Amestris... Une magnifique nation... Entourée de voisins tous plus belliqueux les uns que les autres... À lorgner constamment sur ce magnifique pays, à vouloir toujours l'envahir sans raison apparente, alors qu'il ne demandait qu'une chose pouvoir vivre librement. Du moins en fait c'est ce que croyaient là moities des gens qui vivaient là. Un peuple idiot et ignare qui croyait dur comme fer tout ce que leur disait le pouvoir en place, situer au sein de la ville de Central, Ce peuple imbécile croyait tellement à ce que le pouvoir disait que s'il lui demandait de se suicider, ils le feraient à coup sur. Alors que depuis le début, le pouvoir ne se trouvait pas ici à Central, mais en dessous. Lieu de secret et de pouvoir lieu où n'importe qu'elle est humain irait, il ne reviendrait pas vivant du fait de la sécurité et du reste qui se trouvaient là. En fait peu de gens connaissaient la vérité sur le pouvoir le chef de l'État lui-même bien sur, mais aussi tous ses plus proches conseillers que l'on nommait les hauts gradés. Bien que ceux-ci aussi étaient en fait depuis le début manipuler, à croire qu'ils obtiendraient la vie éternelle s'ils obéissaient bien gentiment comme des fidèles toutous à leur maître sans se douter bien sur que tout le comme le peuple qu'ils méprisaient si grandement, eux-mêmes étaient méprisés par ce pouvoir cacher sous la terre....

Mais revenons en a notre histoire, le lieutenant-général Raven, lui était dans son bureau, depuis quelque temps plus rien n'allait dans le plan organiser par le fameux pouvoir cacher sous la ville et ça il le savait. Il y avait cette histoire avec les chimères, cette jeune fille que Raven avait croisée et qui détenait en plus la marque de ces maîtres et qui semblait en savoir quand même un peu sur eux, mais surtout il y avait eux. Oui eux, ces terroristes. Depuis quelque temps, ils semaient la pagaille non seulement à Central mais aussi dans le reste du pays... Pour couronner le tout en plus de cela ils n'hésitaient pas à se servir de chimères et même faire des attentats a la bombe ou pire, ce qui avait pour but d’ébranler le pouvoir non pas souterrain mais celui de Central, car les gens avaient peur, peur de subir une attaque et de ce fait il croyait moins au gouvernement et donc était moins facile à manipuler. Le pire dans tout ça c'est qu'a chaque fois, qu'il croyait enfin avoir le dessus, pouvoir attraper ces foutus terroristes ceux-ci arrivaient à filer au nez et à la barbe des soldats, même ces maîtres à Raven semblaient dépasser, ce qui n’étaient pas rassurants, pourtant il continuait de croire en eux, après tout le plan prévu était en marche et la vie éternelle n’était plus aussi loin qu'il n'y croyait. Il restait donc assis la a son bureau, sa tête entre les mains à réfléchir longuement, poser sur son bureau grand ouvert, un énième dossier concernant la dernière attaque de ces fameux terroristes, cherchant le moindre petit indice, mais il fallait bien l'admettre, il n’était pas très futé ni même réfléchi, alors trouver quelque chose le dedans allait être compliqué. Finalement il prit une grande inspiration et d'un geste là, ferma le dossier calmement, le posant sur la longue pile de dossiers traiter ou bien lu encore et encore pas plus avancer qu'avant qu'il l'ouvre...

Il en avait assez, pourquoi tout cela arrivait, pourquoi maintenant? le plan était parfait depuis le début, depuis même la création d'Amestris le plan était en marche, un plan bien huiler sans rien pour empêcher les rouages de la machine de tourner et pourtant, maintenant oui maintenant plusieurs petit grain de sable qui avait pour nom Scar, cet Hisval, ces terroristes et ces chimères, venait bloquer les rouages du plan et causer tant de problème. Au fond, il savait qu'il ne servait à rien de rester assis à son bureau à tergiverser de tout et de rien et de remuer cela sans cesse dans sa tête, cela ne ferait rien changer au problème, de ces grains de sable, c'est pourquoi il finit par se lever d'un geste là et sorti de son bureau. Il ferma machinalement la porte et se mit à déambuler dans les couloirs sans vraiment savoir où se rendre, il était tel un fantôme qui cherchait le lieu de son dernier repos, croisant de temps à autre ces soldats, qui immédiatement le saluait en s’écartant de son chemin. Ils leur rendaient pas leur salut, non pas qu'il ne voulait pas, juste qu'il était tellement pris dans ses songes qui ne le remarquaient même pas. Ce fut finalement la voix d'une jeune femme qui le tira de sa rêverie, elle lui dit alors:

-Excusez-moi Lieutenant-général, un nouveau rapport vient d'arriver concernant une affaire survenue pendant la nuit à Central, on n'est pas sur bien sur que cela est un lien avec les affaires en cours mais vu que vous avez demandé à recevoir tous les rapports concernant des attaques donc....

-Ah oui, merci, posez cela sur mon bureau voulez-vous, j'y jetterais un œil un peu plus tard.

Telle fut la réponse de Raven simple et directe, il reprit sa marche après cela, sans rien dire de plus. Il avait décidé de prendre au sérieux ce problème de terroriste et autres, car il avait plusieurs pions au sein de l’armée qu'il pouvait utiliser sans se douter que ceux-ci jouaient avec lui, comme il le faisait avec eux, mais peu importe, bon fallait admettre aussi qu'il en avait reçu l'ordre par le Furher en personne et il ne pouvait aller contre ces ordres. Il finit par sortir du bâtiment, se retrouvant sur la grande place. Il prit une grande inspiration un peu d'air frais ne pouvait pas faire de mal après tout, puis descendit gentiment les marches du grand bâtiment qu’était le QG de Central. Il regarda les alentours, tous ces soldats qui allaient et venaient les alchimistes d'États qui passaient par là, des civils qui venaient aussi pour parler de choses diverses ou de problème, il se mit à marcher paisiblement au milieu de cette foule de gens, se demandant s'il n'y avait pas des terroristes ou des chimères au milieu d'eux, ça en était presque à devenir paranoïaque, mais pourtant ça ne l’empêcha pas de se mettre à marcher calmement au milieu de tout le monde se demandant si quelqu'un allait lui adresser la parole ou bien même tenter de l'approcher.
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