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D'après les rumeurs, Le Généralissime King Bradley aurait été vu dans les jardins du Q.G, tondant la pelouse avec un tablier rose.
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Quelle galère mine de rien ! Après ce séjour a Est City…. Non mais qui avait trouvé ces noms franchement !? Bref ! Un moment éprouvant, heureusement avec pas que des rencontres désagréables, le re voilà dans le train direction RESEMBOOL. Punaise que ses auto-mails étaient en mauvais état. Le blond expirait que c’était réparable. Aillant fait trainé leur réparation évidemment avec les récents évènements ses membres étaient sur le point de lâcher prise. Et ça tirait, ça faisait mal. Le train avançait donc tranquillement sur la voie ferrée à travers la campagne.
Haut parleur : Cher voyageur, nous sommes dans le regret de vous annoncer sur du a des arbres sur les voies nous somme dans l’obligation de faire un détour assez important et cela rallongera vos destinations. Nous nous excusons pour la gêne occasionnée.
Et voilà ! Quand on dit que l’on est poissard, c’est bien jusqu’au bout. Les oreilles d’Edward furent rapidement agressées par le mécontentement des autres voyageurs. À quoi cela servait-il de râler ? Cela n’arrangerait rien ! Au moins, ils avaient une solution ! Contourner le problème en attendant qu’il soit résolu. Ils auraient pu toutes les débarqués dans un trou paumé. Mais cela n’avait pas été fait, et ce n’était pas plus mal. Coincé pour coincer, autant dormir. C’est ce que ce dis l’adolescent en baillant. Se calant contre sa valise sur le banc, il s’endormit. Cela ferait passer le temps plus vite. Et ce fut le cas.
Du moins jusqu’à ce que le train ne freine brusquement et ne fasse tomber tout le monde ou presque. Edward maintenant par terre poussa sa valise aidée de la femme assise en face de lui. Mal réveiller, paumé, il regarda autour de lui l’œil agar.
Haut parleur : Cher Voyageur ! Nous sommes dans le regret de vous annoncer que ce train n’ira pas plus loin. Les voies sont endommagées avec plusieurs obstacles qui obstruent la ligne de chemin de fer. Nous n’avons également plus de charbon et devons attendre un réapprovisionnement. Le prochain train au départ de cette gare se fera dans deux jours. Merci de votre compréhension. Les auberges du village vous accueillent aux frais de la voie de chemin de fer. Bonne fin de journée.
Non mais c’était une blague là non ? Bon pas le choix, prenant sa valise en main, le blondinet sorti du train avec les autres voyageurs, ça se poussait et se bousculait. Levant les yeux, il chercha le nom de la gare. Ha la voilà : Giribaz !
Jamais entendu parler. Le jeune homme alla s’isoler sur un muret et sorti une carte de sa valise puis l’ouvrit, voyons voir… C’était ou ce coin paumé ? Ha, c’était là ! Punaise ! C’était vachement loin de sa destination !!!! Sacré détour ! Bon pas le choix, il devrait juste faire attention à n’entrer en conflit avec personne sinon son bras le lâcherait définitivement et sa jambe fort probable qu’elle fasse pareille. Prenant donc sa valise en main, au lieu de passer par la porte ou les voyageurs s’entassait, le garçon sauta au sol de l’autre côté, et se mit en mode, recherchons l’auberge avant qu’il n’y ait plus de place. Ainsi, le jeune homme visitait les lieux. C’était jour de marché visiblement et il y avait pas mal d’échoppe mine de rien ! Il remarqua également quelques personnes avec des prothèses. Surtout des adultes et personnes âgées. Ha l’auberge !!!! Bonne nouvelle. Il s’y engouffra donc avant que la masse de voyageur n’arrive. Dans un sens, cela allait être florissant sur ces deux prochains jours pour les commerçants. Le garçon regarda l’intérieur, ho ! C’était une taverne auberge ! Ça lui rappelait des souvenirs ça. Il s’approcha du comptoir ou se trouvait une femme.
- Bonjour ! F : Bonjour mon garçon ! Tu t’es perdu ? - Non, le train est en rade ! Et j’ai besoin d’une chambre pour deux nuits au moins.
Il sortit son porte-monnaie, et paya directement la chambre. La femme sembla surprise de voir un jeune enfant seul. Mais lui donna volontiers une chambre. N’empêchez si ce gamin venait de dire que le train était en panne, cela voulait dire pleins de clients qui allaient débarquer ! En voyant le blondinet reprendre sa valise pour la suivre alors qu’elle le guidait dans les étages, elle capta un bruit qu’elle connaissait bien. Et vu le son…. Une fois le jeune homme dans la chambre, elle lui sourit.
F : Descend manger quand tu veux. Mais le service du midi s’arrête à 15 h, et celui du soir a 23h. Pour ta jambe, tu devrais aller voir Mel. Il est juste à côté de l’auberge. Il te la remettra en état rapidement.
Et pour un prix modique imagina avec ironie l’alchimiste. Aucun doute, cette femme savait reconnaitre le pas lourd des personnes portant des auto-mails aux jambes. Edward s’installa donc en rangeant sa valise puis s’étira. Punaise, il avait les reins en compote. Bon, il dormirait bien cette nuit au moins. Enfin, il descendit à nouveau en bas après avoir verrouillé sa porte. Clef soigneusement rangée, il alla donc voir ce fameux mécano, s’il pouvait bidouiller un peu histoire que ça tienne jusqu’à chez mamie Pinako ça serrait top !
Arrivant devant la dites boutique, il regarda la vitrine. Il n’y connaissait vraiment rien à tout ça, et pourtant, il était capable de réparer une radio grâce à son alchimie, mais une prothèse non pas du tout. Entrant dans ce lieu plein de brik à braque. Le garçon chercha le fameux Mel…. Ho l’avait-il trouvé ? Là en train de faire il ne savait quoi sur une prothèse quelconque ? Un garçon d’environs son age… Un sourire vain illuminé, le visage du blond, ce garçon semblait un peu plus petit que lui ! Enfin quelqu’un qui ne l’embêterait pas.
- Salut ! Je cherche un dénommé Mel. La femme qui tient l’auberge à côté m’a dit qu’il pourrait me réparer.
En disant cela, il retira juste son gant droit, sa main de métal était vraiment très abîmer, les articulations étaient quasiment a nue, comme les câbles qui servaient de nerfs, il ne restait vraiment pas grand-chose de l’enveloppe ronger par l’alchimie comme si de l’acide l’avait attaqué. Et dire que son bras et sa jambe étaient dans le même état. Et avec les récents affrontements, il n’y avait pas que ça d’abîmer, ressort, suspension tout avait trinqué visiblement.
Mon sauveur ft. Edward Elric Meliodas était penché depuis la première heure ce matin sur une prothèse, le jeune garçon voulait battre son record mais aussi et surtout finir l'automail pour son commanditaire. Il bidouillait les circuits, fixait les plaques et surtout... mangeait son sandwich préparé par sa mère pour prévenir d'une quelconque intoxication alimentaire qui pourrait lui être donné par sa cuisine. Il se désaltérait à grandes rasades d'eau lorsque sa gorge s’asséchait, ceci dit, il ne buvait que rarement.
Il faisait danser les clef mécaniques entre ses doigts, les faisaient valser entre l'établit, la matière métallique, il travaillait avec sérieux, application, professionnalisme sous l’œil vide de son cochon. De temps à autre il s'exprimait pas des onomatopées ou encore par des mots bien distincts à destination de son compagnon. Il était bien seul dans cet atelier si on omettait ses visites, il ne s'en plaignait pas bien au contraire il aimait travailler dans le calme, et si jamais il avait besoin de compagnie il n'avait qu'à aller de l'autre côté de la place à la taverne de ses parents. C'était rare que cette taverne n'ait aucun client, et il trouvait toujours quelque chose à faire là bas, il trouvait de toute façon toujours quelque chose à faire le jeune. Si il n'était pas dans sa mécanique il se reconvertissait occasionnellement en serveur pour aider ses parents.
« Pfiou... Hawk tu veux manger aussi? »
« Gruiiiiiiiik »
Meliodas éclata de rire avant de s'essuyer le front, il avait chaud... Il retira le haut de sa combinaison de travail et noua les manches à la taille restant en tank top noir. Il alla chercher la nourriture d'Hawk et un nouveau sandwich tout en remplissant la gamelle d'eau de l'animal. Il s’accroupit le regardant manger amusé. Il éclata de rire en le voyant se ruer sur les miettes qu'il faisait tomber. Une fois son court repas terminer et il se leva frottant ses mains sur le bas de la combinaison et retournant au travail sur sa prothèse.
Il mit des lunettes de protections et s'attaqua à une soudure. Il aimait bien faire tout ça, il aimait son travail. Si seulement Azazel se trouvait un travail plutôt que de le faire chier ce serait tellement bien. Parce que à force de tourner en rond il finirait par rouiller et peut être même perdre les 0,02 centimètres de plus qu'il avait de plus que lui... Meliodas émit un petit rire en songeant à cela. Il n'avait absolument aucun complexe sur son mètre 52 mais en pensant au complexe d'Azazel il ne pouvait s'empêcher de rire. Peut être vaudrait-il mieux l'amputer des jambes et lui faire des jambes de girafe. Ils y trouveraient tous les deux leurs comptes... Azazel serait plus grand et lui il remplirait son porte-feuille. Il pourrait même construire l'atelier de ses rêves... Une taverne la nuit et un atelier de mécano le jour. Avec une beeeeelle salle d'opération pour les automails, une jolie salle d'attente, un grand, bel et organisé atelier et une petite pièce pour Hawk. Et une grande salle pour le côté taverne... ouais il avait tout en tête, il voulait vraiment faire ça, mais il fallait de l'argent et pour le moment l'argent il l'avait pas. Il savait ce qu'il voulait et il l'aurait... Surtout ! Une belle et grande cuisine !!! Avec tout le matériel dernière génération ! De beaux couteaux de cuisine, avec une petite protection pour éviter les bêtises, de grosses casseroles et gamelles pour les jours où il serait bondé, des livres de recettes écrit par lui aussi !
Meliodas était totalement en train de rêver en branchant les câbles du futur membre, tout devait être parfait, et si jamais il oubliait une vise, même une toute petite ça pouvait se révéler dangereux pour le client. Si jamais l'automail lâchait alors que le client travaillait cela pourrait se révéler fatal... Pour l'automail, mais aussi l'homme qui avait passé commande.
Il sursauta presque en entendant la petite clochette à l'entré de sa boutique. Il releva les lunettes de protection et releva le visage vers le client. Ah non... ce n'était pas le client du membre sur lequel il travaillait. Il posa la clef mécanique et prit un torchon pour essuyer l'huile qu'il avait sur les mains avant de sauter du tabouret et s'approcher du client. Un gars de son âge en regardant de plus près. Rare... Venait-il pour lui ? Ouais coup sûr en l'écoutant marcher, une démarche lourde de sens.
« Oui c'est moi, t'as parlé à ma mère ? Cool. Meliodas ! Bien sûr que je peux te réparer ! Je peux tout réparer! »
- Oui c'est la femme a l'auberge qui m'a diriger ici.
Le blondinet rabaissa donc ses manches droite, puis retira sa veste rouge, il chercha un moment ou la poser, il trouva un pan vide d'objet sur un établi. Edward plia donc sa veste longue et la posa, puis fit sauta l'attache à son cou de la veste noir et la retira aussi dévoilant son bras entier mécanique de l'épaule jusqu'à bout des doigts. Il retira ensuite son débardeur sachant qu'il allait gêner, la cicatrice liant le métal a la chaire visible et rosée. Il posa le tout sur la veste rouge. Son bras de chaire était, mine de rien, assez musclé, mais pas trop gardant le coté adolescence, son torse pareille, pas un gramme de graisse de visible. Le bras mécanique était tellement abîmé que c'était à se demander comment il pouvait encore l'utiliser aussi facilement, les gestes étaient fluides et rapides. Les mains détachèrent l'épaisse ceinture, avant de retirer son pantalon, il retira avec ses pieds ses chaussures. Le pied de métal entrant dans un claquement sec en contact avec le sol. Enfin le pantalon tomba, le laissant en caleçon bleu. La jambe de métal aussi était bien abîmé, mais visiblement moins que le bras, seul le métal extérieur semblait avoir été rongé. Le pantalon alla rejoindre le reste de ses vêtements, puis Edward se retourna vers le jeune homme.
- Tu penses toujours pouvoir me réparer ? J'allais voir ma mécano à la base, mais a cause de problème sur les voies, on a été déposé ici, et pas de train avant deux jours. Et je ne peux pas me permettre de perdre plus d'une semaine sur mon trajet.
Edward espérait surtout qu'il n'aurait pas a tout refaire. Déjà a deux Mamie et Winry prenait trois à quartes jours de réparation. Mais s'il avait grandi, cela voulait dire des modifications en plus, et vu qu'il pliait très légèrement la jambe droite alors que la gauche métallique était tendue signifiait qu'il fallait corriger ça aussi. Sinon il serait bon pour une scoliose. De plus, le blond savait très bien ce que cela voulait dire. Mesures dans tous les sens, rester en caleçon durant il ne savait combien de temps, prothèse temporaire pour la jambe. De plus, il ne connaissait pas ce garçon, il ne savais pas la qualité de son travail, bref pas mal d'incertitude. Mais en même temps, l'alchimiste n'avait tout simplement pas le choix.
Le jeune homme espérait aussi ne pas vexer l'autre en lui disant qu'a la base, il allait voir sa mécano et qu'il se retrouvait à le consulter par défaut. Pourvu qu'il ne le renvoie pas avec ses problèmes mécaniques non résolut. L'alchimiste rosi légèrement du coup. Il tourna la tête vers l'avant de la boutique ou se trouvait la vitrine. Des filles passant les observait et il piqua un fard monumental et se déplaça derrière les machines pour ne plus être reluqué. Non mais c'était quoi ces manières de reluquer les gens comme ça en petite tenue ? D’ailleurs heureusement qu'il portait un caleçon standard et pas celui de l'armée. En parlant de vêtements.
- Dit, tu saurais où je peux aller laver mes fringues ? J'ai laissé ma valise à l'auberge dans la chambre, mais bon.
C'est vrai, il fallait qu'il lave ses quelques fringues qu'il avait. Car il ne voulait pas se retrouver a porter l'uniforme militaire qu'il baladait au final partout dans le fond de sa valise. Edward laissait l'autre garçon l'examiné le toucher, le mesurer, bref faire tout ce qu'il avait à faire. Rien qu'en pensant qu'il allait devoir, les lui retirer et plus tard les lui remettre et faire la connexion des nerfs...
En général, les adultes pour la plus part criait et pleurais à la connexion. Mais lui ferait comme toujours, souffrir en silence. Puis êtres K,O pendant au moins 24 heures. Bref suivant le temps estimé, il irait prolonger sa réservation à l'auberge, et appellerait Central pour dire qu'il mettrait plus de temps à revenir en ville. De toute façon, il devait les appeler pour donner sa localisation. Donc bon, autan tout faire d'un coup. C'est dommage, il allait être forcé de se reposer, c'était bien le genre de village où il ne se passait jamais rien.
Mon sauveur ft. Edward Elric « C'est gentil de sa part »
Il sourit les mains sur les hanches avant de se retourner vers son établi faire un peu de place pour que l'autre puisse poser ses habits quelques part en se changeant, il eu un regard vers la vitrine... pas pudique le client. Il rit intérieurement avant de le regarder quelques secondes. Il avait peu près le même âge que lui de ce qu'il voyait... Plus grand... forcément, Meliodas en était tellement habitué qu'il ne le relevait plus et se contentait de lever la tête tout simplement . Mais il s'en foutait parce que c'pas la taille qui compte comme on dit et ça lui permettait de faire chier son frère. Il lui désigna vaguement la place sur l'établi, il se contentait de le regarder se déshabiller il avait rien d'autre à faire... si continuer sa prothèse, boarf plus tard. Il se demandait bien ce qu'il devrait faire au plus jeune, réparation ? Nouvel automail carrément ? Il faudrait qu'il fasse les comptes... Trop de trucs... Mais une bonne source de revenus
A peine l'autre était en caleçon, joli bleu au passage, qu'il se mit à inspecter la prothèse... La première chose qu'il lui passa par l'esprit fut une simple question...
« Comment ? Une prothèse de cette qualité a finit comme ça ? Bien entenud que je peux te réparer ! C'mon travail t'inquiète ! C'et pas de chance les soucis sur les voies... Surtout pour arriver ici, pas de chance vraiment... J'vais tenter de faire mon possible faut juste que je vois l'état de la chose. »
Ouais normalement tout devrait bien aller... Sauf si l'état était pitoyable comme il le voyait d'un premier coup d'oeil. Il n'en revenait pas... il triturait le bras dans tous les sens, le regardant sous tous ses angles tripatouillant certains circuits pour en voir l'état. Il ne se demandait même pas comment cela se faisait le ce gars de son âge ait une prothèse, que ce gars de son âge en ait deux. Il se demandait juste comment ce gars de son âge les avait foutues comme ça. Il espérait ne pas avoir à les reconstruire dans leur totalitée, mais en tous cas... pour le bras, s'était très très mal partit.
Il regarda ensuite la jambe, quelques pièces par-ci par-là à changer... et un réglage de taille aussi de ce qu'il pouvait en voir... Il finirait par avoir des soucis de dos... Meliodas ne comprenait même pas vraiment d'où l'autre avait pu avoir l'idée de se faire mettre un automail si jeune... tant de soucis de santé et d'ossature pouvaient en découler. Meliodas aimait son travail et il se débrouillait toujours pour rendre en temps et en heure, rien ne lui était impossible... Il avait une semaine, reconstruire un bras presque entièrement devrait être possible ! Tout comme réajuster la jambe et remettre les pièces manquantes.
Meliodas n'avait pas vraiment tenu compte du ait de ce qu'avait dit l'autre au sujet d'un autre mécano. Il savait juste qu'il allait avoir du travail et si il voulait que ce client revienne il allait devoir fournir un excellent travail ! Il le ferait!Il ricana en le voyant se déplacer, il avait finalement remarqué qu'il était face à la vitrine, pas d'chance. Il continuait son analyse avant de recevoir une nouvelle question.
« Laver ? Oh j'pense qu'tu peux d'mander à ma mère si tu loges là-bas elle devrait le faire. Je peux te demander ton nom ? Comme tu connais le miens »
Il sourit de toute ses dents en relevant la tête pour le regarder de ses grands yeux verts. Tout en conservant son sourire il lui désigna un tabouret.
« J'vais t'enlever tes automails et te mettre une prothèse à la jambe, navré faudra faire sans ton bras un petit moment... »
Il sourit et attendit que l'autre s'assoit avant de compter, et de retirer en premier lieu le bras, puis la jambe. Il alla ensuite chercher une prothèse en attendant et la lui mit après avoir rajusté la taille.
« J'm'occupe du reste ! Repose toi un peu ceci dit, la connexion et déconnexion des nerfs c'pas le mieux » 2981 12289 0
Dernière édition par Meliodas D'Hoffrin le Jeu 22 Fév - 17:22, édité 2 fois
Edward se laissa examiné et détourna la tête à cette question, s'il le lui disait est-ce qu'ils le croiraient. De toute façon, l'autre ne pourrait pas réparer s'il ne lui donnait pas un minimum d'informations.
- L’extérieur a été ronger par de l'alchimie, pour le reste des dommages... Je me suis battu.
Le blondinet soupira, et se laissa diriger, il ne dit rien a la déconnections des nerfs du bras et de sa jambe et sourit en coin quand le petit homme lui clipsa une prothèse de bois,. Il se leva et la testa faisant quelque mouvement, ce n'était pas celle de Mamie Pink, mais c'était pas mal du tout. Peut-être qu'il devrait faire un tour à Rush Valley ce petit homme.
- Je suis un alchimiste, la mobilité de mes membres est très importante vu que je pratique aussi un sport de combat, enfin en général, je me contente de mouvements zen, mais parfois... Voilà quoi. Tu as une estimation de temps et de prix à me donner ? J'aurais peux être pas assez sur moi et faudra que j'aille retirer de l'argent a la banque la plus proche, j'ai vu qu'il y en avait une petite dans le coin.
Edward était en train de remettre son pantalon et le boutonna de son unique main, il referma la ceinture d'un geste rapide et habituer, ce n'était visiblement pas la 1re fois qu'il explosait son bras. Il enfila ses chaussures et les tapota sur le sol avant de se battre avec son débardeur, sans prise de tête, il mit sa veste rouge sur ses épaules et enfila la manche, prenant en main la noire. Le blond le remercia aussi pour l'information du lavage de linge.
- Au passage, il y a des trucs à faire dans le coin ?
Quand il eut une réponse, le blond salua de la main le plus petit et sorti, il bougea un peu le pied gauche pour bien se faire a la prothèse de bois puis se déplaça, retournant à l'auberge, il prolongea sa réservation pour la semaine et alla téléphoner dans la cabine de l'auberge, demandant a transmettre un message a Mustang.
- Allô ? Oui, Edward Elric, Fullmetal... Code... 75408, message a l'intention du Colonel Roy Mustang. J'étais en route pour Resembool, mais du à des obstacles sur les voies de chemin de fer, je suis immobilisé a Giribaz, mais j'ai trouvé un mécano, immobilisé pour la semaine. Du coup, je reviendrais directement à Central après. Bonne journée.
Et le jeune homme raccrocha après que la secrétaire au tout bien répété et noté. Enfin, il ressortit dehors, autan profité de ce beau temps malgré la fraîcheur. Marchant tranquillement l'alchimiste regardait les établies du marché, s'acheta une pomme qu'il mangea en faisant les vitrines. C'était un coin calme, c'était vraiment agréable, pas de conflit, pas de combat, pas de conspiration, une semaine de vacances quoi. Il faudra qu'il raconte tout ça a Alphonse plus tard. Tout en baillant Edward se rendit à la banque, il n'y avait pas grand monde et fut rapidement reçut, il sortit sa montre d'alchimiste, donna son nom et numéro de compte, puis du attendre, cela prit plus d'une heure en fait, le temps que tout soit contrôler et que la banque de Central soit appeler. Enfin il put avoir la somme désiré.
C'est donc le porte-monnaie bien rempli qu'il ressortit de la banque. Et punaise ! Il faisait nuit !!! Le garçon repassa devant la boutique d'auto-mail, fermé, sans doute pour la nuit, retournant a l'auberge, ce fut pour découvrir une bonne ambiance, faut dire, il y avait masse clients mine de rien avec tous les passagers du train coincé sur place. Les parents du jeune mécano devaient avoir besoin de l'aide de celui-ci sans aucun doute. Il y avait également de la musique et certains couples dansaient ensemble avec bonne humeur.
Patronne : Ah te re voilà mon garçon ! Tu dois mourir de faim ! Va t’asseoir au bar, je demande Mel de t'apporter rapidement un plat !
- Merci !
Ça tombait bien, il mourrait de faim, aussi une fois assit tant bien que mal, qu'il était haut ce tabouret ! Le jeune homme attendit, on lui donna déjà un verre d'eau,
- Merci !
Punaise ! C'était quoi ce regard de la part du barman ? Il n'y était pour rien lui s'il n'y avait plus de place nulle part !
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Who am i !
Mon sauveur ! (pv Meliodas D'Hoffrin)
Sujet: Re: Mon sauveur ! (pv Meliodas D'Hoffrin) Jeu 2 Mar - 21:39
Mon sauveur ft. Edward Elric Meliodas cligna des yeux looonguement. Il avait mal entendu ? Comme ce mec de son âge avait fait ronger un membre d'une telle qualité par de l'alchimie ?! Ok il y connaissait rien en alchimie mais quand même c'était... Ow... il en revenait pas !
« Pardon...? »
S'était sortit tout seul, il hallucinait... Mais au final tant qu'il était pas dans l'affaire... quoi que... au final ça lui rapportait pas mal d'argent tout ça ! Le gamin devait avoir pas mal d'argent quand même ! Il fit sagement son travail en lui remettant proprement une prothèse et en vérifiant que tout allait pour le mieux.
« J'vais faire de mon mieux pour que tu puisse refaire tout ça ! Me sous-estime pas ! J'suis un super mécano, tellement bon que tu voudras revenir ! J'pense qu'il me faudrait maximum une semaine pour m'occuper du bras et de la jambe. J'suis tout seul à l'atelier donc... Mais t'inquiète ! Quant au prix... ce sera cher j'en suis navré »
Le petit blond regarda si tout se passait bien quand Edward se rhabilla et voyant qu'il s'en sortait il allait partir quand il se fit appeler, Oh... le pauvre avait espoir de faire quelque chose ici... à Giribaz... Le pauvre... Meliodas éclata de rire à en pleurer C'est qu'il avait de l'humour ce client ! Ça lui changeait de ses habitués.
« On a rien. Riiiien du tout. Donc si tu veux te parler à toi-même ou aux bestioles ou aux plantes t'es au bon endroit ! Profite du soleil... Va à la taverne de mes parents y'a rien de plus »
Et Meliodas repartit en riant vers son atelier pour travailler. Il l'aimait bien ce mec, il était drôle. Le jeune garçon mit ses lunettes de soudure et se mit à travailler sur la prothèse. C'est qu'il l'avait bousillé ce con. Il allait pouvoir fournir un travail de bonne qualité mais les pièces... étaient cher, très. Et la main d’œuvre aussi pour le coup. Et le temps passé dessus... tout ça, ça augmentait la facture.
Il s'occupait de la jambe. Le plus simple et le plus rapide en premier. Ce gars ne prenait pas vraiment soin des objets qu'il avait en sa possession... Il espérait qu'il prendrait un peu plus soin de ses prothèses après qu'il les ait réparé parce que bon... à ce rythme il allait ruiner l'autre et amasser une telle fortune qu'il n'aurait plus besoin de travailler jusqu'à la fin de ses jours ! Quoi que... C'était un bon plan, et comme ça il pourrait aller vagabonder avec Ban... Meliodas ria un bon coup et se remit au travail.
Le petit releva la tête pour voir l'heure... Oh mon Dieu ! Il était tard ! Il fallait qu'il ferme boutique lui si il voulait pas que ses parents ne le tue. Il avait promis d'aider lui ce soir... Il finit de souder la pièce et éteignit tout avant de fermer boutique et de courir chez lui. Il passa par la porte de derrière et montant les marches quatre à quatre pour finir dans sa chambre et se changer. Il en profita pour se rincer le visage et il redescendit tout aussi rapidement qu'il était monté. Sa mère lui parla de la commande et son père lui lança un regard à tuer un agneau... ok il avait compris il le ferait plus. Il prit la commande et se dirigea vers Edward.
« Hey ! Coucou ! Tient ta commande ! Et... Fais pas attention au regard du père, c'est normal avec lui »
Sujet: Re: Mon sauveur ! (pv Meliodas D'Hoffrin) Sam 11 Mar - 9:14
Edward cligna des yeux, sympas le paternel, mais bon ça devait être bien d'avoir un père pour veiller sur soit, quoi que Mustang avait un peu ce rôle, il le couvait et l'engueulait tout pareil d'un père.
- Ok merci.
Le blondinet mangeait tranquillement quand de la musique résonna, un des clients jouait du violon, c'était super agréable, un couple se mit d’ailleurs a danser, créant une vraie animation ce qui semblait détendre les voyageurs contrariés de leur mésaventure. Finissant son repas, avalant le reste de son contenu de verre d'eau, l'alchimiste se leva et alla pour monter à l'étage quand un bruit de verre cassé se fit entendre.
Voix : Tu peux faire attention ! Cette montre était-ce que j'ai de plus précieux ! Vous allez me la rembourser !
Les yeux dorés se posèrent sur l'altercation, une petite fille avait visiblement casser sans faire expert la montre d'un homme, elle était réfugié dans les bras de sa mère et le père tentait de calmer l'individu, disant qu'ils n'avaient pas les moyens de payer une montre aussi cher, mais qu'il le rembourserais sur la durée. Mais l'autre insistait pour que ce soit immédiat, que cette montre avait une valeur sentimentale, etc. Edward se dit que ça mettait de l’animation, même si c'était déplaisant, pendant que ça se frittait et que les autres tentaient de raisonner le richard le blond alla voir la mère de Mel.
- Puis je, avoir une feuille de papier et un crayon s'il vous plaît ? M : Oui bien sûr, mais que vas-tu en faire ? - Calmer cet abruti. Merci.
Prenant le papier et le crayon, il se fraya un chemin parmi les clients et habituer. Puis passa entre les deux partis, les faisant taire, surprit visiblement de voir un enfant manchot passer et s'incruster. Le blondinet posa la feuille sur la table et dessina dessus un cercle d'alchimie, il ramassa les pièces détachées de la montre ? Et ajouta un peu de sable pour compléter ce qu'il manquerait. En observant le couvercle et le dos de la montre, il sut ce qu'il devrait faire, et plaça sa main sur le cercle, la lumière bleue caractéristique de l'alchimie se créa alors, et à peine quelques instants plus tard, il tendit par la chaîne la montre d'alchimiste au type. La montre était vieille, elle ne devait pas à la base appartenir à cet homme.
.- Elle est précieuse vous deviez en prendre soin et ne pas l’exhiber pour frimer, cette montre appartenait a quelqu'un de votre famille non ? Normalement si le propriétaire est en retraite ou mort la montre aurait du être restituée à un QG militaire !
L'homme récupéra sa montre et l'ouvrit, elle fonctionnait et était à l'heure.
H : Je... Merci. Non, je ne la donnerais pas, mon père me l'a donné avant de mourir. Mais comment sais-tu comment fonctionne cette montre, gamin ?
- Je le sais, c'est tout ! Bonne soirée !
Edward monta à l'étage alors qu'en bas, ça s'excusait. Au moins, il avait évité une catastrophe. Le jeune homme, une fois dans sa chambre retira chaussure, veste et pantalon, puis s'allongea sur le lit en soupirant. Tirant un livre de sa valise, il roula sur le ventre pour pouvoir lire une thèse sur l'alchimie. Puis il soupira, c'était bien que cet homme ai un souvenir de son père. Lui n'en avait plus aucun, aillant tout détruit avec son frère en mettant le feu a leur maison. Il s'empara de sa propre montre et roula sur le dos, la tenant par la chaîne au-dessus de lui, il observa le dessin des alchimiste d'état en relief dessus, elle tourna sur elle même avec lenteur, le nom Fullmetal devenant visible avant de reprendre sa position initial et se stabilisé. C'est vrai que ces montres étaient belles, elle servait d’amplificateur à un alchimiste si celui-ci se fatiguait vite, mais également de carte d'identité a son possesseur. Un passe-droit important. Et une somme conséquente pour un voleur a la revente. Ces montres étaient aussi précieuses par leur fonction que par leur valeur monétaire. Il valait mieux pour lui comme toujours évité de montrer inutilement sa propre montre. Déjà que l'homme pouvait être ciblé par des gens mal intervention le prenant pour un alchimiste d'état, ou des voleurs tout simplement. De plus, le garçon ne savait pas comment étaient vus les alchimistes d'état dans ce patelin..
Mon sauveur ft. Edward Elric Meliodas retourna à l'arrière après avoir servit Edward, prit un verre d'eau et monta dans sa chanbre en évitant ses deux aîné. Il se laissa tomber sur son lit après avoir posé le verre sur sa table de chevet et prit un livre de mécanique qu'il se met avidement à lire. Hawk vint se poser sur le ventre du jeune garçon tandis que celui-ci lisait tranquillement. Il aimait lire... mais juste pour se perfectionner. La musique d'en bas s'entendait jusque dans sa chambre avec les exclamations de joie et de contentement des clients. S'était toujours agréable bien que plus jeune il ne pouvait dormir avec toute cette agitation.
Le gamin était plongé dans le fonctionnement de l'intégration d'un pistolet dans un bras automail quand il entendit un bruit de casse en bas. Pas surprit par ce bruit il ne bougea pas d'un millimètre quand tout a coup il entendit d'autres exclamations de fureur. Un accident sans doute, mais le blondinet marqua quand même sa page et alla en bas pour vérifier que tout aille bien. Bien entendu ses deux aîné n'avait pas bougé d'un pouce... sans doute étaient-ils dehors à cette heure-ci à faire.. autre chose dont il ne voulait pas entendre parler.
Le petit mécanicien arriva en bas au moment où Edward effectuait son tour d'Alchimie. Meliodas ouvrit grand les yeux d'étonnement avant de faire un grand sourire. Quel client intéressant !! De son âge qui plus est ! Le jeune campagnard de l'est voyait rarement des alchimistes mais ils étaient intéressant, savaient pleins de chose et rapportaient gros !
Sujet: Re: Mon sauveur ! (pv Meliodas D'Hoffrin) Ven 2 Juin - 13:48
Edward finis par se coucher correctement et éteignit la lumière, s’endormant profondément. Pour une fois, ce fut un sommeil sans rêve. Profond et reposant. Cela lui était rarement accordé par son subconscient. Ainsi, le matin arriva doucement. Le soleil passant au travers des rideaux mal fermés, venant illuminer sa chevelure blonde.
Spoiler:
Touchant ses yeux, il grogna et se retourna à l’opposé des sources gênantes de lumière. Le jeune homme fini par soulever à demi ses paupières lourdes de sommeil. Il avait l’impression d’avoir fermé les yeux à peine quelques secondes. Baillant, il se redressa, puis s’étira comme il put et se leva. Se dirigeant dans la salle de bains, il ouvrit la douche. Retira caleçon et t-shirt et se glissa sous l’eau…
- HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!
… froide. Pour sur ça réveillait ! Il ne pouvait pas le nier. Finissant de se laver en vitesse. Il se sécha tant bien que mal. Puis s’habilla. Sa manche droite pendant dans le vide du à son bras manquant. Les cheveux détachés, vu qu’il ne pouvait plus les tresser. La mère de Meliodas le voyant lui sourit et lui proposa de petit-déjeuner, ce que le garçon accepta. Il y avait plusieurs enfants dans l’auberge, mais tous étaient accompagnés de leurs parents, ou famille. Lui était seul. Assit a table, il mangeait ses œufs, quand il sentit qu’on lui touchait les cheveux. Il sursauta faisant rire la femme.
Mère de Mel : ne sursaute pas comme ça mon garçon ce n’est que moi. Je me suis dit que tu aurais besoin d’aide avec tes cheveux vue qu’il te manque un bras.
- M… Merci !
Rosi le blond surpris. Finissant de petit-déjeuner, il laissa la femme lui démêler ses cheveux humides. Nul doute qu’elle s’amusait bien, il le sentait à la façon d’ont elle le coiffait mèche par mèche et les ordonnait. Puis il sentit la prise un peu plus forte alors qu’elle les lui tressait. S’il ne se trompait pas, elle était partie assez haute quand même. En commençant par trois mèches à la moitié de l’arrière de sa tête, puis en rajoutant des mèches de cheveux au fur et à mesure qu’elle descendait, jusqu’à fini une tresse bien serrer. Un élastique noir venant immobiliser les tout environs 6 cm avant les pointes de sa tignasse. Il avait déjà vu ce genre de coiffure. En effet, ça tenait bien les mèches longues, surtout les rebelles. Mais c’était habituellement sur des filles que l’on faisait ce genre de coiffure non ? Bah peux lui important tant qu’on ne lui faisait pas de couettes. En plus, il en était sûr, cela faisait plaisir à cette dame.
Il remercia encore la maman du mécano et alla téléphoner à son frère pour prendre de ses nouvelles. Puis à Mustang pour lui dire qu’une fois réparé, il reviendrait à Central.
Évidemment, l’homme l’asticota et il finit par raccrocher. Partant marcher pour se changer les idées. Cet endroit semblait aussi paumé que son village natal. Ça le rendait nostalgique. Il finit par s’installer sous un arbre prêt de la grande place, avec son livre qu’il avait pris avec lui, et commença à lire avant de juste profiter de la brise. Quand le temps commença à tourner gris le jeune homme se leva et se rendit à l’atelier boutique de Meliodas faisant sonner la clochette.
- Salut ! Je peux rester ici avec toi ? Je m’ennuie tout seul dans la chambre et le temps tourne à la pluie, je ne peux pas rester dehors du coup.
Mon sauveur ft. Edward Elric Meliodas avait planché une bonne partie de la nuit pour peaufiner les détails des plans qu'il avait élaboré un peu plus tôt entre le moment où il avait rencontré Ed et celui où il lui avait servi le repas. Cloîtré dans sa chambre la clef tourné à deux tours dans la serrure, une assiette de biscuits sur le bord de son bureau et une choppe de bière « empruntée » dans la réserve de ses parents. Le pauvre adolescent avait fini par s'endormir sur les jolis plans qu'il avait tracé.
Le lendemain le jeune blond ne manqua pas d'être réveillé avec le soleil qui filtrait au travers de ses volets et le chant du coq. Il se réveilla d'un bond en regardant autour de lui en se passant une main dans ses cheveux ébouriffés les mettant plus encore en bordel. Ses yeux bouffis de fatigue se posèrent sur le cochon qui dormait dans un petit panier non loin de son bureau. Amusé il roula ses plans et les prit sous son bras, descendit le plat et prit un café en cuisine. Il était bien trop tôt pour que ses parents aient commencé le travail, ils devaient tout juste se lever. Rapidement il bu le café préparé plus tôt en souriant content que sa mère ait pensé à son repas du midi puis il remonta chercher son cochon et quelques outils avant de partir en direction de son atelier d'un pas léger profitant de la nuit pour observer la voie lactée.
Aimant son travail Meliodas se foutait de commencer à 4 heures 30 du matin ou plus tard bien qu'il aurait préféré avoir plus de temps pour dormir. Mais son client lui avait dit que l'affaire était urgente aussi il prendrait sur son temps de sommeil pour faire parvenir sa commande à temps. Il avait réussi à faire des plans pour fabriquer un nouveau bras. Aucun souci là dessus il avait les pièces pour en fabriquer un !
A peine arrivé à son atelier et ses affaires posées dans un coin, et le cochon dans son panier, il avait ressorti la jambe pour commencer à la réparer. Aucun souci là-dessus, l'opération allait vite. Changer quelques pièces, ajuster quelques réglages et refaire des connexions. Meliodas n'avait pas à s'en faire sur ça c'était simple. Il s’attela à réajuster la taille de la jambe pour correspondre à la nouvelle taille du propriétaire bien qu'il savait qu'il devrait revoir ce réglage-ci sur Edward lui-même.
Il savait pertinemment qu'en privilégiant Edward au profit de son autre client il prendrait du retard sur son autre commande mais il était aussi conscient que son autre client ne lui en voudrait pas. Il avait rangé la prothèse en cours de fabrication dans un endroit spécialisé pour cela prenant grand soin d'y mettre une étiquette avec le numéro de série et le nom du futur propriétaire, il ajouta aussi la jambe de l'alchimiste dans un autre rangement prévoyant de revenir dessus plus tard. Il sortit ensuite de nouvelles pièces sur l'établi pour créer l'armature du nouveau bras d'Edward. Il n'avait aucunement l'intention de reprendre le style de la mécano habituelle du blond. Il voulait faire une prothèse à sa manière. Mais à peine eut-il sorti les matériaux pour le bras qu'il entendit la sonnette de sa boutique. Intrigué et tel un suricate il releva la tête en direction du tintement avant de se diriger vers son client tout sourire.
« Bien entendu que tu peux rester ! »
A peine un regard par la vitrine de sa boutique pour vérifier la pluie dehors.
« Ouais c'est mieux de rester dedans par ce temps... J'ai commencé quelques réglages sur ta jambe et des réparations. Mais là j'allais commencer la fabrication d'un nouveau bras ! Si ça t'intéresse de voir comment je fais.. et si ça t'aide pour avoir confiance en moi ! »
Meliodas se mit à rire en lui tirant un tabouret vers son établi à côté du sien avant de poser ses fesses sur son tabouret à lui pour reprendre la fabrication du bras. 2981 12289 0
Edward avait pris un peux l'eau et de sa main, il essora la tresse que la mère de Mel lui avait fait. Il retira son manteau rouge et le posa, enfin l'accrocha à un porte manteau, puis avec son livre s'approcha et vains s’asseoir sur le tabouret.
- Tu as ma confiance ! De toute façon, ce n'est pas dans ton intérêt de faire du mauvais travail si tu veux que je revienne au prochain cassage d'auto-mail...
Le blond écarquilla les yeux à sa propre réplique et se reprit !
- Pas que j'ai prévu de le casser hein ! C'est juste les accidents, ça arrive !
Oui les accidents ! C'était bien ça ! Même si ça arrivait souvent par bastonnage contre un criminel. Le jeune homme regarda alors la base du bras, il se demandait à quoi ça ressemblerais, allait il reprendre le modèle de Winry ou faire quelque chose de nouveau ? Peux être arriverait il à faire quelque chose de plus léger.
Edward observa l'atelier, il repéra sa jambe, elle était comme d'habitude, mais en meilleur état, même si elle avait été pas mal rongé sur la tôle externe par l'alchimie de son frère, le reste ne lui avait jamais poser de problème, en général sa jambe allait bien. Il fallait juste de temps en temps la réajuster à sa taille vu qu'il grandissait. Reportant son regard sur le bras, le blond grimaça imaginait déjà Winry l'accabler comme quoi il n'était pas venue la voir, qu'il avait cassé son bébé, et s'il faisait du meilleur travail qu'elle ou équivalant elle allait jalouser et crié. Soupirant le Fullmetal rouvrit son livre pour reprendre sa lecture. C'était un ouvrage de médecine générale. Il préférait s'instruire pour mieux aider son frère quand celui-ci aurait récupéré son corps.
Après une bonne heure à lire l'alchimiste reporta son attention sur l'autre blond avec intérêt, c'était intéressante mine de rien. Il n'avait jamais regardé son amie travailler, et quand il la voyait faire, c'était souvent pour savoir ou ça en état. Quelque chose lui traversa l'esprit.
- Au faites, j'ai vu la banque, j'aimerais bien y retirer le prix des auto-mails, mais tu ne m'a pas dit combien je vais devoir !
Payé le séjour à l'auberge avait été fait des le début avec ce qu'il avait sur lui, mais Edward savait que le prix des auto-mails ce n'était pas la même donne, et jamais il n'avait autant d'argents sur lui, aussi devait il aller le retirer a la banque. Bien sûr, il irait quand la pluie s’arrêterait. Il posa son livre et se leva, s'étirant, ça faisait mal aux fesses a force d'être assis, et mal a la nuque d'avoir la tête penchée. Il se la massa de sa main libre, mine de rien, il avait une sacrée endurance même su ça.
Baillant il alla vers le cochon qui dormait comme un bien heureux, puis s'éloigna visitant la boutique, allant vers la vitrine, dehors, c'était une sacré pluie, rien d'aussi impressionnant que le dernier déluge a Resembool, mais ça avait le mérite d'arroser la nature. Edward resta un petit moment hypnotisé par la pluie qui tombait, c'était relaxant, un peut trop même, se sentant piquer du nez, le blond alla sur une des petite banquettes de la partie salle d'attente et s'y allongea. À vrai dire il ne tarda pas à plonger dans le sommeille.
Aucun rêve ne vint le perturber, et c'est un rayon de soleil qui le réveilla en lui tapant sur un des yeux, se redressant, il s'étira en baillant. Un frottage de visage en règle avec la main puis il se leva pour retourner voir son nouveau mécano. Et il fit comme avec Winry se penchant pour voir sans trop le déranger et.
- Alors ça avance ? T'as un prix à me donner ?
Allait-il se faire refouler comme avec la blonde ? Nous allons bientôt le savoir.