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Le loup et la chatte

MessageSujet: Le loup et la chatte Le loup et la chatte EmptySam 11 Juil - 18:16

Anna

ft. Vincent

Le loup et la chatte

Après avoir recouvert de mon expérience traumatisante à la bibliothèque, j'avais décidé de prendre un peu de temps pour moi avant de m'engager à l'est. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas pensé à prendre soin de ma personne. Mais voir la mort, la frôler et s'en échapper était si bouleversant que j'avais jugé qu'un peu de repos m'était nécessaire. Bien sûr, il était hors de question de perdre du temps dans les boutiques ou à traîner dans les bars. Je devais exploiter ce ressourcement de la manière la plus pratique qui soit. Dans ce but, j'avais décidé de retourner au manoir de ma famille. Je n'y avais pas mis les pieds depuis ce jour... Retrouver mes repères serait délicat. J'avais donc embarqué dans le premier train en direction d'East City, qui s'arrêterait à la frontière entre Central Area et East Area. Avant cela, j'étais passée à l'armurerie de la ville afin d'y faire quelques emplettes. Mes différents affrontements lors de l'attentat m'avaient prouvé que je n'étais pas assez polyvalente en combat, que je dépendais trop de ma seule arme. J'avais donc choisi d'investir dans d'autres moyens de défense. En m'asseyant confortablement dans le siège du train qui m'était destiné, je contemplai mes derniers achats.

Une arbalète dernier cri en bois dont les projectiles atteignaient une vitesse initiale de pas moins de quatre-vingt-dix mètres par seconde. Une arme de jet était idéale pour harmoniser mes phases de combat à distance avec celles au corps-à-corps. Bien que cette arme était très puissante, elle demandait une excellente maîtrise, que j'étais loin de posséder actuellement. J'avais prévu de m'entraîner dur afin d'assimiler la visée, le rechargement et le recul. Afin de faciliter son transport, elle était rétractable et pliable, me permettant même de l'accrocher à ma ceinture. Je la rangeai et sortis du sac fourni par l'armurerie un couteau de combat d'une vingtaine de centimètres équipé d'un fourreau à sa taille. Cette arme de secours pouvait m'être utile si on me poussait dans mes derniers retranchements. En plus de me proposer un échappatoire en cas de prise de combat rapprochée, elle pouvait également me délivrer de cordes qu'on aurait utilisées pour m'entraver ou me faire prisonnière. Je le replaçai à son emplacement à son tour puis agrippai la dernière arme que je m'étais procurée : un sabre de Xing. Beaucoup plus souple que toutes les épées que j'avais pu manier jusqu'alors, sa lame rapide et très tranchante pouvait facilement surprendre mes futurs adversaires. Utiliser deux longues armes blanches simultanément m'offrait un panel varié d'enchaînements plus ardus à parer qu'avec une seule. Ce style de combat était aussi nuancé par plusieurs inconvénients, comme l'extrême concentration requise, d'autant plus que ce sabre était plus léger que n'importe quel autre : cela pouvait sembler avantageux, mais nécessitait en réalité un dosage de force minutieux pour synchroniser les deux membres.

Lorsque je rengainai cette dernière arme, le conducteur du train intervint à travers les haut-parleurs du véhicule, indiquant que nous étions arrivés à l'arrêt de la frontière. Je ramassai mes affaires en prenant soin de ne rien oublier et me précipitai à l'extérieur. Conformément à mes plus lointains souvenirs, la gare de la petite bourgade amestrienne était tout à fait déserte. Elle accueillait rarement des visiteurs par manque d'intérêt touristique. Combien de fois mon père était sorti seul du train en revenant du travail, par le passé ? Un nombre incalculable, certainement. Comme pour chasser cette pensée émue qui me traversait l'esprit, je relevai le capuchon de mon imperméable jaune canari. La météo était loin d'être désagréable, bien que certains nuages commençaient à pointer le bout de leur nez : j'avais revêtu cet accoutrement pour ne pas attirer de regards indiscrets. Ma famille était autrefois très réputée dans les environs. Je n'avais aucune envie qu'on me reconnaisse et qu'on me demande... des nouvelles de mes parents. Aucune déclaration officielle n'avait été faite à leur sujet. Si la majorité de la population pensait qu'ils avaient filé vers de nouvelles horizons sans prévenir personne, d'autres concevaient que le manoir de ma famille serait hanté et que des esprits vengeurs se seraient acharnés sur nous. Pas la moindre once de vérité ne demeurait parmi les rumeurs. D'un autre côté, qui serait assez déjanté pour imaginer qu'un psychopathe les avait enlevés pour réaliser une transmutation humaine ?

Ressasser ces souvenirs me donna la nausée, si bien que je m'arrêtai quelques instants sur un banc de la gare. J'en profitai pour réfléchir à ce que je pouvais bien faire ici. Si j'avais bien entendu prévu de m'entraîner à manier mon tout nouvel arsenal, je devais encore décider où pratiquer. Pourquoi pas le manoir lui-même ? Hanté comme il était, personne ne viendrait m'y déranger, pas vrai ? Je marchai dans le petit village, en m'efforçant de baisser les yeux lorsque je croisai le regard des habitants. Ce ne fut néanmoins pas si facile pour une personne en particulier. Lorsque je l'aperçus, je compris que je ne pouvais pas simplement la tromper en regardant ailleurs. La femme d'une quarantaine d'années aux courts cheveux noirs m'adressa un sourire franc, comme celui qu'on adresserait à une amie de longue date que l'on croisait tous les jours. Elle me fit signe de la suivre puis elle m'amena dans une modeste maison, à l'autre bout du hameau. A l'intérieur, de petites figurines colorées décoraient chacun des meubles en bois très anciens. L'unique autre œuvre d'art était une grande toile suspendue à un mur, représentant une magnifique jeune femme aux yeux d'un bleu océan passant un index dans sa longue chevelure de jais qui retombait à la hauteur de sa poitrine. C'était elle. Mon hôte.

- Cela faisait longtemps, Anna. Mais tu n'as pas changé d'un poil ; toujours d'une beauté éclatante. Que viens-tu faire ici ? commença par me demander cette femme de l'âge de mes parents.

- C'est plutôt moi qui devrais te poser cette question... Myranda. Tu ne vis plus à West City ?

Myranda Rose. Cette femme était une excellente amie de mes parents depuis toujours, si bien que mon deuxième prénom était le sien. J'avais bien reconnu le talent de ma mère sur le tableau que je contemplais encore avec admiration. Il représentait à merveille cette artiste de l'ouest, une sculpteure de renommée.

- Je me suis installée ici peu après votre disparition. Mais au plus profond de moi, je savais que tu finirais par revenir. Et j'avais raison ! A propos, si tu comptais jeter un coup d’œil au manoir, sache qu'il a été vidé de toutes vos affaires. Elles seront mises aux enchères d'ici peu à East City, à ce que j'en sais. Des vendeurs véreux ont fait pression pour vider la propriété afin de trouver un acheteur... Dans un coin si reculé, je suis sûre qu'ils pourront attendre un moment avant d'avoir vent de la moindre proposition.

Je remerciai l'amie de mes parents pour ces informations et pris le thé avec elle, nous laissant le temps de discuter un peu. A aucun moment elle n'avait, ne serait-ce que sous-entendu, la moindre question à propos de ce qui était arrivé. J'en conclus qu'elle s'était résignée à penser que c'était un mystère et que cela devait le rester à ses yeux. J'appréciais ce geste. Elle s'était également abstenue de me bombarder de questions à propos de ce que j'étais devenue. Peut-être me considérait-elle comme un fantôme, un revenant qui disparaîtrait d'un instant à l'autre. Elle n'avait pas si tort, après tout. Après tout ce temps, je n'étais pas sûre de remettre les pieds une nouvelle fois dans ce village à l'avenir. Nos chemins s'étaient uniquement croisés et ils allaient se séparer de nouveau. Je fus en tout cas ravie d'en apprendre davantage sur cette femme jadis si intime de mes parents. Lorsque je réalisai que le soleil allait bientôt se coucher, je décidai de lui adresser mes adieux. Elle n'avait pas besoin d'être témoin de ma transformation. Je lui fis une bise aussi sincère que le sourire qu'elle m'avait adressé pour m'aborder avant de repasser le seuil de sa porte. Alors que les derniers rayons du soleil éclairaient encore les sentiers du village, j'aperçus enfin l'immense façade du manoir, en contrebas de la petite colline sur laquelle je progressais.

Je pris soin de contourner la maison de notre vieux jardinier : Myranda m'avait confié qu'il gardait toujours un œil sur le domaine et qu'il continuait d'entretenir notre jardin. Un homme de valeurs, qui servait déjà les Morrison avant même que je ne vienne au monde. J'escaladai discrètement le mur latéral opposé à sa bâtisse en empoignant les gravures qui l'embellissaient. Une fois la première fenêtre atteinte, je la transmutai pour pénétrer ma demeure sans la briser. Rentrer dans sa propre maison comme une voleuse était lourd en émotions. Et ce n'était que le début : à l'intérieur, chaque pièce s'accompagnait dans mon esprit d'une multitude de souvenirs, parfois joyeux, parfois moroses. J'étais rentrée par le bureau de mon père, une grande pièce carrée, désormais presque vide. Mais je me souvenais encore de l'emplacement de chacun des meubles. En moi, tout était encore là. Je descendis jusqu'au sous-sol en prenant soin de n'allumer aucune lumière afin de conserver une certaine discrétion, bien que l'obscurité gagnait peu à peu le monde extérieur. N'ayant pas encore accès à ma nyctalopie, j'avançai à tâtons pour rejoindre le coin de la grande salle d'entraînement au dernier niveau du manoir. Je m'y effondrai de manière précipitée, entamant une métamorphose que je connaissais bien. Mon habitude n'y enlevait rien à la douleur que je ressentais chaque nuit. Sentir sa peau douce se recouvrir de longs poils, ses ongles limés se changer en griffes et ses quatre membres gracieux se substituer en pattes n'avait rien d'agréable.

Lorsque mon apparence féline eut pris le dessus pour de bon, je distinguais de nouveau les alentours. Par chance, les mannequins d'entraînement de la pièce n'avaient pas été enlevés, contrairement à toutes nos armes et tenues de combat. J'armai mon arbalète après l'avoir dépliée et m'entraînai sans relâche pour tenter d'atteindre une cible avec un carreau. J'obtins des résultats plus vite que prévu. Cependant, un grand bruit à l'étage m'alerta. Le jardinier soupçonnait-il ma présence malgré toutes les précautions employées ? Mon inquiétude grandit encore lorsque, quelques minutes plus tard – pendant lesquelles je n'avais pas bougé d'un poil –, l'éclairage de la salle s'alluma. L'intrus devait avoir poussé l'interrupteur qui se trouvait à côté de la porte menant au sous-sol. Alors que mes yeux peinaient à s'habituer de nouveau à la lumière, je me réfugiai vers mon coin salvateur en marchant à pas de loup. Confiante, j'armai mon arbalète d'un carreau et visai la seule entrée de la salle, prête à abattre celui qui m'avait dérangée. Grâce à mes sens surdéveloppés, je perçus chacun de ses pas dans l'escalier. Je ravalai ma salive à l'instant où je devinai qu'il allait entrer, posant mon doigt sur l'arbier de mon arme. Lorsqu'il se montra enfin, je fus transie de stupéfaction. Il avait une longue queue poilue et de longues oreilles argentées surmontaient son visage. Pas de doute possible. C'était une chimère. Encore sous le choc, je prononçai ces quelques mots :

- Qui es-tu ? Et que fais-tu ici ?
(c) ystananas
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Vincent Wolf
Vincent Wolf
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Humeur : good question...
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Notes
Ticket de Loterie:
Succès:

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Le loup et la chatte

MessageSujet: Re: Le loup et la chatte Le loup et la chatte EmptyLun 13 Juil - 20:53





Le loup et la chatte


Vincent Wolf & Anna. M. Morrisson



Ce jour là, Vincent était dans un train en direction d'Est city, il n'avait pas de concert de prévue avec son nouveau groupe de chimère ce qui allait le changer pour une fois, en plus de cela son nouveau patron s'il pouvait dire Mr Kimblee ne lui avait donner aucun ordre donc quartier libre pour la chimère loup. Il en profitait donc pour voyager ça et là, cherchant dans le même temps des informations sur ceux qui l'avaient fait devenir ce qu'il était aujourd'hui, non pas que cela maintenant lui déplaisait d'avoir dans son esprit un animal aussi noble que le loup, mais le fait qu'on l'avait ainsi jeter comme un vieux jouet d'ont on ne voulait plus après lui avoir fait subir cela, il ne l'acceptait pas. Une haine farouche brûlait envers ces gens là, il voulait se venger et ferait tout pour y parvenir. Alors qu'il était assis dans le train a observer le paysage, son esprit dériva sur ces vieux souvenirs, il se demandait comment cela se passait à North city après tout il était originaire de là la bas et maintenant qu'il était lier a un nouveau groupe de musique et a cet alchimiste, il n'avait pas trop eu l'occasion de pouvoir y retourner. Le train fini par se stopper à une gare a la frontière entre l'Est et Central et sachant qu'il y avait des trains pour le nord a partir d'ici, il se dit que ce serait une bonne occasion de voir ce qui se passait là bas et descendit du train, mais c'est a ce moment la qu'il la sentit...

Sur le coup, Vincent ne fit pas attention en marchant calmement dans la petite gare de campagne, mais plus il avançait, plus il remarquait qu'il ne rêvait pas, il y avait bien une odeur féline, mélangé a celle d'une humaine, une femme de surcroît, une chimère encore ? Un sourire amuser se dessina sur les lèvres de Vincent, mais il y avait vraiment des chimères partout dans ce pays, à l'époque où il était humain, il ne faisait pas attention, mais maintenant, il n'arrêtait pas d'en sentir. Pour une fois, il sentait que l'odeur ne cherchait pas à le trouver ou du moins, elle s'éloignait de la gare. Une idée germa dans l'esprit de l'homme loup, peut être que cette chimère était comme lui, crée par ces gens qui l'avaient laissé derrière eux, mais qu'elle, il l'avait gardé et avec de la chance, elle retournait auprès d'eux, voilà une bonne occasion de se venger ! Bien sûr, il y avait une chance sur deux qu'il se trompe, mais en même temps, il voulait être sûr qu'il avait raison aussi et pour une fois, qu'il allait jouer le chasseur, il n'allait pas hésiter à sauter sur l'occasion. Il se mit à suivre l'odeur qui était à peine perceptible même pour lui, alors pour un humain, il ne fallait pas penser a ce qu'il la sente, de toute façon ces gens-là ne sentait jamais rien. Il continua d'avancer doucement sans rien dire cherchant l'odeur, car parfois, il la perdait, mais parfois, il la retrouvait. Le jour commença à décliner quand enfin, il perçut l'odeur du chat mélangé a le femme bien comme il fallait, quand il finit par remarquer la façade d'un imposant manoir se dessinant doucement dans la pénombre, car le soleil déclinait de plus en plus, mais Vincent sentait bien que l'odeur se dirigeait vers cette demeure, mais il n'y avait aucune lumière qui indiquait une quelconque présence d'être vivant...

Alors que l'obscurité devenait plus perçante, Vincent savait pertinemment que bientôt, il ne verrait plus rien en restant ainsi humain, puis soufflant doucement, il posa la main sur sa rapière qui était toujours accrochée à sa ceinture et d'un coup ferma les yeux laissant sa transformation doucement se faire, mais pas totalement non plus, il avait juste besoin de voir dans le noir et de pouvoir se mouvoir plus rapidement que les humains et d'un coup lentement une qu'eue argentée apparut au-dessus de ces cuisses et deux oreilles de loup sortirent au travers de ces cheveux en même temps que ces yeux qui devinrent deux billes jaunes ce qui lui permit non seulement de voir parfaitement le manoir, mais également de sentir bien mieux les odeurs. Il se dirigea calmement tenant toujours sa rapière vers le manoir et sentit l'odeur d'un homme non loin de la demeure, mais dans la propriété. Surement un gardien pensa Vincent, mais cela lui indiqua donc qu'il ne pouvait passer par la porte. Il fit le tour du bâtiment et remarqua un mur ou l'odeur du chat semblait être passée et fit un bond assez haut, atterrissant sur le haut du mur avant de se laisser tomber souplement sur le sol. Il approcha du manoir et remarqua une action d'alchimie sur la vitre qui avait permis a la personne porteuse de l'odeur du chat d'entrer dans la demeure et Vincent ne se fit pas prier pour entrer de la même manière...

Il avança doucement dans le manoir évitant d'allumer les lumières pour que le gardien qui se trouvait a l'extérieur ne le remarque pas, quand il suivit l'odeur de chat, mais prit par cette odeur ne fit pas attention et frappa un vieux vase qui tomba et se brisa au sol en bruit de grand fracas. Vincent se stoppa net et écouta tout ce qu'il se passait, mais rien ce qui indiquait donc que le bruit ne semblait pas avoir été entendu. Vincent reprit sa marche, toujours sa main poser sur sa rapière tenant le manche en silence, quand il se stoppa a l'entrée du sous-sol et sans attendre poussa l'interrupteur qui menait à ce dernier, toute façon, même si la personne a l'extérieur n'avait pas entendu le bruit, il savait pertinemment que la personne a qui l'odeur appartenait avait entendu alors inutile de se cacher. Vincent descendit calmement les marches menant au sous-sol, quand il entra dans la pièce emplie de mannequin, mais avant de pouvoir en voir plus, il entendit une voix qui lui demanda alors qui il était et que faisait-il ici. Vincent se tourna doucement observant la jeune femme qu'il avait face a lui, elle qui tenait une arbalète braquer sur lui, il ne lâcha pas pour autant sa rapière, toujours, a sa ceinture, toute façon, il savait pertinemment que s'il essayait de la sortir pour se défendre, il se ferait tuer avant même d'avoir pu faire un geste, quand il souffla et dit alors calmement :

"Je me nomme Vincent Wolf, je suis venue ici suivant l'odeur d'une chimère tout comme moi, de surcroît une chimère chat, bien que je n'aie rien pour vous le prouver, je ne suis pas votre ennemi du moins si vous en avez, car au vu de l'arme que vous pointez sur moi, je me doute que vous ne vous attendiez pas a ma venue, mais pour être honnête, je suis la car j'ai cru que vous travaillez pour..." Mais à ce moment Vincent repris faisant un sourire avant de reprendre :
"Laisser tomber, vous ne pourriez comprendre, alors a moins que vous souhaitiez me tuer, je pense que je pourrais partir et vous laissez en paix Mlle...?"

Vincent l'observa attendant d'entendre son nom avant de savoir qu'elle descition elle allait prendre, quand à dire ce qu'il avait crut sur elle, il ne valait mieux pas trop en dire au cas où...




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