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In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer

MessageSujet: In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer  EmptyLun 28 Aoû - 11:33
Isleen O'Dwyer – née Andersen

Âge : 54 ans
Nationalité : Amestrienne
Métier : Pharmacienne
État civil : Veuve de Mycroft O'Dwyer, de feu médecin de guerre et déserteur à Ishbal.
Spécialité : Connaissances assidues en biologie et pharmaceutique. Sa fonction lui donne également accès aux traitements en abondance.
Objectif : Soutenir les actions des opposants au régime et prêter main forte à ces individus que le gouvernement étiquette de parias. Une résistance qui se fructifie avant tout pour un intérêt humain, son grief pour les hautes sphères résultant plus du mépris que de la haine.  
Groupe : Les civils / Les infiltrés.
Caractère

Qualités - Je n'apprécie point ce narcissisme qui consiste à se rehausser de la masse par des traits singuliers. Mais, je pense pouvoir affirmer en toute objectivité être une femme accorte. Mes défunts parents m'ont éduqué dans le souci d'autrui. Un altruisme s'érige ainsi de ma nature sous un persona sculpté dans un marbre fictif. Une passion s'attise sous mon visage rendu placide par la convenance. Le féminisme, les rapports d'équité humaine embrasent ma nature philanthrope. Je suis portée d'idées et en savoure les  débats auprès de mes quelques locuteurs. Une tasse de thé délie les langues et abreuve les plus bavards.
Défauts - Mes grandes confusions empathiques embrouillent ma raison, dit-on. Je ne peux que soutenir cette raillerie. Sous le masque d'une décence urbaine suinte mes ressentis vibrants. Leurs oscillations débordent tantôt de ma mise factice imperturbable. Je suis perméable à la souffrance de mes pairs humains – et à la peine inter-espèces de toute créature organique que je place à égal. Une vulnérabilité disent les médisances. Un ragot que je contredis en glorifiant les bénéfices de cette sensibilité, qui bien que tortueuse, invite à la compassion et rend la compréhension des autres plus docile. Un idéalisme qui mènera potentiellement à ma perte. Je ne redoute point mon autodestruction. Il ne me reste de ma vie que des ruines d'un passé que je me remémore en sanglots, ressassant mes fantômes. Le déluge me succédera. Ainsi à mon vilain caractère se superpose cette forme de vaillance mal placée. Un égoïsme suicidaire que je conscientise. Je suis seule. Et n'ai que moi à perdre. Autant vous prévenir que je m'accorde peu de valeur.

Ces aspects à diviser ma personnalité, selon le jugement de chacun, bons ou néfastes, ne sont mes seuls traits identitaires. Retranscrire sa psychologie est un exercice alambiqué et je ne pense point être docte pour vous en synthétiser l'analyse en ces lignes, mais de mon expérience de vie avancée, je pense pouvoir me décrire en toute objectivité.

Ainsi l'aurez vous compris, je suis d'une nature humaniste. Une affection envers autrui qui ne transparaît pourtant point spontanément. Les années m'ont appris à en atténuer les remous. Aussi, si je figure sévère sous certains reliefs de mon faciès, sachez que mes pensées n'en demeurent pas moins affectées. Et de combien de maux ! Mes décennies sont souillées de souvenirs amers, de rêves inassouvis et de deuils lancinants. Ces douleurs de l'esprit se matérialisent sous une forme physique comme vestige de ces cicatrices encore visibles. L'alliance de mon défunt Mycorft enjoint à mon anneau pour l'éternité où je sonde son absence. Mon ventre creux et cabossé de ces naissances inabouties. Elles me torturent ces peines. De leur malice inquisitrice lorsque passent le seuil de ma boutique des familles unies, des foyers débordant de vies. Le sourire de leurs enfants me renvoie à mes frustrations, un désir dont j'ai à mesure appris à en extraire le poison pour répondre la mine bienveillante à ces charmants bambins.

La vieillesse vous octroie une curieuse sagesse.

Je suis pareille à ces vieux capitaines ayant gravi tant de houles, que je navigue sur ce qui me reste d'horizon avec quiétude.

Je sais quel naufrage m'attend si je me laisse saisir dans ma contrebande auprès de mes chers infiltrés.

Ma propre mort ne m'effraie pas. Je l'ai vécu de mon vivant en perdant ceux qui m'étaient chers. Il ne me reste que mes espoirs d'une nation meilleure, d'une démocratie juste. Et ce rêve étant un collectif — certes silencieux — je sais qu'il me survivra et aboutira après mon trépas.

Quelque soit la lame sous ma jugulaire, je partirai dans un mutisme fidèle. Je ne suis point une couarde prête à trahir les siens pour un gain d'espérance vitale méprisable.

Nommez ce cliché d'héroïsme vantardise. J'en porte fièrement le fard sous un rictus que j'ourle d'arrogance dans les situations les plus sinistres.

Des lippes qui s'étirent également dans des fossettes affables. Ma clientèle et mes rares amis en constatent l'extension lors de nos discussions passionnées.

Car malgré mon veuvage, je n'en demeure pas moins une femme sociable se plaisant à deviser de ses idées aux ouïes attentives.

Et croyez moi que de la conversation, je peux vous en forger une rapière ou un écu, dans les échanges pernicieux.

Capacités & Inventaire

Qui a cru à ce préjugé selon lequel les dames matures seraient taries de leurs ressources comme de pauvres roses aux épines asséchées ? Isleen contrairement à la réalité de ses nombreuses décades est encore dans la fleur de l'âge. Une robustesse qui se traduit par ses engagements fertiles et ses convictions imperturbables. Une force motrice et morale qui anime encore son organisme usé des nombreux deuils ayant alourdis ses épaules. Une douleur qui porte et qui emporte. Malgré des performances combatives médiocres, madame O'Dywer croise le fer sous d'autres rixes dans des batailles retordes. Son sens des affaires et ses duperies commerciales sont des armes qu'elle dissimule sous des lippes fardées de courtoisie. Une rouerie qui ne pollue point son sens d’éthique, sa conscience reste immaculée. Ses fourberies dupent momentanément le gouvernement et non l'innocence des civils. Dame Isleen les prend en traîtrise en léguant quelques de ses produits et procurant des soins à la résistance. Une autre marque qui en plus de son inflexibilité        morale atteste de compétences accrues dans le domaine curatif.
Inventaire : Le stock de sa pharmacie comprenant la médicalisation d'usage ainsi que des drogues « légales » par son statut de pharmacienne  et pour la préparation de ses remèdes.


Histoire

Mycroft, mon amour.

C'est le cœur percé de ressentis immenses que j'abreuve cet épître. Est-ce étrange de t'écrire en ces mots mes maux ? Alors que je sais pertinemment que tes yeux aveugles, ton regard mort, ne s'écorchera point de leur douloureuse lecture ? Cette lettre à titre posthume, je l'adresse avant tout pour moi. Rédaction narcissique mais néanmoins nécessaire. Lorsque je me remémore le brouillon de ma vie depuis ses laudes, mes cognitions se dissipent, se voilent d'un opalescent brouillard nébuleux. J'ai les souvenirs confus, ombragés par leurs sentiments qui pleuvent sur mes globes appesantis de fatigue, comme si la simple vision de ce passé était une offensive visuelle larmoyante. Dans le monde des pensées que je rembobine, les sens s'agitent. Sons, couleurs et odeurs qui ne transposeront pas sur ce papier figé en deux dimensions. Mais les iris qui décrypteront ce parchemin, les mains qui le palperont, sauront. J'aurais tant aimé que ce soit les tiennes mon doux Mycroft. Car si tes paupières pouvaient se plisser sur ce respectable d'encre, en cet instant, sans doute, les contemplerais-tu du sommet de mon épaule. En chair et os. Matières organiques dont je ne peux jauger de l'état dans ta présente tombe.

Je suis née, tel que tu le sais, dans une bourgade au sud du pays. Fille unique d'un couple de pharmaciens modestes, mes géniteurs ne m'ont point poussé dans la succession de leur affaire dans une obsession d'héritage maladif mais, car c'était mon souhait. Enfant, il me plaisait de descendre jusque dans la boutique aider mes parents. Mon père s'esthétiser l'acteur de mon attention admirative en s'appliquant sous mes orbes ébahies à la préparation de remèdes. Il m'enseignait les rudiments des herbes médicinales, le grammage de certaines poudres. Ma mère m'encourageait avec la même passion propre à sa profession, devisant avec moi des heures durant du corps humain et de sa merveilleuse complexité faisant parfois de nos propres organismes un lot d'énigmes insolubles.

Tu peux ricaner en appelant ceci « conditionnement », Mycroft, mais c'est cet attachement depuis mes premiers brodequins qui participa à notre rencontre.

Je me souviens du jour où nous nous sommes rencontrés sur les bancs de la faculté de la capitale – mon père et ma mère avaient participé à leurs frais à mes études incluant mon aménagement écolier dans leur épargne. Tu avais ce visage serein, un peu maladroit. Nous nous sommes mis à nous fréquenter après quelques dialogues impromptus échangés dans les couloirs. Je n'aurais jamais cru à terme me vêtir d'une robe immaculée pour apposer ton nom au mien.

Nous avions les mêmes idées. Nous nourrissions les mêmes rêves. Je dis « nous » car quand je pense à toi, Mycroft, je ne peux dissocier ton identité de la mienne. Tu es ancré à mes strates dermiques les plus intimes. Depuis ton absence, je suis frileuse de ta peau, amputée de cette moitié unique que nul ne pourra substituer. Aucune greffe d'amour propre. Aucune imposture se parant de l’ersatz de tes traits. Nous étions une fusion d'affection brute. Et ainsi, dans cet élan passionnel avons-nous voulu étendre notre nid. Pour offrir au monde le fruit de nos entrailles. Car c'est en ce sens l'amour le plus sain pour de la marmaille, non ?

J'aurais aimé porter tes enfants Mycroft. Les garder suffisamment en moi pour les voir naître à terme. Je n'ai jamais respecté ses échéances dictées par la nature. A deux reprises mon ventre s'est déchiré précocement pour engendrer l'opposé de la vie d'ordinaire perpétuée. Tu ne m'en as jamais voulu, mon tendre. Tu n'as cessé de me réchauffer lorsque le deuil laissait courir son linceul sur ma peau frileuse de deuils. Tes bras étaient une écharpe réconfortante. Ils avaient ta chaleur et ton parfum de tabac froid.

Douce embrassade qui nous fut ravi.

La guerre t'a enlevé pour ne jamais te restituer à notre foyer. Mycroft O'Dwyer, médecin de guerre. C'est en ces titres héroïques que le gouvernement t'eut réquisitionné pour partir à Ishbal. Une péninsule du pays brûlait avec le sang comme combustible. Et je dû lutter intestinement à te savoir piéger dans ce contexte conflictuel. Lointain physiquement et moralement. Je ne pouvais figurer des horreurs que tu me narrais dans nos quelques échanges épistolaires. Et quand bien même mon encéphale en arrivait à en restaurer des images mentales, celles-ci étaient aussitôt refrénées dans un déni implacable. Tu étais trop bon Mycroft, un docile idéaliste fervent vassal des plus nécessiteux. C'était cette compassion qui m'avait plu chez toi, mais aussi celle qui te perdit.

Les faits reportés dans tes derniers actes de liberté, racontent que tu te serais rebiffé contre l'ordre de soigner un de tes supérieurs avant de t'enfuir pour être misérablement rattrapé par tes pairs dans les régions de ergs. Couardise ou traîtrise qui te valu le sort que tu connais – si tu me toises de ton éternité.

Officier qui, d'après les témoignages qui me revinrent, avait massacré cruellement des femmes et des enfants. Meurtres banalisés par la guerre. « Banalisés » ? Te rends-tu compte des folies auxquelles cette page de l’histoire nous insensibilise ? Je me dégoûte d'aligner ainsi ces vocables comme si leur alchimie s'harmonisait dans un ordinaire tolérable.

Partageais-tu encore cette conviction avant de mourir sur le peloton d’exécution ?

Ô oui.

Nous étions une unité pensante. Ainsi avais-je la certitude que tu ne regrettais pas ton choix, comme une Antigone digne, tu avais affirmé ton intégrité en accord avec ta nature profonde, cette fidélité t'en eut coûté la vie.

Pourtant ai-je essayé de lutter contre ce sort funeste. Combien de courriers sont parvenus au gouvernement dans l'espoir anorexique d'un aménagement de peine ? Combien d'enveloppes n'ai-je pas échoué pour te sauver de ce naufrage inéluctable ?

L'énergie que j'ai déployé à te sauver avec le radeau de mes espérances miteuses m'a balayé avec la force d'une vague scélérate. J'ai vieilli d'une célérité prestidigitatrice les jours qui suivirent ta mise à mort.    

J'étais seule, et ton absence me carençait du tangible. Tu avais si longtemps était implanté dans ce décor pour en être extrait par une volonté hiérarchique.

Jamais plus tes phalanges ne s'imbriqueraient dans les miennes. Jamais plus cette senteur de cigarette n’embaumera les rideaux de notre demeure vide. Ton trépas m'aura laissé camée d'un manque à perpétué dont je peine encore conscientiser l'infini qui nous distance.  

Je t'ai aimé Mycroft, et je ne cesserai de t'aimer jusqu'à rendre mon âme en retour. Peut importe l’acquéreur de cette volonté spirituelle, tant que je suis avec toi ou loin de ce tourment qui ronge mon sommeil. Le lit aussi est si glacial depuis que tu n'es plus.

Je ne hais pas la Grande Faucheuse de sa sentence inique sur ton corps mortel. Mais j'en veux à tes bourreaux qui eux, sont bien humains. Si l'on peut accorder ce statut à leurs crimes dissonants de toute humanité. Les sourires les plus doux dissimulent un acide vicieux.

Mycroft, tu n'approuverais pas cette résolution discutable mais c'est pour être en concordance avec moi-même que je l'ai médité. Tout comme tu fus en résonance avec tes idéaux jusqu'au bout. Je vais m'opposer au système. Pas dans une fiévreuse vendetta. Pas parce que ta perte m'a aigrit. Mais parce que cette militarocratie, fabrique à victimes, m'indigne.

Au final nous étions les deux mêmes segments du même Être pour que je me précipite dans un destin analogue.

Je ne sais dans quelle mesure y parvenir, je ne veux souiller mes mains en m'abaissant à la méthode ennemie, mais j'ai eu vent de personnes partageant la même animosité. Les journaux sont bavards et le citoyen avisé et affirmé ne peut démentir des bouleversements actuels dans ce pays. J'ai justement tout un inventaire de médecine et de drogue à ma disposition.

Si je ne puis agir directement, je puis toujours assister des idées jumelles aux miennes ?

Pardonne moi de m'aventurer dans ces sentiers épineux, Mycroft.

Mais si « ils » ont su décider de ton sort. Je veux en toute réponse décider du mien.

Un peu de vous

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Un dernier mot ? : Je m'engage sous la tentation dans un nouveau forum. Je risque cependant d'avoir des connexions assez erratiques en raison de mon programme au CNED mais je pense pouvoir tenir la cadence attendue.
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MessageSujet: Re: In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer  EmptyLun 28 Aoû - 20:59
Gniiiiiiiiiiiiih Hannibal Lecter en femme toujours aussi classe *Q* Mômaaaaaaaaan !!!!!
Euhm ! Bienvenue sur le forum o/ J'aime déjà le début de cette fiche 8D !!! Bon courage pour la suite et n'hésite pas si tu as des questions ~

PS : Je t'adopte pour être ma nouvelle maman ! *sort*
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MessageSujet: Re: In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer  EmptyMar 29 Aoû - 15:42
La nouvelle maman de Riza - Shiho... On est dans la merde XDDD

Du coup, elle veut s'en occuper, on laisse Shiho faire XD (Elle va nous taper sinon .___.)

Welcome à toi et bon courage pour ta fiche ma petite humaine ! Si tu as besoin d'un coup de main pour les infiltrés, n'hésites pas à venir me voir ! (Vu que j'ai un peu le recruteur des infiltrés malgré lui, ce bon vendeur de tacos à la moustache, Jin-Wan Han)

P.S : En effet, j'adore aussi le début de la fiche 8D
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MessageSujet: Re: In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer  EmptyDim 10 Sep - 14:32
Merci beaucoup de cet accueil chaleureux ! Ça fait plaisir et ça me motive à bloc pour écrire la suite. =D Je risque juste de prendre un chouïa de temps supplémentaire en raison de la rentrée en parallèle, mais je vous tiens au courant de l'avancement de ma fiche.

Je pense t'envoyer un mp dès que j'en serai à l'histoire Ban. On pourra ainsi goupiller notre relation et l'infiltration de Isleen dans les rangs du groupe. x3

Merci encore !


EDIT : J'ai terminé ma fiche. )o) Il est possible qu'il y ait quelques coquilles quant au contexte. N'hésitez pas à me donner votre avis et j'y apporterai les corrections nécessaires. Merci d'avance.
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MessageSujet: Re: In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer  EmptyDim 10 Sep - 22:37


In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer  Fullmetal%2BAlchemist%2B16

*Range son mouchoir et se frotte les yeux* QAQ

• Caractère


Très bien écris, j'adore ton style, je n'ai rien à redire dessus en fait tout y est, complet et logique ~


• Capacités et inventaire


C'est Nickel o/


• Histoire


Que dire... Tu m'as fais verser ma petite larme QAQ heureusement que je t'ai adopté comme môman 8D ! Sérieusement, l'idée de faire une lettre à titre posthume à ton mari... Merveilleuse idée, je me suis régalé à lire et je ne suis pas déçue de l'attente (oui j'étais impatiente de la lire o/). Pour ce qui est des dates tout ça tu pourras faire ta chronologie sur le forum :3 du coup tu pourras bien tout remettre en ordre ! Je n'ai pas plus à ajouter hormis que j'adore ta fiche de A à Z <3


• Validation


Tu es officiellement validée avec grand plaisir !

In war, not everyone is a soldier - Isleen O'Dywer  5912fcdea1a7b_original

Voici ce qu'il te reste à faire avant de venir RP avec la famille :

- Recenser ton avatar et ton pouvoir. ICI et ICI
- Faire ta banque, chronologie et peut-être même un shop, si tu es un commerçant.
- Ta demande de logement ou shop.
- Ton journal de bord.
- Ta demande de RP.
- Aller flooder comme un malade si tu le désire ou poster pleins de bêtises.
- Si tu as des demande diverses. ICI
- Aller voir les contrats de mercenariat.




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