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Angelica / Anjuu / Chiara
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My Dear Homonculus

MessageSujet: My Dear Homonculus My Dear Homonculus EmptyMer 12 Oct - 2:12
Ceci est une grosse daube, écrite en commun avec notre fonda adorée. J'espère que ça vous plaira - ou pas - et je poste le premier chapitre. Ce sera à elle de faire la suite <3

PS : la mise en forme viendra plus tard...

My dear Homonculus

Chapitre 1 : Time Travel

Il y avait un miroir devant ma chambre, cassé, mais toujours capable de réfléchir mon reflet. Chaque matin, avant d’aller travailler, je regardais dedans. Je voyais mon reflet, mon visage est étroit, j’ai deux grands yeux en amende, vert d’eau, et les cheveux court noir, principalement en bataille. Mon nez est fin, un peu trop même face à mon visage de petite fille. Et… il est de notoriété publique que je suis maigre… Je ne suis pas très jolie non plus pour mon âge, mais je suis une esclave, alors c’est normal… Aujourd’hui, en tout cas, serait le dernier jour où Anya Bradcow serait l’esclave d’Ethan Heartcliff. Oui, je suis peut-être une esclave, mais je ne suis pas comme les miens. Je ne me suis pas oubliée au profit de quelques autres qui se sont enfuis lors du dernier convoi, je vais m’oublier au profit de notre civilisation, je massacrerais les homonculus avant même que l’idée de prendre notre monde n’émerge en leurs esprits !

Je me suis lancée dans les travaux habituels, jardinage, cuisine, et toutes les autres tâches qui m’étaient attribuées chaque jour. Et lorsque mon maitre m’avertit qu’il partait en ville faire des emplettes, j’hochais la tête sans émotion particulière, lui donnant l’impression que je l’avais écouté et que je continuerai de travailler sans broncher. Il quitta finalement le manoir, et prit la voiture, ordonnant à son chauffeur qu’il démarre, car il était pressé. J’attendis qu’il tourne au coin du chemin, avant de délaisser mon tablier de travail sur la table et de me précipiter au grenier. L’alchimie était un art interdit depuis des siècles, et plus personne ne le maitrisait… En fait, si, mais je n’oserais jamais le dire. C’est pourquoi j’ai décidé d’agir, car qui prendrait au sérieux une esclave ?

La pièce était sombre, et encombrées de très vieux meubles, datant de plusieurs décennies, recouverts d’une épaisse couche de poussière. Je soufflai sur le coffre le plus ancien, soulevant une pellicule de poussière rendant ma vue et mon odorat inutilisable quelques instants. J’éternuai d’ailleurs. Je finis par reprendre le dessus sur le nuage de poussière, prit la craie blanche que j’avais chipée et commence à dessiner le cercle qui me permettra de changer le passé. Je vais me faire passer pour une homonculus. J’ai lus dans un livre qu’il en existait un huitième mais que personne ne l’avait jamais vu réellement, et qu’on savait juste que sa marque se trouvait entre ses omoplates. C’est pourquoi je me suis faite tatouée un ourobos, comme dans le livre, sur les omoplates, ainsi que les étranges signes qu’ils avaient sur le corps, bien qu’ils recouvrent mes membres et mon buste. J’ai aussi achetée des lentilles de couleurs et un pot de chaux. Une fois le cercle terminé sur le plancher, j’ai enduit mes cheveux courts avec le produit, et je les aie enfermés dans un sac en plastique, puis fait de même avec mes sourcils, le temps qu’ils blanchissent. Pendant ce temps, je m’occupais de coudre des vêtements semblables à ceux que devaient porter les monstres à l’époque de leurs premiers méfaits.

Bon… je n’ai jamais été très douée en couture, mais là…

Pour faire court, cela ne ressemble pas à une robe, juste une sorte de sac raide noir dans lequel j’aurais fait un trou pour passer la tête et un bras d’un coté, tandis que le reste est penché sur le coté opposé à cette… enfin, ce qui ressemble à une manche. Mais le pire dans tout ça, c’est qu’il y a des déchirures un peu partout, si j’arrive à m’infiltrer malgré mon costume, alors c’est un miracle ! Bon, pour le reste, Je n’ai pas trouvé grand chose, niveau renseignement, je sais qu’ils mangeaient des pierres rouges, et bien sur, je ne pourrais pas faire pareil, mais j’ai l’avantage d’être capable de jeûner pendant plusieurs semaines sans en ressentir les effets. Bon, dans une heure, mes cheveux seront totalement décolorés, et je pourrais enfin aller me laver et me préparer. J’ai un avantage, je suis la seule à travailler dans cette demeure, et mon maitre ne reviendra pas avant 17 heures ce soir.

J’attends impatiemment et en profite pour me faire un large repas, composé d’un peu de pain et de légumes, j’ai même piqué une tranche de jambon dans le frigo de mon maitre, heureusement que je ne reviendrais pas, sinon je ne donnerais pas cher de ma peau. Je mange tranquillement, et savoure bien chaque nouvelle saveur qui attaque mon palet avec plaisir. Une fois mon repas frugal finit, je laisse tout en place et me dirige vers la salle de bain, découvrant mes cheveux du sac plastique et passant directement dans la douche. Je laisse l’eau chaude couler sur mon corps et profite un peu pour me détailler, c’est incroyable comme je pourrais ressembler à ces monstres qui nous ont tout prit, il ne manque plus que le caractère, mais j’ai toujours été soumise, alors j’agirai en conséquence ! Dans le siphon s’échappe la chaux mêlée à l’eau, ce qui donne une texture argileuse à cette dernière. C’est amusant de se rendre compte que pour détruire des monstres, je dois en devenir un. Je ferme enfin l’arrivée d’eau et sort sans même prendre la peine de me sécher pour m’observer dans le miroir, la boite de lentille dans la main. Je regarde les précieuses pupilles rouge fendues que j’ai achetées au prix forts de tous mes petits vols, et inspire un grand coup avant de l’ouvrir.  

J’ai réussis à les mettre, après moult efforts, mais j’ai réussis, et maintenant, dans mon reflet, je prends peur en voyant mon ennemi de toujours. C’est une créature avec des cheveux en bataille blancs, des yeux en amendes rouges, striés comme les félins, et un teint d’albâtre, en étant très maigre. On dirait un cadavre, mes cernes sont bien présents, et je poudre alors mes lèvres pour qu’elles soient violettes à leurs tours. J’enfile la « robe » et me rends compte que franchement, cela pouvait être pire. Elle moule mon corps de mes épaules jusque mes genoux, et mon ventre est à l’air libre grâces aux trous, tout comme une partie de mon dos, on voit d’ailleurs l’ourobos. J’enfile des bracelets de tissus noirs aux poignets, surtout pour cacher mes tentatives de suicides, et des chainettes en argent pour mes chevilles. Je quitte la salle de bain en courant, et arrive au grenier avec vitesse. Il me reste trois heures avant le retour du maitre.

Je n’ai désormais plus le droit à l’échec. Je me place au centre du cercle, et entame les signes sur mon corps, il ne se passe rien, au début. Puis, je sens cette énergie étrange m’envahir, comme la première fois que j’ai fais de l’alchimie. Il y a des éclairs un peu partout dans la pièce, et alors que j’entame les dernières runes, j’entends les sons des pneus qui crissent sur le gravier du jardin. Je me presse encore plus, effrayée que le maitre revienne plus tôt et de ne pas avoir le temps de partir. Ma vue commence à se troubler, et les étincelles commencent à attaquer la pièce à coup de chocs violents. On cri mon nom dans l’immense bâtisse, et j’entends des pas accélérés dans l’escalier. La porte s’ouvre, mais le maitre n’a pas le temps de m’empêcher de partir, et tout devient noir.

Lorsque j’ouvre les yeux, je me rends compte que je suis perdue au milieu de nulle part, et qu’un garçon décharné me fixe, enfin, il à l’air de me fixer, mais j’ai plus l’impression qu’il ne me voit pas. C’est étrange vu la lumière qu’il y a, car tout est blanc, mais il n’a pas d’ombre, enfin si, mais différente de celle d’une être humain, et franchement, cela me donne froid dans le dos. Il lève la tête vers moi, et… Il sourit ?

« C’est la première fois qu’un humain souhaite m’utiliser pour remonter le temps. » sa voix est monocorde, et je sens comme un malaise depuis qu’il parle.

« Je… enfin, je suis désolé mais j’ai besoin de changer quelque chose dans le passé et… l’alchimie était l… »

« Silence ! » Il me coupe la parole, c’est gentil tien, comme si j’en avais pas assez l’habitude. « Tu es bien courageuse, pour une simple humaine, c’est pourquoi je vais t’offrir ce que tu désires… Mais en contrepartie, tu devras me céder quelque chose en retour… »

« Mais… Mais je n’ai rien ! » Je réponds, et c’est vrai, je pars sans rien, et je ne reviendrais pas de toute manière.

« Non tu n’as rien, c’est vrai, mais pour être sur que tu mènes ta mission à bien, et te faire voyager plusieurs siècles, j’ai besoin d’une garantie, mais aussi de quelque chose qui t’es vital. » Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je ne vais pas apprécier du tout… « C’est pourquoi je vais prendre ton cœur » Je frissonne, là j’ai vraiment peur… non, courage Anya, tu peux le faire ! Tu peux le faire, ce n’est pas comme si t’en avais besoin pour survivre !

« Mais Je vais mourir ! » Zut, ça m’a échappé, Je ne dois pas céder à la panique, bon sang ! L’être me fixe à nouveau, avant de rire, ça sonne comme un gong funéraire, pourquoi je me sens mal tout à coup ?

Ah non, je suis juste en train de paniquer totalement, tout va bien, et là, monsieur je prends les cœurs se lève… Il lève son corps rachitique et commence à déambuler vers moi comme un zombi affamé…

Minute ! IL VIENT VERS MOI ? J’aurais bien voulu reculer, mais vous voyez, je suis légèrement incapable de bouger, et il avance sa main tremblante vers moi. euh… J’suis censé hurler là non ? Ah oui, donc je hurle bien. En fait, je m’arrache limite les cordes vocales, mais l’homme cadavérique qui est devant moi s’en fiche royalement, et sa main rencontre ma poitrine, j’aurais bien crié ’’aux pervers’’ Mais sur le moment, je me rends compte que c’est pire que ça, parce que sa main vient de traverser ma poitrine sans gène et commence à me fouiller de l’intérieur.

Sérieusement, je pense que l’idée de vouloir sauver les humains des homonculus était une idée purement suicidaire. Je finis par me taire, horrifiée, alors que l’homme, je suppose que c’en est un, sors sa main de mon buste, tenant encore palpitant, ce que je suppose être mon muscle cardiaque. Je tremble, et lui, il continue de sourire, avant de faire quelques pas à reculons et de lever son autre main vers moi. Là, ce que j’aimerais le plus au monde, c’est fuir, mais je crois hélas que de toute façon, je vais mourir ici.

« Ne t’en fais pas, en remplacement je t’offre la capacité de ralentir ou d’accélérer les molécules d’un simple geste de la main, tu devrais aimer ça…Fais bon voyage, petite humaine ! »

Je n’ai pas eut le temps de comprendre, que j’avais l’impression que l’ont m’avait attrapé par le cou et tiré en arrière avec la force de douze hommes. Et une fois encore, ce fut le noir complet…

OoOoO

Les égouts, peu ragoutant comme lieu de rencontre, pourtant, c’est ici que Father avait donné rendez-vous à ses « enfants » et c’est ici que tout prendrait vie. Les murs suintaient et pourrissaient, l’odeur pestilentielle s’était désormais mêlée au reste de l’atmosphère de ce lieu. Tout était sale, et crasseux, et surtout, morbide. Envy, un être androgyne, aux mèches effilées noires semblable au feuillage d’un palmier, vêtu en tout et pour tout d’un pagne noir et d’un substitut de débardeur, était appuyé nonchalamment contre le mur ouest de la salle, le moins humide. Une femme, à l’allure sensuelle et aux grands yeux rouge aguicheur s’appuyée sur un petit être bossu, énorme et flasque, au visage tout aussi gras et à l’air stupide. Il y avait, complètement vautré par terre, un autre homme, coiffé en brosse, avec un léger bouc et un blouson de cuir, son sourire carnassier lui conférait un air dangereux. Et au centre de la pièce, face à un vieillard blond, branché de toutes parts avec des perfusions, il y avait un adorable petit garçon, au sourire radieux, mais dont l’ombre immense et mouvante prouvait sa monstruosité.

Le petit garçon s’agenouilla devant l’homme blond assis sur ce qui pouvait représenter un trône, et posa ses petites mains rosées sur les genoux de l’homme avec douceur, ses yeux carmin luisant de sadisme. L’homme se racla la gorge, avant que tous ne s’approchent de lui avec respect et crainte. Il parla d’une voix rauque, presque effacée, et réclama un rapport complet de la part de celui qui semblait avoir croisé un palmier avant de venir. Le jeune homme ouvrit la bouche pour parler, mais ce fut sans compter sur l’étrange distorsion que celui-ci vit au dessus de Father. Pride le sentit aussi, et d’un revers d’ombre, le petit garçon envoya valser son « père » tandis qu’Envy se reculait d’un bond et que l’enfant faisait de même. Les autres s’étaient écartés avec une aisance remarquable et fixaient à présent le plafond des égouts. Quelque chose déformait l’air, comme si celui-ci cachait quelque chose d’invisible mais dont la silhouette se mouvait et apparaissait à son gré. Father chargea Pride et Lust de se tenir prêt à attaquer au cas où.

L’air se condensa, et brusquement, le vide se chargea de rayons bleutés, comme des éclairs, et la foudre frappa le vide, dessinant un cercle parfait de lumière instable. Ensuite, d’autres filaments firent leur apparition et se mirent à tournoyer, décrivant des formes, des croissants, des flèches et toutes sortes d’inscription. Au début, le créateur des homonculus pensa que c’était un cercle de transmutation humaine, mais bientôt, il dédaigna cette information en apercevant le torque du dragon formé un second cercle dans le premier, symbole principale de l’ouroboros. D’autres signes apparurent, se mêlant aux premiers et devenant alors quasiment impossible à discerner jusqu’au moment où tout s’arrêta, et qu’un dernier symbole, incrusté de sang et perlant sur le col comme les vestiges d’un ancien meurtre : le nom de Saturne, se terminant sur une courbe régulière et remontant avec facilité, déversant toujours ces effluves carmines, alors que cette fois-ci, celui de pluton prenait place sous les yeux ennuyé de Father, qui savait très bien à quoi cela rimait.

Tout sembla se figer un instant, alors que l’éclat de ce cercle alchimique devenait plus fort, et faisait muer sa couleur bleue pour une autre, plus chaude et tournoyante. Son centre trembla, de même que les murs, les sols, et tous les égouts, peut-être même le reste du monde. Une forme indistincte commença à immerger du cercle, sans pour autant en sortir. Pride transforma ses bras d’ombre en fines lames, prêtes à déchirer la chaire de cette chose qui s’apprêtait à venir au monde. Finalement, la chose prit une certaine forme humaine, avant de s’écraser dans un bruit sourd sur le sol humide des égouts. Les autres homonculus purent alors voir un nouveau membre de leur précieuse famille. Un être androgyne, la chevelure en bataille blanche, une peau pâle, recouverte de signes pourpres, et un ourobos entre les deux omoplates. Le corps très maigre, l’être tenta de se lever, personne n’avait vu son visage, mais tous virent sa faiblesse et son corps retomber dans un martèlement au sol. On entendit alors un grognement, provenant d’une voix infiniment douce et féminine, mais aussi exempté de toutes émotions.

Finalement, le corps se leva, tremblant, et Pride se prépara à frapper de ses ombres, mais quelque chose perturba son ombre, qui fut automatiquement stoppée. Le corps se retourna, et tous plongèrent dans un regard immensément grand et améthyste. Cet homonculus était surement le plus beau parmi eux tous, c’était une fille, entre 13 et 20 ans, petite, maigre, et pourtant possédant une certaine majesté. Ces lèvres fines étaient bleues, comme celles d’un cadavre, et il en allait de même pour ses ongles.

« Quel est ton nom, homonculus ? » Demanda Lust.

Aucune émotion ne traversa le regard mauve, et les lèvres de la jeune fille s’entrouvrirent pour laisser passer un nom, un seul.

« Time » Les autres frissonnèrent.
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