Mais que dire. Que dire de cet étrange personnage, qui vient de sortir d'un de ces cercueils avec un grand sourire ? Une chose est sûre, malgré l'accueil affable qu'il vous fait, il met mal à l'aise. Pour être tout à fait honnête, il donne même froid dans le dos ! Il semble d'ailleurs prendre plaisir à vous faire peur... Quelque chose de sombre entoure cette personne. Désinvolte et inquiétante, même sa joie porte quelque chose de sinistre. Et puis, il y a cette nonchalance avec laquelle il peut vous parler de nombreuses choses peu ragoutantes... Mystérieux, on ne connaît que très peu de choses sur lui, et c'est avec joie qu'il laisse traîner le doute dans vos pauvres petits esprits... Quoi de plus amusant que de parler par énigmes ? C'est un excentrique qui sert le thé dans des récipients douteux, qui mange des biscuits pour chiens en forme d'os et invite ses rares visiteurs à s'assoir sur des cercueils... Oui, excentrique, le mot est juste... Comment pourrait-il, sans cela, demander des blagues dans un lieu aussi inapproprié qu'une boutique de pompes funèbres ? Pour un fossoyeur, il reste quelqu'un de plutôt joyeux, même si son humour peut paraître assez douteux. Car en effet, Aaron plus communément appelé par les rares amestriens : Undertaker, qui visite sa boutique, aime... rire ! Et parvenir à lui donner le fou rire est le tarif habituel pour obtenir de lui certaines informations sur ses "clients". Car il est assez curieux sur les bords, mais s'il découvre l'un de vos secrets, rassurez-vous il ne le dirait à personne... Enfin, qu'à Erwin, son mannequin d'anatomie ou à la personne qui lui demande votre secret, qui est peut-être le plus intime que vous aviez… Qui sait ?

  Pour commencer, Aaron est un homme de taille moyenne, assez fin comme s'il n’avait pas mangé depuis des lustres, mais c’est dans sa nature d’être maigre, pour ceux qui ne le savent pas. Puis sa tête, qui est penchée sur le côté, en vous offrant un immense sourire carnassier découvrant toutes ses dents à chaque fois qu'il vous parle. C'est une mimique qu'Aaron avait, et qui fait plutôt penser à une grimace, et cela terrorise plusieurs personnes. Elle vous donne l'impression que le fossoyeur se moque de vous, comme le ferait un diable toisant l'imprudent qui viendrait de rentrer dans sa tanière. De sa voix grinçante, il vous souhaite la bienvenue en entrelaçant ses longs et fins doigts. Et ses mains, vous constatez la longueur de ses ongles noirs, contrastant avec la blancheur de ses mains. Un teint blafard, maladif, résultat on pense qu’il n’est jamais allé au soleil, mais ce n’est pas le cas, parce que notre fossoyeur drachman ne sort jamais sans son chapeau noir qui couvre toute sa tête, de plus ses longs cheveux blancs argenté avec quelques mèches tressées en fines nattes, et sa franche trop longue qui dissimule des yeux étrangement verts, est aussi la cause de son teint blanchâtre. Puis, n’oublions pas sa longue cicatrice qui barre son visage horizontalement, en commençant de sa joue droite et qui se finit sur le côté gauche de son front, tout en passant par le milieu du nez et son œil gauche. Et vous direz que c’est sûrement une tache de naissance . Non, elle est là depuis que son père a était assassiné par un alchimiste amestrien, là est l’origine de sa cicatrice.
  Maintenant, passons à sa tenue vestimentaire : Aaron porte souvent d’une lourde étoffe noire et miteuse qui constitue l'épais manteau du fossoyeur avec en dessous, un pantalon noir en cuir et de longues bottes de la même matière et couleur qui lui arrive jusqu’aux genoux. Sans oublier son chapeau sombre. Ou sinon, le drachman porte un costume toujours dans sa couleur fétiche, avec des dentelles, des bouts de tissus qui dépassent à certains endroits. Bref : notre fossoyeur est dans un style très gothique ou bien dans un esprit sombre.

//ATTENTION\\ L’histoire peux contenir des scènes gores ou langage déplacé, donc attention âmes sensibles, s’abstenir. Maintenant que vous êtes prévenus, enjoy~

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1er février 1909.

-Aller Aaron, souffle t’es bougies ! Mais avant fais un vœu !

Le petit garçon aux cheveux anormalement blancs, assis à une table, au beau milieu d’un salon en compagnie d’un homme. Sûrement son père vu qu’il lui ressemble beaucoup, c’est-à-dire : Cheveux de la même couleur, même carrure fine et tout ce qui s'ensuit. Sauf ses yeux que le plus petit avait hérité de sa mère, porté disparu depuis sa naissance. Donc, le dénommé Aaron ferma les yeux puis les rouvrit tout en soufflant ses 15 bougies. Des cris de joie du paternel retendirent en disant : « C’est bien mon petit gars ! Maintenant tu es un jeune homme. Et pour cela, je vais te donner un objet que même mon père m’a donné quand j’avais ton âge. »Le jeune drachman, car oui nous sommes bien dans ce pays froid, juste à côté de la frontière d’Amestris et Drachma, dans un tout petit village nommé "Gofentoff". Et le garçon était impatient de ce que son père pouvait bien lui donner, puis juste au moment qu’il était dans ses pensées. Le père revient avec un énorme carton qu’il posa sur la table, puis donna au jeune homme le feu vert de l’ouvrir. Ce qu'il avait fait avec hâte, et en découvrant l’objet Aaron dit à son père :

-Papa, mais tu es fou ! C’est ta faux que tu aimes tellement ! Je ne peux pas… Je refuse.

-Non mon p’tit gars, je te la donne. Maintenant elle est à toi.

-Mais- !

-Il n’y a pas de mais, elle est à toi et je sais que tu en prendras soin.

Tellement surprit et en même temps heureux par ce présent, qu’il n’entendit pas la porte frappée et son père ouvrir sur trois hommes trempés jusqu’aux os à cause de l’orage de dehors, portant tous une tenue ressemblant à ceux des militaires amestriens. Et l’un deux qui tenait son collègue dans ses bras dit au père :

-Vous êtes bien Frederick Blackburn ? Le célèbre chirurgien drachman ?

-Oui c’est bien moi, mais cela fait des années de je ne suis plus chirurgien. Alors allez-vous en de chez moi ! Dit-il en fermant la porte sèchement.

Mais l’autre amestrien qui avait les mains libres, retient la porte ouverte et parla que c’était une question de vie ou de mort, tout en racontant tout qui c’était passé pour que son camarade militaire soit blessé. Frederick réfléchi, puis après quelque seconde il ordonna à Aaron, qui tout de suite sort de sa petite bulle, de préparer une table et tous ses ustensiles de chirurgien. Car Aaron a toujours aidé son père depuis ses 6 ans. D’où le fait qu’il n’avait pas peur du sang ou quoi que ce soit qui touche à l’anatomie animale ou humaine. Pour information, dans la famille Blackburn tout le monde pratique deux métiers à la fois : le métier de fossoyeur et de chirurgien. Plutôt pratique pour les morts et les vivants, vous ne trouvez pas ?

  Dix minutes plus tard, une fois que Aaron fini de tout préparer et de nettoyer les outils. Son père commença à opérer le blessé. Alors que les deux autres amestriens se réchauffaient devant un bon feu de cheminé. C’est alors, qu’un des deux vit la faux d’Aaron, par réflex il prit son arme, qui la pointa vers les deux drachmans :

-Pourquoi avait vous une arme de cette ampleur ? C’est interdit par la loi, à moins que vous soyez un alchimiste ou un militaire !

Frederick en se sentant légèrement menacé, répondit sèchement :

-Et vous, vous préfériez que je laisse mourir votre ami ? Sinon vous me le dites, comme ça je pourrai terminer la soirée d’anniversaire de mon fils tranquillement ! Et puis, vous êtes des ennemis.

-Cela n’est pas une raison. Répondit l’amestrien.

Aaron ne savant pas ou se mettre décida alors de s’enfuir dans sa chambre sans dire un mot. Le militaire qui avait toujours son arme braqué, donna l’ordre à l’autre de ramener le fils, ce qu'il exécuta sans attendre. C’est sûrement son supérieur. Puis le supérieur prit Aaron dans ses bras et mit son revolver sur la tempe du plus jeune, déjà traumatisé de voir au beau milieu de la soirée trois militaires armés jusqu’aux dents. Ce qui avait le don d’énerver le père, mais par précaution et sécurité de son fils, continua d’opérer l’amestrien blessé.

  Après quelque minute, Federick Blackburn confirma aux militaires qu’il avait sauvé leur acolyte, puis demanda de relâcher son fils. Mais les amestriens ne le relâchaient pas, il le gardaient au près d’eux jugeant que l’ancien chirurgien était trop dangereux pour laisser Aaron seul avec lui. Pour cause qu’il servirait de sa faux aiguisée comme une lame de rasoir contre eux et surtout son fils.

  Deux jours plus tard, toujours dans la soirée. Aaron prépara le dîner pour tout le monde, qui se déroula sans encombre et dans le silence. Sauf que le supérieur et Frederick qui n'arrêtaient pas de se lancer des éclairs via leurs yeux tout le longtemps du repas. Après le dîner qui fut un vrai réconfort pour les deux étrangers, même si Aaron n’est pas un cordon bleu ni même un piteux cuisinier, il débarrassa tout le monde. Quand alors le supérieur interrompu la corvée d’Aaron en ordonnant à son frère d’arme de l’accompagner dans la chambre ou séjournait le blessé afin de lui donner à manger, car l’ancien chirurgien avait prescrit trois jours de repos complet. Ce qui fit en grognant, n’en pouvant plus de recevoir des ordres d’un étranger. Son père le sentait qu’il en avait marre, alors il attendit la nuit tombée avant de passer à l’action.

  Alors que tout le monde dormait à point fermé. Frederick réveilla Aaron pour lui dire de se cacher, ce qu’il fit discrètement dans un placard. Le père prit un puissant poison et un mouchoir qui l'imbibe, et empoissonna l’amestrien blessé. Mais le supérieur, qui a le sommeille léger, se réveilla subitement en entendant quelqu’un se débattre dans son lit. Alors il prend son arme et marcha doucement en direction du bruit. Mais sans le faire exprès, Aaron fit tomber quelque chose dans le placard. Le militaire changea de direction, et alla droit devant le meuble, puis l’ouvrit. En voyant le jeune homme, il le prit froidement par le col et le jeta violemment par terre, ce qui fit hurlé de terreur et de douleur le pauvre drachman. Le père en entendant le cri de son fils, courut en sa direction et tomba nez à nez sur le supérieur qui braqua son arme vers le plus jeune allongé par terre. Fou de rage, il prit la faux d'Aaron, et trancha le corps de l'amestrien, qui... Malheureusement lui avait tiré dessus à plusieurs reprise juste avant de mourir. Frederick, gravement blessé, se releva avec peine. Le fils, horrifié par cette vision ne bougea pas d’un pouce, jusqu'à que l'autre amestrien qui tenait à la main un couteau, prit le plus jeune et mit son arme blanche au niveau du cou. Puis il cria sur le père :

-Qu’as tu fais, espèce de Diable envoyer par Satan ?! Je vais venger mes amis en prenant la vie de ton fils !

A la fin de sa phrase, Aaron le mordit. Mais le militaire lui esquinta tout le visage avant de le relâcher par la douleur : Commençant de la joue droite, et finissant par le côté gauche du front passant par le nez et la paupière gauche. Heureusement pour lui, son œil n’a rien. Puis après avoir été relâché, Aaron essaya d’aller vers son père malgré que son champ de vision soit recouvert de sang. Mais il y parvient. L’amestrien encore vivant, se révèle être un alchimiste de la glace. Et dit avec un ton agressif « Espèce de salaud ! Je vais vous glacer jusqu’aux os ! » Et il prit un crayon et fit un cercle, ensuite il posa ses mains sur le cercle qui aussitôt invoqua de la glace tout ça en quelques instants. Frederick, avec le peu d’énergie qui lui restait, poussa Aaron loin de là, et le jeune garçon hurla de toute ses forces à son père.... Mais en vain, car c’était trop tard : Il est maintenant un orphelin. Respectant les dernières volontés silencieuse de son père, Aaron les jambes tremblantes prit la fuite. Courant sans s'arrêter quittant sa maison pour se cacher ailleurs... Il ne savait bien combien de temps il resta à attendre, se décidant tout de même à retourner chez lui. Un silence de mort régnait dans la maison, retournant auprès de son père...
 

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  Le jour suivant, une vielle dame alla chez les Blackburn comme tout les jours -ou presque- pour leurs donner une part de gâteau qu'elle à fait elle même, ou sa traditionnel soupe que tout le monde aimait dans le village. Mais quand elle toqua à la porte personne ne répondait, ni même un petit garçon au cheveux argenté turbulent ne lui sauta pas dans les bras en disant "Mami Gâteau !!"... Rien. Alors, elle décida de rentrer, trouvant Aaron au côté de son père mort... Elle hurla de terreur, et tout le village fut alerter. Un homme d'une quarantaine d'année fut le premier sur les lieux, et à la découverte du massacre, demanda à tout le monde de reculer, et dans un effort presque surhumain, parvient à faire sortir un garçon au visage couvert d'une longue égratignure et de sang qui appartient à ceux des cadavres dans la maison. L'homme qui la fait sortir d'ici questionna le garçon:

-Aaron, qui à fait ça ? Qui est ses cadavres ?! Pourquoi ?

-... Ils ont tué... Il a tué papa... Aie ! mon visage ! Dit Aaron au bord des larmes, qui avait aussi des difficultés à parler dû au choc de ces trois derniers jours.

La veille dame ne comprenant pas, surement parce qu'elle est sourde et demanda à l'homme, qui avait vu son père mort et deux autres cadavres inconnus, dont un charcuté de part en part. Sous le choc, elle s'enfuie. L'homme resta, et il était d'une couleur pâle, comme ceux des cadavres dans cette maison, qui gisez par terre comme des vielles serpillères. Aaron, commença à sourire. Son sang bouillonnait maintenant, il réclamait le sang du meurtrier, l'homme qui accompagné Aaron se sentait d'un coup mal à l'aise bafouillant des propos avant de partir.

  Aaron, retourna dans sa maison. Et prit un miroir, juste pour savoir pourquoi l'homme s'était enfuit en le voyant. Maintenant il comprenais: son visage était mutilé, quand il souriait tout le monde le prenait pour un psychopathe. Et encore, heureusement qu'il avait lâché la faux qu'il avait tenu seul souvenir de son père... Il se regarda une nouvelle fois, et toujours cette cicatrice, alors il décida de ce faire "beau" en ce faisait des points de soudure.

   Une fois les points de soudure mit avec peine et douleur pendant plusieurs heures, Aaron alla dans le salon pour constater les dégâts, et il vit son père, non son cadavre... Il pleura à grande larme. Puis vit les autres cadavres, prit son courage à deux mains, et alla fouiller le corps du supérieur, puis il trouva des papiers disant qu'il était en mission sous le commandement du générale King Bradley... Ce nom lui disait quelque choses, mais ou il l'avait entendu parler ? Il ne sait pas, mais en tout cas, il se fit la promesse de poursuivre ce amestrien quoi qu'il en coute. De plus, il avait vu sur ce papier qu'il voulait faire un intentât au cœur du pays... L'ordure. Et rien qu'avec cette idée, Aaron rira comme un fou, un dératé, un détraqué ! Il n'arriverait pas à s'arrêter. Mais il fit interrompu par quelque villageois en colère. Il les regardait, puis s'enfuit dans sa chambre, prit sa faux et un sac de vêtement qu'il à remplit vite fait. Avant de s'enfuir par la fenêtre, et courut vers la capital Drachman.

  En chemin bien évidement il fit une halte. Il avait écouté les rumeurs qui courraient dans la rue, un militaire égaré se baladait en ville. Aaron attendit la nuit pour agir, ayant retrouvé la trace du militaire. Par une poussée d’adrénaline et de rage en voyant l'assassin de son père, Aaron prit sa faux, s'avança vers lui, et lui coupa les bras. Il hurla de douleur. Puis les jambes. Puis...

- Cette fois c'est moi qui vais prendre ta vie ! Hi... Hi... Hi !

... Puis dans un rire lent et tourmenter. Aaron Blackburn prit la vie de l'alchimiste d'Etat, en lui... Coupant la tête disgracieusement à l'aide de sa magnifique faux jusqu'à la d'un blanc immaculé, qui fait place à un beau rouge vif et soyeux. Restant plusieurs minutes à observer le cadavre démembré, il quitta les lieux disparaissant dans la nuit...

 
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20 décembre 1913.

  Le froid, la neige, l'hiver à son apogée. Amestris, le pays de l'alchimie. Puis un drachman vêtu d'une grande cape noir, qui couvre tout son corps, aux longs cheveux d'un blanc casé, presque gris. Qui va tellement bien avec sa peau d'une blancheur presque maladive. Puis... Ces yeux d'un vert profond, et, et un étrange cicatrise qui couvre tout son visage. Heureusement ses cheveux cachent un peu, mais il suffit que le vent se lève et on la voit. Cet homme, conduit une charrette dont deux chevaux remorquèrent. Dans la charrette il y avait de nombreux instruments de menuiserie, d'autres qui ressemble à des instruments de chirurgiens. Mais qui est cet homme ? Puis soudain, il s'arrêta devant une vielle boutiquer de chaussures, et entra. Regardant tout autour de lui... Ensuite il fit vite fait le ménage sur une table, histoire d'enlever la poussière accumulée durant des années. Et sortit pour prendre tout le contenu de sa charrette... Jusqu'à qu'il prit un long objet couvert d'une simple couverture, comme si c'était son objet favoris ou quelques choses comme ça. L'homme en noir s'occupa ensuite de l'intérieur, et rangea tout ce qui avait emmener.

  Et la nuit tomba.

  Le lendemain, toujours avec cet homme en noir, alla donc se faire une enseigne chez un artisan, qui dès qu'il a vu, a tout de suite sût que l'étranger était le nouveau fossoyeur du coin de la ville. Et dit:

-Salut, t'es l'nouveau toi ? Moi c'est Jean Beilschmidt, enchanté ! Dit-il en tendant la main à son client.

Notre homme sourit longuement, se qui provoqua un léger frisson à l'artisan. Puis ils se serrent la main.

-Enchanté, Jean. Moi je suis Aaron Blackburn. Puis, n'hésitez pas à venir me voir pour prendre un thé chaud accompagné d'un biscuit ou bien... de venir tester mes cercueils un de ces jours, on ne sait jamais si demain vous serez de l'autre côté de ce monde, huhuhu~

Ce que l'artisan pensé était "L'est carrément flippant, l 'nouveau !". Oui, flippant était le mot. Après donc, que Jean aille fini l'enseigne du nouveau fossoyeur Aaron, il dit que le nom de "Undertaker" était parfaitement adéquat pour ce type de métier... Surtout au propriétaire de la boutique de pompes funèbres. Et à compté de ce jour tous les amestriens, appela Aaron "Undertaker"... Pendant 3 ans. Puis Aaron se disait que c'était parfait comme nom de couverture afin de s'approcher de... King Bradley, et de le faire taire à jamais.

  Pendant les 3 ans, Undertaker a préparé et fait tout beau tout ses clients morts et aussi victime pour leurs dernières cérémonies de leur vie. Et nombreux de ces victimes sont des militaires amestriens, victimes ? Oui, car il leur fait cracher des informations -ce qui fait de lui, l'infiltré drachman le plus informé- sur la générale King Bradley, et juste par petit fantasme, Aaron vola de temps en temps leurs montres d'alchimiste d'État. Et quand les familles venaient pour reprendre la montre, Aaron dit qu'ils devraient payer... En rire ! Oui, parce qu'il faut savoir, il n'avait plus beaucoup ri depuis la mort de son père. Et pour avoir un peu de bonheur, rire est la meilleure des solutions ! Pour aussi de détourné tout soupçons sur son réel but, et la possession d'une faux. Sa faux, qu'il a appelée: "La faux de la Mort"~

Par un jour de pluie, Aaron a été appeler par un employé d’un hôpital, afin de prendre en charge un cadavre. Enfin du travail, car depuis quelque temps il n'avait plus beaucoup de client... Alors il se prépara rapidement en emmenant la lettre qu’il avait reçue et sa fauche –qui sait s’il y a des voleurs ou autres-. Prêt pour travailler, il rejoignit l’endroit désiré avec sa voiture remorqué par un cheval à la robe sombre, ce qui faisait passer aux yeux des passants une sorte de calèche tout droit arriver des enfers… Ah les gens ont une imagination débordante ! Un quart d’heure passa, et il arriva à l’entrée du bâtiment où il y avait une infirmière qui l'attendait, Aaron alla vers elle ce qui ne fut pas une très grande surprise et lui parla d'une voix suave de la suivre. Ce que fit le fossoyeur gothique avec un certain dégout suite à la manière dont elle l’avait parlé. Après à 5 minutes de marche dans des couloirs blancs, ils arrivent à la morgue. Aaron vit la dépouille d'un militaire amestrien sur une table couvert d’un drap. La amestrienne donna des papiers au drachman et d’après ce qui est écrit il n'avait pas de famille, dommage personne ne pourra lui payer en rire. Ensuite, il prit le corps sans vie avec l'aide de l'infirmière, et le mit dans sa calèche spécialement aménagée pour transporter des morts. Une fois fait la femme s'en va sans dire au revoir avec une démarche assez provocante, ce qui déclencha non pas une fixation du derrière de l’amestrienne mais un fou rire que drachman étouffa dans sa manche de manteau trop long. Heureusement qu'il était seul dans la rue. Quand le rire d’Aaron se termina, il retourna à l’hôpital afin de RENCONTRER le médecin qui l’avait contacté. Il déserta les couloirs, et après quelques minutes de recherche Aaron alla vers un docteur grand et brun et commença la conversation qui, peut-être amènera à ce fameux homme.

-Excusez-moi, je cherche un médecin du nom de… Il chercha dans sa poche de pantalon la lettre. Jin-Wan… Hein ?!

-C’est Han. Eh bien vous aviez frappé à la bonne porte ! Heureux de vous RENCONTRER. Si je peux me permettre, allons dans un endroit sûr pour parler.

Cet homme avait un accent étranger, tout comme Aaron. Et c’est avec un grand sourire, qu’il suivit le dénommé Jin-Wan Han à travers de nombreuses portes et couloir. Et c’est dans un bureau que les deux hommes se retrouvèrent, surement celui du médecin à l’accent. L’homme du nom de Han parla en premier :

-Je sais d’où tu viens, aussi pourquoi tu tues des militaires amestriens.
Aaron se sentit mal, très mal. Il tenta de répondre, mais le brun lui coupa la parole en le regardant fixement.

-Je t’ai vu questionné un militaire violemment sur notre cible avant du tué disgracieusement. Les autres ont juste beaucoup entendu de tes meurtres en masse. Puis un jour, il nous manquait du personnel et j’ai donc décidé de faire des recherches sur toi en toute discrétion avec l’accord de notre chef, qui te veut dans notre groupe. Puis… Il s’assoit sur sa chaise devant Aaron, tu m’as l'ère compétente en matière de discrétion et niveau combat grâce à ton arme. C’est pour cela que je t’ai fait venu ici à l’hôpital, Aaron Blackburn, afin de te RENCONTRER et de te parler.

-Votre cible ? C’est… le King Bradley.

C’est la seule chose dont il peut répondre. Mais, Jin-Wan lui fait signe de se taire tout en lui disant de ne jamais dire ce nom dans un endroit public. Le médecin ajouta enfin :

- Et puis… Tu as le même but que nous : Traquer et tuer Tu-Sait-Qui. C’est pour cela que je t’invite à venir nous rejoindre : Nous les infiltrer d’Amestris.

Aaron souri, enleva son chapeau noir, et d’une seule main il mit ses mèches argentées de devant en arrière comme pour faire voir sa grande cicatrise qui à marquer sa jeunesse tourmenter. Et il dit d’une voix grave à son interlocuteur:

-J’accepte avec une très grande joie, fufu~

The end... ?