esclave de notre chère Colonel Eiffage ? Les pistes peuvent être lié ? Si seulement cela pouvez être possible, je progresserais bien pour le foutre dans une merde noire celui la.
Dans l'histoire j'ai été forcer de tuer les 6 Ishval, et ceux a contrecœur. Un contrecœur qui a été fatal pour ce monstre de Lieutenant colonel. Le nuit même, je me suis infiltrer dans le campement des gradés, malgré le danger de ce faire chopper par la sentinelle en place. Bien entendu cette nuit la, Ghost était de la partie, car c’est le premier a me retrouver dans la chambre du macchabée pour me coller une bastos dans l’œil droit. Continuant l'infiltration, lentement. J'arrive enfin aux moment fatidique, ou je suis enfin dans la chambre de ce salaud. Dormant dans un magnifique lit, la luxure a su gagner cet escroc, un incompétent, tout ce qu'il y a de plus classique.
Sortant mon revolver, lentement, se salaud ma griller, le temps qu'il allume sa foutu lanterne, j'arrive a lui mettre le revolver sur la tempe. Une se flinguer quelques seconde du regard, jusqu'au moment ou il cria : « A moi ! » A ce moment la, la folie l'avait emporter, 6 cartouches ont rejoint le crane de cette enfoirer. Et comme je vous l'ais dit, Ghost entre bien le premier dans la chambre du lieutenant Colonel. Tirant un magnifique coup sur moi, un coup qui m'arracha l’œil.



C'est avec sursaut que je me réveille. Nous voilà a la 6eme journée dans le régiment des pelotons d’exécutions du colonel Eiffage. Un rêve, un grand rêve que de devoir liquider des prisonniers, de toutes sorte et de tout age, désarmer, et qui se foute bien de ta gueule. Toi, qui est la a tuer lâchement des gens désarmer. Avec cette penser. J'avais juste l'envie de me rendormir. Refaire un cauchemars. Ou alors mieux, je devrais me barrer. Malheureusement, s'enfuir comme ça... déserter... un déshonneur surmontable, sauf si tu tombe du mauvais cotés du peloton.
Enfer... j'en ais déjà marre après 6 jours. Suis-je aussi faible ? Mentalement ? Moi ? Sérieux ? Bordel... j'ai tuer toute ma vie, j'ai vue des tas d'horreur. Rien que dans la mafia déjà... ou alors mes débuts avec Elizabeth. J'avais du commettre pas mal d'horreur, en double agent. Et quand j'étais gosse... La vie avec mon Père été assez dur. La mort de Vilhelmiina...
Tout évolue hein ? Maintenant... il est temps que j'arrive a évoluer et a tourner la page, malheureusement, a cotes de ça, la colère l'emporte sur ma conscience. L'envie de détruire ce camp me démange, dieux sais que j'en suis capable... mais a quel pris cette fois ?
Le journée commence donc... en cette charmante mâtiné, réveiller une heure trop tôt avec un cauchemars. Bonjour toi le corbeau. Au moins, y'en a un qui arrive a me soutenir quoi qu'il arrive, et qu'importe la situation. Si tu disparaît toi... je sais pas si je tiendrais encore longtemps.

Pelotons sur pelotons, l’enfer s’enflamme toujours plus.

En cours de journée, j'arrive a avoir les preuves suffisante pour le trafic d'humain. Réussissant a prendre des clicher, j’envoie la pellicule a Elizabeth. Avec l'aide du meilleur ami du Phantom, le Corbeau.



L'opération est un succès. Les troupe de Campbell envahis les lieux. Malheureusement, c'est Eiffage qui n'étais pas d'accord, n'étant aux courant de rien, c’est une véritable opération de force qui se déroule. L'unité spéciale de la TEO contre des forces spéciale issue des peloton d’exécution. Ayant participer a la bataille ils nous a fallu aux moins une foutue heure pour réussir a calmer ma situation par la forces, Un tours de force monumentale.

Le combat faisais rage, essayant de frayer un chemins vers Eiffage, pour le mettre aux arrêt, Ghost avais décider de venir m'aider. Nous frayant un chemin comme ont pouvaient, ont avez été décoincer un petit groupe de 4, des alliés a nous, étant en mauvaise condition pour ce replier.

Nous continuons a travailler dure pour débloquer la situation. Malheureusement, les défense été bien organiser, comme si ils avait prévue quelques chose de ce genre. Une défense qauasi impénétrable. Si bien que nous avons du employer les lance grenade, et les mortier pour décoincer la situation. Et ce fut une réussite.

Durant le combat, pour la percer du quartier général, c'est Ghost qui y passe. Alors qu'il travailler encore et toujours avec moi pour m'aider dans cette galère, il est toucher en plein cœur. Ne pouvant pas supporté cette idée, de voir Ghost mourir, je l’emmène a l’arrière, avec toutes les forces que j'ai pour le donner a l'infirmerie. Malheureusement, même en tenant chaleureusement sa main, et le fais que je ne le quitta pas des yeux, ne serais-ce qu'une seconde, il succombe a ses blessure. Le reste de la journée, je l'ais passer a cotés du Cadavre de Maximillian « Ghost » Anderson, max'. La colère qui sommeiller en moi gronder, mais pas pour celui qui a tuer Max, mais pour cette guerre sans issue. Une guerre intérieur qui guettes tout le monde.

Le Colonel Eiffage est finalement capturer par la TEO, une bonne nouvelle en soit. Mais je m'en foutais en réalité, seule Max' m’inquiète. Oui... j'étais amoureuse de lui au fond, bien que je le considérer comme un frère, un camarade d'arme, il été un Patriote, qui ne voulais que le bien du pays. Mort pour son pays, tuer par son pays, par un autre patriote, qui lui ne devais pas être au courant du schmilblick.

Elizabeth, se posta a cotés de moi, visiblement choquer. Observant longuement Max', refusant certainement d'y croire. Ne parlant pas, restant droite est stoïc. Bien qu'elle ne laisse rien paraître, je la connaissait assez pour savoir qu'elle allez mal. Assez mal pour s’enfermer quelques jours dans son bureau. Elle posa doucement sa main sur mon épaule. Laissant une larme s’échapper. Posant ma mains sur la sienne. La larme tomba sur ma main. Me relavant, je luis fis un magnifique câlin pour l'apaiser.

Voila quelques temps, qui ont merveilleusement passer depuis la mort de Ghost. Je ne l'ais pourtant pas si bien connue que ça, en y repensant, ont été rarement ensemble en réalité, en dehors des missions et des pauses. Nous n'avions pas beaucoup de temps, pour s'aimer. Quel fâcheuse tendance a merveilleusement bien souffrir, ont tue des gens, des ishval, pourquoi ? Par ce qu'un des notre a butter une gamine. Pourquoi ? Était il vraiment un des notre ? Le visage haineux, m'observant dans la glace, j'avais du mal a comprendre la situation, je ne comprenais pas ma situation, je perdais la raison, je devenais complètement folle, folle de rage.
Toute seule dans cette salle de bains, a observer une photo de moi, vielle d'il y a 10 ans, je trouver que mon reflet avait bien changer, depuis lors. Cette jeune fille pleine de joie et d'envie, d'ambition, et maintenant, un monstre, un soldat, une combattante des armes, incapable de discerner les frontières du bien et du mal, incapable de comprendre le pourquoi elle se bat, mais surtout le pourquoi elle tue. Étais-ce elle qui avais changer ? Ou le pays ? Ou est-ce que rien n'a changer ? Pour continuellement exploser, quand l'occasion en été possible. Prouvez la puissance d'un pays est simple... quand on a l'avancer technologique, et les hommes pour. Du profits en plus, et ton pays devient incontournable, tourisme, affaire, guerre, Politique. Mais il manque quelques chose dans se pays, il y a déjà les organisation criminelle, les mafia, gang, les bandit de grand chemin, mais il manque un truc dans l'ombre que l'on ne connais pas...
A force de réfléchir on tombe sur des chose plutôt désagréable, ou agréable, mais quand on est aussi perdu, ont ne sais pas vraiment ou donner de la tête. Comment interpréter ce petite quelque chose, cette penser, cette idée d'une conspiration qui peux se cacher n'importe ou, pourquoi pensais-je a ça ? Je ne sais pas, ce n’est qu'une supposition qui m'effleure l'esprit, sûrement qu'une supposition qui ne signifie rien, mais pourquoi je ne peux m’empêcher de penser que je n’ai pas finis de souffrir ? Pourquoi hein ? Parce que je suis née pour le combat, j'ai été élever pour la guerre, vivre parmi les armes. Dans un élan de rage, pensant que je ne suis qu'une arme aux profits d'enfoirer, j’explosai la glace avec ma main gauche. Me reculant lentement perdu, torturer pour glisser contre le murs, il est temps de piquer un petit somme.



C’était le premier jours de la guerre, oui, ce fameux premier jours, ou tout avaient exploser, une mèche courte et délicates, ou l'enfer a commencer, ce saloperie de jours, ou notre camarade a littéralement exploser le crane de la petite fille, avec son arme de poings. Cet événement n'avait rien d'un incident. Je me souvient être passer sur place après les événement, malheureusement, nous n'avions pas pus y rester longtemps, la relation entre Ishval et Amestris n'avais pas tenue, le fils ayant été ronger par ce coup de feux « accidentel. ». Un foutue coup de feux, qui allume une mèche, pour exploser toute une régions, et annihilé toutes une ethnie.
Moi dans tout ça, ou étais-je ? Pas très loin en effet, a mon plus grand malheur, j'étais poster en surveillance, aux début de la guerre, pour assurer les périmètre, pour défendre les ishval en quelques, sorte, mais en réalité, ont défendez plus nos concitoyen que les Ishvals, la situation était bien tendu avant ça. C’est vraiment dommage, mais en si j'étais la, j'aurais pus empêcher cette foutue guerre. J'étais arriver exactement, 2 minutes 30 après les fais. En a peine 3 Minutes, les premier conflit débutèrent. La première chose a faire été d'essayer d'exfiltrer ce gros con d'assassin, pour ne pas que les Ishvals établisse leur propres version de la justice. La situation été grave, j’étais en joues, sur la foules d'Ishvals qui nous en voulaient, a tous et a toutes, d'avoir assassiné leur petite fille, je comprenait ce sentiment, mais je me résigna a soutenir me pays, qui est entrer dans une belle crise.
L’info n'avais pas mis longtemps a remonter jusqu'au généralissime, tout a été incroyablement vite dans cette triste journée sanglante. Sanglante ? Pour la simple est bonne raison, que... Le généralissime Bradley, a signer la déclaration de guerre. Une chose qui m'échappe... En plus de cela, l’ordonnance pour éteindre le peuple Ishvals. Triste sort, pour une journée sanglante. En quelques heures, l’envie de nombreux hommes en quêtes de gloire, de profit, de meurtre, même de folie. Du côtés Ishvals, le mot d'ordre état Guérilla. Ils avaient tout un tas d'hommes, de femmes prêtent a en découdre contre nous, l’oppresseur.
Mais je me souvenait de ce moment, ou j’étais en patrouille plus tard dans la journée avec Lance Bronson, un mec cool est bien, ont a du bosser un mois ensemble, avant que je soit transférer chez Elizabeth. Ni Lance, ni moi était rassurer dans cette situation, ont ouvré l’œil, surtout vrais pour moi, j'en est qu'un, même a cette époque, le gauche est encore valide, lui Lance a les deux d'ouvert, donc il n’ouvre pas l’œil mais les yeux. Dans cette situation, je tremblais, j'avais peur, mais vraiment, c'est mon premier conflit armée, et aussi la première fois, ou je suis autant exposer, n'importe quoi aurais pus arriver dans cette situation, heureusement que Lance était avec moi, j'avais tellement les nerf que j'avais peur de tirer involontairement.
N'ayant pas le temps de finir de pensais, Lance été un peu plus loin devant moi. Je m'allumer une cigarette, pour déstresser, avant la fin du conflit, je suis sure que je vais avoir les cheveux blanc. Sauf qu'une groupe nous interpelle, Lance n'étais plus dans mon champ de vision. C'était un groupe de civile sans défense qui était aligner au canon de ma carabine. Je baissa volontairement mon armes pour allez les voir en face, un regard triste sur le visage. Je me rendis compte que j'avais manquer quelqu'un, qui s’enfuit a toute allure, dans la direction de Lance, en espèrent qu'il ne tue pas la fuyarde.
Regardant a gauche et a droite, pas un soldat de chez nous, c'était l'occasion rêver, je ne peux pas tuer des gens comme ça personnellement, mais prendre le risque de les sauver, une trahison envers mon pays, oui, ça je peux, temps que l'on en me pince pas, tout ira bien. Mon groupe n'étant qu'une femme désespérer d'avoir perdu sa fille, la plus grande quelques minutes plus tôt, et elle tenait la plus jeune dans ses bras. Alors que j’entreprends de faire passer cette mère e sa fille en dehors de la zone de conflit, je n'imaginais pas, comment c'était dure de réussir une tel opération. J’étais encore plus nerveuse qu'avant.
Mais la raison de mon inquiétude était partie, ayant réussis a les exfiltrer, je regardais leur silhouette marcher aux loin, péniblement, heureusement que j'ai penser a leur donner de quoi boire. Je ne pus rien faire d'autre, a part prier pour leur survie. Oui prier, c’était la dernière chose que je puisse faire, dans cette situation qui me dépasse.



Me réveillant lentement, j'avais du mal a vouloir me bouger. Bouger pour faire quoi ? Faire ce que j'ai toujours fais, tuer pour le compte de quelqu'un d'autre. Mais pour le moment, j'entendais mon corbeau hurlais, ou chantait, il devait avoir faim. Tellement faim, c’est vrais que je ne lui avais rien donner a manger depuis quelques jours, allant chercher a manger pour mon fidèle volatile sans nom. Une journée ordinaire hein ?
Donnant la nourriture a mon corbeau, j'en profitait pour lui donne rune peux d'amours, j'en avais besoin, les tragiques événement ne jouant pas favorablement pour moi en ce moment. J’étais devenus sans doute plus mûre, mais dieu sait qu'il me reste un long chemin a parcourir face a la rédemption.
Huitièmes Cigarette, plus une clopes, balançant la boite dans la bâtisse, je partais chercher une clope, et une clope de sous-off, rien de plus rien de moins, réussissant a piquer un paquet au passage. Je retournais glander dans la bâtisse ou j'ai trouver refuges, sans contact avec les autres soldat, moi, rien que moi et le corbeau. Surtout que ces soldat la n'était pas les homme d'Elizabeth. J’étais dans un avant post, en vois a la destruction. Pourquoi ? Je ne le saurais jamais.
Reprenant position dans la sale de bains, m’asseyant dos au mur, a fumer comme un pompier sans arrêt. J'avais les yeux de tueur river sur quelque chose. Comme avant, sauf que maintenant je n'était plus toutes seule avec mon corbeau. C'était un jeune Ishval en face de moi. Un jeune adolescent. Il était pétrifier de me voir, peut être que c’est mais yeux, leur dernière évolution, des yeux qui évoques : « J'ai tuer pour eux. Et je peux continuer encore longtemps si il le faut. », un regard a glacer le sang, un regard qui te fais comprendre, que tout ça est irréelle. Ce combat est irréelle. Le fusil braquer sur moi, l'Ishval glousser, effrayer par mon manque de réaction. En vérité, j'en avais plus rien a foutre, il pouvait le faire, me tuer, il libérerait le monde d'un des plus dangereux soldat de l'ombre, Celle a qui ont a attribuer le Nom de Code « Phantom ». Le meilleur Fantôme masculin étant mort, elle étais la dernière, Alors pourquoi ne pas en devenir un vrais ?

Je lui fais finalement signe de baisser sur arme et aussi signe de se taire, et restait silencieux. Si il se fais pincer, c’est un enfant de mort, un de plus, dans un massacre qui n'a eu aucun sens depuis le départ . Comprenant cela, il déposa ce pistolet au sol pour l'envoyer vers moi. Pourquoi fait-il ça ? C'ets le sien, en plus il en aura l'utilité, si il veux s’échapper de ce camp. Alors en tout innocence, je lui renvoya en glissant, en me levant pour allez lui cherché un chargeurs suplémentaire, et une sacoche a remplir, pour qu'il est vivre, matériel de premier soin et munition, pour s'enfuir, il n'aura pas besoin de plus.

Sauf que malheureusement a ce moment la, ce que nous ne savons pas, et que nous n'attendions pas, c'est un incident qui se passe a quelques centaine de kilomètres, a une position d’artillerie lourde planquer des les collines montagneuse. Un groupe de terroriste était en train d'infiltré la position, pour pourvoir nous balancer un cauchemar d'au moins 50 canons par salves de tir, notre quand allait littéralement devenir, l'enfer sur terre. Des professionnelles, ceux qui avaient ais le coup, de formidable acteur, qui ont sur réussir a nous visaient. Leur motivation nous échappe, personne n'ayant été capturer pour cette incident, vue que cela a été dénoncer seulement, comme un incidents. Une erreur de calculs.

Dans notre camp a ce même moment, j’étais en train de donné une cigarette au gamin, qui se sentais maintenant en sécurité avec moi, avec ce que je lui est donner en plus, si il ne l'ait pas, je ne serais que faire pour l'aider. J’attendais la moi, la guerre toucher a ça fin, ça se sentait, on allez retournée aux pays, enfin. Youhou ! Youpi ! Qu'est ce que je me marre. Seule dans une maison bien abîmé.



Je revenais rapidement a moi quand j’entendis le son aiguës des premier obus qui allaient nous tomber sur le coin de la gueule. C'est avec rapidité que je me relevais pour prendre ma carabine, et allais attraper l'enfant, par la main pour l'exfiltré du camps, car cette fois c'est ça chance de s’échapper, ce camp allez être dans la confusion la plus total, et moins, j'ai pas envie de me faire exploser la tronche par un abus.
Malheureusement, je pris la mauvaise direction a l'extérieur, car une garde me faisait face, fusil pointer dans la direction du gamin, j'étais excéder par cette situation, et stresser, par ce qui tomber tout prés de nous, un obus tomba littéralement aux pieds du Soldat qui nous braqué. Nous projetant en arrière tout les deux, l'enfant et moi. Nous assommant un peux sur le coup. Mais pas assez pour m’empêcher d'agir, car la seconde salve avait déjà était tirer, réveillant le gamin, je le fit courir le plus rapidement possible vers les montagne.
Mais pour moi la course s’arrête la. Net et précis, un obus tombant a mes côtés. Vraiment a mes côtés, ce qui a pour effet d'arracher mon bras gauche, de tout sa longueur, me projetant violemment sur la droite, j'ai peut être jamais eu aussi mal de toute ma vie, car j'ai été assommer, sur le coup.

L’atmosphère était lourdes, c'était comme si, le temps c'était arrêtée, l'ambiance maussade et macabre n'étais pas bon a vivre, tout cela été dérangeant, tout été pesant, lourd, et désordonne. L'odeur de la poudre étais bien présente, lourdement présente, faisant sentir un situation d'urgence, toute cette ambiance n'étais pas, normal. L'odeur de la chaire brûler, ainsi que les gaz de différent matériaux encore en combustion par-ci par la. Cette ambiance laissé planait un doute, dans la zone, une incohérence total, une ambiance de destruction, de mort, une triste ambiance. Une atmosphère lourdes, très lourdes.
Ce sentiment commencer a me gagner, me tarauder, que ce passais t'il ? Le sentiment de désolation traverser mon esprit, pourquoi ? Ou étais-je ? Pourquoi je me sentais si faible, alors que tout va bien ? Marchant lentement, je vis une chose bien étrange, un souvenir lointain et mystérieux, qui me colle a la peau, qui ne me quitte pas, qui ne m'a jamais quitter. Marchant lentement dans un zone qui sentais mon enfance, je vis la raison d'une de mes sources de combat, Vilhelmiina, Elle était Ishvale, vivant dans le village le plus proche d’où je vivais. Elle me regardait avec ses yeux rouge, des yeux apaisant, les sien m’apaisait, m'envolant dans un doux rêve de liberté. Je me souvenais enfin d'une promesse que j'avais oublier, escalader les montagne de Briggs, je devais le faire avec elle pour notre amitié, pour l'espoir de pouvoir conquérir le sommet des dieux. Malheureusement elle décèdes du a un accident, un malheureuse accident, un jours d'hiver ou nous nous baladions dans le montagne.
Je me réveilla avec sursaut, ces dernière images m'avais profondément choquer, tel un tunnel, auquel ont vois la lumière au fond. Un douleur me traversait la tête, toute cela semblais réelle, mais ce n'étais qu'un rêve, un foutue rêve, ou alors j'étais morte ? Ou un coma... Mais en tout cas, le triste retours dans la réalité me fais l'effet d'une claque dans la tronche. Je suis dans... ce qu'il semble être le reste d'un camps, un camps militaire détruit, complètement, il n'y a plus la moindre âmes vivante dans cette zone. Allez Franny, réfléchie pour te rappeler ce qu'il c'est passer !
C’est le moment, ou tu te rend compte, que toi aussi tu a perdu quelque chose dans l'affaire, tu a essayer de protéger un jeune Ishval dans la panique, en espérant pouvoir le sauver, ce que tu réussi a faire Franny, malheureusement, dans la longue liste de dommage du camps détruit, ton bras gauche en fais partie. Tu crois rêves, être dans un cauchemar, tu essaye de te frapper de ta main gauche, tu la sens toujours, c'est impossible ? Hein ? Tu panique, perd les nerf. Tu te retrouve debout, a observer finalement ton incroyable destin.
Bordel Franny, t'est vivante dans ce merdier, ouvre l’œil et le bon ! Pourquoi ce camps a été pilonner par l'artillerie ? Pourquoi bordel ? Je suis vraiment la seule survivante la dedans ? Me retournant, je ne pus m’empêcher de revoir le moment ou je sauvais malgré moi cet Ishval, un enfant, qui plus est, que j'ai essayer d'exfiltrer toute seule pour-qu’il puisse s'en sortir, et ceux en vie. Alors que l'on courait pour s'enfuir, un obus s’abat a mes cotés, me projetant violemment sur le côtés. Mon bras en moins, j'étais sur le point de m’évanouir, ou mourir, le gamin revenait vers moi pour m'aider a me relevé, je le pousser a se barrer avant de sombrer, il ne voulais pas, j'ai fini par l’éjecter en sombrant. Triste destin pour ce gamin en tout cas. Je ne sais pas vraiment comment ça ce fais que je me suis réveiller, mais bon, ce qui est fais est fait.
Je ne sais plus vraiment quoi faire... gourde sur moi, un bras en moins, je pètes les plomb, la blessure n'étant pas cicatriser, je part a la recherche des grand moyen, premièrement un feux, assez puissant et chaud afin de brûler la blessure, pour la cicatriser. Deuxièmement un objet en métal assez conséquent pour pouvoir cicatriser le tout en une fois, ce que je ne trouva pas, dans cette instant de stupeur, pour finir l'aventure, je finis par mettre ma blessure a proximité du feux, afin de réussir a cicatriser cette horreur.
Marchant lentement parmi les décombres, et cadavre gisant sur le sol, seulement depuis quelques, heure, je me redemandais une centieme fois, comment cela été possible ? Comment un tel incident ais pus arriver ? Les Ishval n'ont pas d’artillerie de ce genre, ce n'est pas des mortiers qui ont pus causer de tels dégâts. Une erreurs de tire ? Ce n'est pas improbable. Mais dans qu'elle conditions ceci a t'il pus arrivé ? Nom de dieu. Je me sens minable.



Alors que je marchais lentement dans la longue plaine désertique, je rencontre un vilage complètement en ruine, complètement bombarder et détruit. Tout cela me desoler, alors que je marchais comme une âme en peine. Je m'étais mis dans l'idée de marchais vers le soleil, peut importe la raison, le paradis doit être dans cette direction, je n’ai pas rencontrer âmes qui vives depuis 4 heures. Ce Village Fantôme m'étais inconnue, je ne l'avais encore jamais vue avant. Pourtant, des cadavres d'Ishval joncher les rue, certain Ishval étant démembré, d'autre dans tout les sens. D'autre complètement tourmenté, comme si une chose horrible les avaient emporter, d'une atroce façons. Quel enfer ont vécu ces gens la ? Mon dieu, l’œuvre d'un alchimiste d'état ? C’est effrayant, ils sont des armes effrayante, tellement effrayante, que moi même, je me demande si j'aurais la chance de me mesurais a l'un d'entre eux. Pourtant, je suis moi même un calibre, mais apparemment, un Alchimiste d'état est équivalente a la puissance d'une unités de simple fusiller, peut être même qu'un alchimiste chevronné, équivaux au moins a une unité de fusillé, combiner a la puissance de l'artillerie lourdes. Tout ça en plus précis, pour uns destruction plus rapide. Tu m’étonne que le généralissime a signer cette formalité, pour mettre fin a la guerre, une bonne fois pour toute, sinon, ont y serais encore, pour notre plus grand enfers.

Continuant a marcher lentement dans les rue, et ruelle de ce village en ruine, je m'assois un temps sois peux sur des marche. Pour écouter les corbeau chanter. Je ne pus m’empêcher d'avoir cette stupide pensais, qu'un jours, c’est moi qu'il boufferont. Il faut que j'y aille, au paradis, vue cette absence de vie autour de moi, je ne peux pas rester ici, aller ma grande, ont y repart. Une nouvelles marche, longue de quelques heure. Le coin est sympa, en tout cas. Malgrès ce sentiment, qui nous reste en trvers de la gorge, celuis qui nous fais penser, que nous somme des assassin.

Mais sans faire trop attention ou je marchais, mon pieds activa un piéges, un piéges d'alchimiste, bordel de merde, c'ets quoi comme alchimie ça ? Le vent... dans un élant de survit, je fit un saut en arriére pour essayer d'exquiver le tourbillons qui se former devant moi. Mais plus ca allez plus il devenais puissant, alors je me précipita a 4 pattes pour quitter la rue, dorénevent un enfers pour tout être vivant de bonne tailles. La guerre ayant disparue de la régions, je suis triste de voir qu'il y en reste des vestige. Mais est-ce vraiment la fin de la guerre ? En tout cas pour moi ça en a tout l'air.

Mon dieu. Je ne sais plus quoi me dire, une chose est sur, je n'ais pas encore tout vue. Je repris donc mon périple, pour rechercher des vivres un peux partout. Pour essayer de survivre plus longtemps. En prenant la direction du soleil, je vais bien reussir a trouver mon paradis, un une eldorado.