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Forum ouvert le 25/02/2014
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D'après les rumeurs,
Le Généralissime King Bradley aurait été vu dans les jardins du Q.G,
tondant la pelouse avec un tablier rose.

Témoin effrayé - "Faites attention à vous ! Scar n'est pas un véritable humain, c'est un Dalek déguisé... Fuyons !!!"
"EXTERMINATE"

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Taking revenge against life

MessageSujet: Taking revenge against life Taking revenge against life EmptyDim 7 Juin - 0:43



Récap'
Pouvoirs
Liens/Buts
IRL

Informations sur ton perso
Nom & Prénom - Anna M. (Myranda) Morrison

Age - 25 ans

Nationalité - Amestrienne

Métier/Rang (pour les militaires)- Alchimiste d'Etat (Commandant)

Etat-civil - Célibataire

Spécialité - Alchimiste (Spécialité : Régénération), Chimère (Chat), Epéiste

Groupe - Alchimistes d'Etat


Qualités - Attentive – Calme – Déterminée – Disciplinée – Intègre – Intelligente – Juste – Patiente – Persévérante – Rationnelle – Sérieuse

Défauts - Asociale – Blessante – Egoïste – Enigmatique – Froide – Méfiante – Opportuniste – Pessimiste  – Revancharde – Rigide
Pouvoirs et inventaire
* Elle manie l'épée à la perfection ;
* Elle se transforme en Chimère d'un chat chaque nuit, indépendamment de sa volonté ;
* Etudiant l'alchimie, elle en maîtrise les rudiments (compréhension, déconstruction, reconstruction) ;
* Elle est spécialisée en alchimie médicale.
Tes relations et tes objectifs
William Morrison : Père, décédé

Rose Morrison : Mère, décédée

Harry Porter : Ex-fiancé

Objectif(s):
* Se défaire de sa situation de chimère, ou au moins maîtriser ses transformations ;
* Venger les siens en neutralisant son ex-fiancé.
Derrière l'écran
Pseudo - Masäto / Azrevil / Yumi

Age - 17 ans (sur mes 18)

Années de RP's - 3 ans

Comment as-tu trouvé le forum?- Je cherchais un forum FMA actif, j'ai trouvé celui-ci via Google

Un dernier mot? - Hâte de m'amuser parmi vous !

Personnage de ton avatar - Misa Amane / Death Note
Histoire

Mon nom est Anna Myranda Morrison, et voici mon histoire.

Partie 1 : «Bercée par un quotidien presque commun»

Lors d'une douce nuit de l'été 1889, la famille Morrison obtint son premier et unique rejeton. Rose avait enfanté d'une jeune fille tout à fait dans les normes en matière de poids et de taille. Le choix du prénom avait été très ardu, autant pour Rose que pour son mari William. Chacun voulait honorer sa propre grand-mère. Après une rixe verbale qui dura jusqu'au petit matin, le couple Morrison se retrouva à court d'arguments. C'est dans le courant de la matinée, lorsque la sage-femme qui s'était occupée de Rose passa pour prendre des nouvelles du bébé, qu'une décision fut enfin prise. On me donna alors le nom de cette même femme qui avait assisté ma mère lors de son accouchement, et celui d'une bonne amie commune de mes parents en guise de second prénom. Anna Myranda Morrison. «Tant pis pour nos ancêtres !», m'avaient-ils confié, bien plus tard. Ils étaient ainsi parvenus à un juste milieu, sans favoriser un côté de ma famille plus qu'un autre. C'était bien le propre de la lignée Morrison : agir avec sagesse et équité. En plus d'avoir de telles valeurs, ma famille, qui était parmi les plus riches et nobles d'Amestris, possédait un grand château, à l'orée d'un bois qui bordait lui-même la zone centrale du pays.

Je reçus l'éducation la plus exemplaire qui soit. Je disposais d'un tuteur pour chaque matière d'étude, à savoir les mathématiques, l'histoire, l'art, l'escrime et l'alchimie. Mon intérêt pour les mathématiques était très réduit, mais je m'efforçais de les apprendre pour combler mon père, riche héritier Morrison qui travaillait malgré cela en tant que comptable à Central City afin de m'inculquer les valeurs de l'effort et de la persévérance. L'histoire me passionnait bien davantage, estimant que la connaissance du monde et de son passé était primordiale pour la compréhension de l'actualité. Ma formation en art était plus sommaire et lacunaire. Je n'avais pas hérité de la fibre artistique de ma mère, une grande peintre originaire de Lior, une grande cité de l'est. Quant à l'escrime, il s'agissait du passage obligatoire pour chaque enfant Morrison. Il nous était enseigné par les plus grands maîtres d'Amestris de génération en génération. Je ne dérogeai pas à la règle, apprenant à croiser le fer aux côtés de Maître Forel, un respectueux dignitaire de Xing. Enfin, l'alchimie était ironiquement la dernière de mes préoccupations. Même les équations me plaisaient plus que l'étude des réactions chimiques et de la matière. Tout ce dialecte de savant, c'était très peu pour moi. Pourtant, mon père rêvait de me voir initier une carrière d'alchimiste : il avait eu l'occasion de remarquer que les alchimistes d'état n'étaient pas les moins payés du pays, bien au contraire. A peine adolescente, mon père se souciait déjà de mon avenir. Un avenir qui s'annonçait pourtant radieux.

Pleine de sueur, je sortis de la salle d'entraînement avec satisfaction. Maître Forel ne m'avait pas ménagée ce jour-là, mais ma fente s'améliorait de jour en jour. J'avais même réussi à percer sa défense après un habile enchaînement. Je remontai dans ma chambre afin d'y prendre une douche réparatrice. Seize années s'étaient écoulées depuis ma naissance et j'avais déjà acquis un grand nombre de connaissances et de techniques. Néanmoins, l'échéance de mes examens finaux approchait de plus en plus, ce qui n'allait pas sans renforcer les demandes soutenues de mon père pour présenter un dossier à l'université d'alchimie de Central. Dès qu'il amenait la conversation, je ne pouvais m'empêcher de changer de sujet. Je n'avais pas la moindre envie de devenir alchimiste, mais je craignais que mon père ne puisse le comprendre. D'une part, je désirais mener ma vie comme bon me semble, mais d'autre part je ne voulais pas décevoir mes parents. En tant que fille unique, je me doutais bien qu'ils plaçaient toutes leurs espérances en moi.

Lorsque je ressortis de ma chambre encore en peignoir, je tombai nez-à-nez avec un parfait inconnu. Celui-ci était de grande taille, à la stature droite et aux épaules carrées. Sa chevelure brune nuançait son visage d'ange déjà égayé par de splendides yeux bleus et dont la seule imperfection était une fine cicatrice sur le front. Il portait un costume noir et une chemise blanche on ne peut plus classiques, mais élégants. Observer sa tenue me rappela que je n'étais presque pas vêtue. Honteuse, mon visage prit une teinte pourpre avant que je ne dise d'un air très gêné :
«Qui... qui êtes-vous ?
Je n'osais affronter son regard océanique, préférant fixer le parquet en orme du couloir du château familial.
- Je me présente : Harry Porter, collectionneur d'art. Je m'excuse de ma présence inopportune mais votre domestique m'a laissé entrer, m'expliquant que Rose Morrison m'attendrait dans son atelier, au premier étage. Mais je suppose que vous n'êtes pas Mme. Morrison ?
- Pas exactement... Je suis sa fille, repris-je d'un ton plus limpide, rassurée de connaître l'identité de mon interlocuteur. L'atelier de ma mère est par ici.» ajoutai-je en pointant du doigt la pièce à l'autre bout du couloir.
M. Porter s'excusa une fois de plus avant de reprendre son chemin. Je ne pus m'empêcher de me réfugier dans ma chambre, remontant par la même occasion mon peignoir qui avait légèrement glissé au niveau de ma poitrine. J'espérais qu'il n'avait rien remarqué... Ce n'était pas la première fois que ma mère accueillait des visiteurs sans me prévenir, mais ils m'avaient rarement fait cet effet-là. Il avait quelque chose de spécial... sans que je puisse dire pourquoi. J'espérais le revoir.


Partie 2 : «Panique, romantisme et tragisme»

Deux mois passèrent sans que je n'entende parler de ce Harry Porter, si ce n'est de la bouche de ma mère, qui m'avait expliqué qu'il était très intéressé par ses tableaux et qu'il lui en avait acheté une paire. Cet intrigant personnage obsédait mes pensées, m'empêchant même de me concentrer sur mon manuel d'histoire. Bien que la Guerre du Sud de 1835 était loin d'être inintéressante, M. Porter se glissait entre chaque ligne de témoignage, chaque image d'armes, chaque carte de stratégie militaire. Mon tuteur me fit d'ailleurs remarquer que je n'étais pas assez concentrée, ce qui n'était pas à mon habitude. En sortant de ce cours tourmenté, je me dirigeai vers la salle de séjour pour me reposer. Le téléphone sonna alors, m'interrompant dans mon élan. J'en décrochai le combiné et lâchai un «Maison Morrison, je vous écoute» des plus naturels. Les mots qui suivirent résonnèrent tel un écho plusieurs fois dans mon esprit : «Vos parents ont eu un accident de voiture». Je pris en note d'une main tremblante l'adresse de l'hôpital où ils avaient été internés et je lâchai le téléphone sans même le raccrocher.

Je me précipitai à la rencontre de mon domestique d'un pas urgent et lui demandai de m'emmener à l'adresse relevée en lui expliquant la situation avec les mots les plus simples. Il me fit monter dans sa voiture, affichant un regard inquiet. Il s'était voulu rassurant pendant le trajet, mais je percevais bien à son ton de voix qu'il était tout aussi alarmé que moi. Arrivés à destination, nous rentrâmes dans le grand bâtiment blanc à la hâte, n'hésitant pas à bousculer les personnes sur notre chemin. On nous indiqua un numéro de chambre à l'accueil et nous fonçâmes vers celle-ci, sans nous préoccuper davantage des explications de la secrétaire. Alors que je traversais des couloirs interminables, mon cœur battait de plus en plus vite. Lorsque je vis le numéro qu'on nous avait indiqué, mon cœur manqua de s'arrêter. Je posai mes doigts sur la poignée de la porte, sans pouvoir l'ouvrir, tétanisée. Mon domestique posa sa main sur la mienne et l'ouvrit lui-même. Lorsque j'entendis le son si caractéristique des machines relevant le rythme cardiaque, je m'effondrai sur le chevet du lit de ma mère, déversant toutes les larmes de mon corps, comme si elles s'étaient nichées dans le creux de mes yeux sur le chemin, attendant patiemment de se déverser... Ils étaient en vie. Jamais je n'avais eu de telle frayeur. Et j'espérais ne jamais plus ressentir cette émotion sans pareille.

Quatre ans plus tard, le quotidien semblait avoir repris son cours. L'accident n'avait laissé aucune séquelle. Du moins, pas physiquement. Cet événement m'avait fait réaliser à quel point je tenais à mes parents. A quel point ils étaient tout ce que j'avais. Si je les avais perdus, je ne m'en serais jamais remise. Et j'ai d'ailleurs mis du temps à recouvrir psychologiquement, écartant pendant quelques temps mes études. D'un certain côté, cela me donnait un peu plus de temps pour réfléchir à mon avenir, et notamment à l'université que je fréquenterais. Cette expérience avait été si traumatisante que même M. Porter m'était sorti de la tête. Mais il revint vite à la charge... Afin de présenter un tableau qu'elle venait d'achever et de mettre aux enchères sa collection, ma mère avait organisé une réception, invitant tous nos cousins, les collègues de mon père, et tous ses plus proches amis et collaborateurs, dont un certain Harry Porter...

J'avais fait des pieds et des mains pour m'asseoir à la même table que lui, curieuse d'en apprendre davantage au sujet de l'homme qui obsédait mes pensées. C'était en vérité un homme plein d'humour et de bonne volonté. Il était âgé de vingt-sept ans, soit sept de plus que moi. La différence d'âge n'était donc pas si frappante. Nous passâmes une formidable soirée et je trouvai sa compagnie très agréable. Conformément à la croyance commune, ma mère n'avait laissé personne regarder son œuvre avant qu'elle ne se soit terminée. Le tableau était donc au beau milieu de la salle de réception, couvert d'un linceul blanc. Elle le présenta enfin à ses invités avant le dessert. Cette toile intitulée «Printemps» représentait une jeune fille blonde surmontée d'un chapeau blanc et vert. Elle était assise dans un jardin rempli des fleurs les plus variées et les plus colorées. L'assemblée applaudit, charmée par les fins coups de pinceau de ma mère.
«J'admire votre mère. Elle vous a représentée sous votre meilleur profil», me murmura Harry parmi le brouhaha environnant.
Applaudissant moi-même mécaniquement, je n'avais même pas remarqué que cette fille blonde n'était autre que moi. J'étais sans doute à ses yeux au moins aussi importante qu'elle ne l'était elle-même aux miens. Ce fort lien familial avait occulté le compliment sous-jacent que venait de me faire Harry. Je tournai mon regard vers le sien et fus surprise de constater qu'alors que tout le monde avait les yeux rivés sur la peinture de ma mère, lui n'avait d'yeux que pour moi. Nous nous fixâmes un long moment sans qu'il ne détourne le regard, apparemment pas gêné de ce que je pouvais en penser. A l'instar du long moment qu'il m'avait fallu pour me reconnaître au beau milieu de «Printemps», je ne réalisai l'évidence qu'à cet instant : j'étais éperdument amoureuse.

Après cette soirée, il ne se passa pas un jour sans qu'Harry ne me rende visite au château. Nous parlions de tout et de n'importe quoi, de ses recherches d’œuvres d'art jusqu'à mon orientation professionnelle. Il soutenait que je devais faire mes propres choix, vivre pour moi, et pas pour mon père. Au fond, il avait évidemment raison, et je l'avais toujours su. Mais je redoutais le moment où j'annoncerais à mon père que je préférais opter pour une faculté d'histoire plutôt qu'une université d'alchimie. «Historien, ça ne rapporte rien», me répondrait-il certainement. Mais je n'avais pas cette même obsession pour l'argent. Encore moins depuis que je fréquentais Harry. Mes sentiments pour lui me faisaient découvrir une nouvelle face de la vie. Lors d'un pique-nique dans mon jardin, il m'offrit un chapeau blanc et vert. Le même que celui de ma représentation sur «Printemps». Ce fut lors d'une copie exacte de la situation dépeinte sur le tableau de ma mère que l'on eut notre premier baiser. Encore un instant qui resterait à jamais gravé dans ma mémoire. Une année passa, au cours de laquelle je m'épanouis auprès de mon tourtereau. J'avais également osé affronté mon père et m'étais inscrite à la faculté d'histoire de Central. A ma grande surprise, il n'avait pas exprimé de quelconque mécontentement, assurant qu'il était heureux si je l'étais. Mon bonheur arriva à son apogée le soir où Harry me glissa une bague de fiançailles. J'étais soulagée de constater que cet amour était vrai, aussi bien pour moi que pour lui. Il était ma nouvelle force, mon nouveau souffle. Malheureusement, tout cela n'était que le calme avant la tempête... J'avais pris pour habitude de rentrer le week-end de mon appartement de Central – que je partageais d'ailleurs avec Harry – afin de passer du bon temps en famille. Alors que mes parents m'avaient prévenue qu'ils m'attendraient au château, il n'y avait personne lorsque notre domestique m'y amena en voiture. Il m'avait pourtant garanti qu'ils étaient là avant qu'il ne les quitte pour venir me chercher. Mon cœur se remit à battre la chamade, exactement comme ce jour-là... Le jour où j'avais craint de les perdre. Essayant de me rassurer, j'explorai toutes les possibilités, appelant tous leurs amis, les collègues de mon père, nos cousins... Personne n'était au courant de quoi que ce soit. Après un week-end entier à les chercher, mon domestique parvint à me raisonner : mes parents avaient disparu, et c'était à la police de les rechercher. Nous déclenchâmes un avis de recherche et nous nous armâmes de patience.

Les heures, les jours et les semaines passèrent sans que mes parents ne donnent de quelconque signe de vie. Un banquier vint même me visiter pour me parler d'héritage. Assurément, je déclinai toute conversation de ce genre, rejetant la pire des hypothèses. Ils ne pouvaient pas m'avoir quittée sans me prévenir... Ils étaient forcément là, quelque part, dans ce monde. Harry m'épaula dans cette difficile passe. Il était là pour moi, même prêt à fouiller de fond en comble la forêt près de notre grande propriété. Sans succès, évidemment. La police ouvrit une enquête et commença à interroger tous nos domestiques et notre entourage. Quelques jours plus tard, je reçus une lettre attestant du fait que la fortune de mes parents avait été versée sur le compte bancaire que je venais d'ouvrir en commun avec Harry. Je relus ce document à de maintes reprises et quelque chose me tracassa. Plus encore que le fait qu'il attestait de la mort de mes parents, ce papier donnait un motif à mon fiancé pour leur éventuel meurtre. Je refusais d'y croire. Harry n'était pas avide au point de se rapprocher de moi uniquement pour mon argent. Il était sincère, je le savais. Pourtant, je le regardais différemment depuis que j'avais lu ce document. Après plusieurs journées de torture à douter de mon amant, j'osai lui poser cette question qui bouleverserait le cours de ma vie :
«J'ai constaté que mon héritage avait été versé sur notre compte commun... Promets-moi que tu n'es responsable de rien, je t'en prie.»
Son regard changea du tout au tout. D'un regard tendre et amoureux, il passa à une mine blessée et désespérée. Je me sentis aussitôt honteuse d'avoir fait pareille suggestion. Et à cet instant précis, sans que je ne m'y attende, Harry me porta un violent coup à la tête, ce qui me fit perdre connaissance. Noir total.


Partie 3 : «Une personnalité peut en cacher une autre»

Le réveil fut particulièrement éprouvant. Alors que j'entrouvrais délicatement mes yeux, je tâchais de me remémorer ce qui m'était arrivé. Pourtant, rien ne me revenait à l'esprit. Lorsque mes yeux se furent adaptés à la chiche lumière pâle qui éclairait la pièce sombre dans laquelle je me trouvais, je réalisai que je n'étais plus moi-même. D'ailleurs, cette lumière, qui semblait a priori bien insuffisante pour me permettre de distinguer les alentours, me seyait amplement. Les yeux rivés devant moi, je reconnus enfin ce qui me privait de ma liberté : des barreaux. Je me trouvais très certainement dans une cage, au fond d'une cave obscure. Je posai mes mains sur le fer qui me faisait prisonnière, tentant vainement de le tirer pour m'en défaire. Soudain, quelque chose me heurta l'esprit. Pas le simple fait que ma force était insuffisante pour briser cette prison, mais bien quelque chose qui avait changé... en moi. Mes mains n'étaient plus aussi fines, propres et légères qu'autrefois. Une fourrure aussi blonde que mes cheveux les recouvrait désormais et des griffes rétractables avaient remplacé mes doigts élégants peints de vernis. Cette vision d'horreur me fit lâcher un cri strident, vite étouffé par l'isolation de la petite pièce où j'étais retenue. Ma voix, elle, était au moins intacte. Mais mes bras ne pouvaient s'en vanter... Je remontai mon regard le long de mon corps, et découvris que cette même touffe de poils collée sur mes mains devenues pattes s'étendait sur mon corps tout entier. Passant mes mains sur mon visage, je constatai qu'il ne faisait pas exception. Mon nez, en revanche, avait disparu, laissant place à un fin museau. Mes oreilles, quant à elles, surplombaient ma face animale. A mon insu, j'avais pris forme féline.

Alors que je découvrais avec horreur mon nouveau corps, une silhouette que je connaissais bien descendit les marches qui menaient vers la sortie de cette cellule souterraine. Harry. Voir son visage me rappela alors ce qui était arrivé. Ce mufle m'avait frappée au visage pour m'assommer, me confessant implicitement par la même occasion qu'il avait joué un rôle dans la disparition de mes parents. Il afficha un air satisfait avant de s'enivrer de sa méchanceté :
«Tu es encore plus belle sous ce nouveau jour, ma chérie.
- Que m'as-tu fait !? m'exclamai-je aussitôt. Et où sont mes parents ?
- Morts... morts... Ils seront bientôt morts.» répéta-t-il en ricanant d'un rire psychédélique.
Je ne reconnaissais plus l'homme que j'avais tant aimé. Lorsque ses mots furent enfin parvenus à mon esprit, mes yeux perlèrent de larmes sèches.

«Te voilà bien curieuse, mon chat. commença-t-il en étouffant un rire, comme s'il venait de faire la blague du siècle. Si tu veux tout savoir, alors je te confierai tout : il y a très exactement cinq ans, le couple Morrison causa un accident de voiture par excès de vitesse. Sans doute étaient-ils pressés de rejoindre leur douce fille Anna. Une hâte qui entraîna la mort d'une autre. L'autre voiture victime du carambolage transportait une jeune fille tout juste fiancée, Ashley Brook. Son décès échappa certainement au grand public afin de ne pas faire paraître la noble famille Morrison comme des assassins. Peut-être ne furent-ils même pas mis au courant. Quoi qu'il en soit, la disparition de Miss Brook laissa son conjoint seul, désespéré, noyé dans le chagrin. Cet homme s'essaya alors à l'alchimie, persuadé qu'il pourrait ramener sa dulcinée d'entre les morts. N'ignorant point que cette discipline requérait un échange équivalent, il comprit qu'il devait sacrifier des vies humaines pour atteindre son but. Prêt à tout pour revoir Miss Brook, il ne désirait cependant pas éliminer des hommes arbitrairement. Non... Il devait le faire consciencieusement. Et le choix de son tribut fut rapidement fait : qui d'autre pourrait mieux convenir à cet échange que les malfrats qui ont volé sa vie à Miss Brook ? Si tu me suis, tu comprends où je veux en venir : Ashley était ma fiancée. A présent tes parents vont subir le même sort qu'elle, au détail près qu'ils serviront au moins à quelque chose en mourant. Quant à toi, je t'ai transmutée avec un chat. Pendant que je mènerai mes expériences, tu feras gentiment le guet grâce à ta vision nyctalope et me préviendras si quelqu'un s'approche d'un peu trop près.»

Tout prenait alors son sens. Depuis le début, Harry n'était motivé que par la vengeance. En plus d'avoir subtilisé mon héritage, il comptait me voler mes parents. Et mon apparence humaine. Il m'avait tout pris. J'étais à présent forcée de me soumettre à ses désirs sordides. Il m'amena sur le toit du bâtiment, les pattes enchaînées à un boulet qu'il tenait en main. Il m'avait chargé de miauler si quelqu'un approchait. Si je refusais d'obtempérer, il tuerait un de mes parents devant mes yeux, arguant qu'il n'en avait de toute manière besoin que d'un seul pour réaliser sa transmutation humaine. J'étais prise au piège. Je patientai donc des jours et des nuits durant sur ce toit infernal, n'étant nourrie que par ma haine et par les restes des repas d'Harry qu'il daignait m'accorder. Je fus soulagée de constater que je n'adoptais cette forme de chimère que la nuit. Je reprenais forme humaine le reste du temps. Lorsque le soleil s'éclipsait, je me changeais. Et chaque transformation était plus pénible que la précédente, ce qui accumulait le désespoir en mon sein. Je ne reçus aucune nouvelle de mes parents. L'un était peut-être en vie, l'autre mort, ou peut-être servaient-ils encore aux expériences d'Harry. Peut-être que ce dernier n'avait pas encore eu le courage de passer à l'acte. Je l'espérais sincèrement, à peu près autant que j'espérais la venue d'un héros pour me délivrer et sauver les miens. Mais plus les jours passaient, et plus l'espoir s'amenuisait. Un jour, je songeai à renoncer à la vie. Après tout, plus rien ne me retenait ici-bas. Mais je refusais que mes parents soient morts en vain – s'ils étaient bien morts à ce moment-là. Je décidai donc de m'accrocher, de me battre pour survivre, de tenir à la vie comme un aimant tient à son opposé.

Cette lutte contre moi-même se faisait si longue que j'eus le temps de me remémorer chacun de mes souvenirs. Et ce fut précisément ainsi qu'une lueur d'espoir vit de nouveau le jour : je repensai à mes vieux cours d'alchimie, que j'avais tant dénigrés, tant détestés, et qui pourraient me sauver. Les enseignements de mon tuteur me revinrent à l'esprit : «Tout repose sur la compréhension de la matière. Il faut avant tout l'assimiler avant de la déconstruire puis de la reconstruire». Je me mis donc au travail, analysant avec minutie ce qui composait la chaîne qui me retenait prisonnière. Sa couleur dorée était caractéristique de l'or. Mais à quoi bon gâcher tant d'argent pour une telle entrave ? Après tout, Harry en était tout à fait capable, jugeant peut-être qu'il me ferait ainsi payer le prix de la luxure. Et avec mon héritage, il en avait les moyens. Je m'essayai donc à l'étape de la déconstruction, sans réussite. J'avais rarement réalisé des travaux pratiques en alchimie, et ils s'étaient tous soldés par des échecs. Mais c'était certainement dû à mon manque d'intérêt pour la matière. Au moment où elle représentait mon seul espoir, jamais je ne l'avais tant aimée. D'ailleurs, je regrettais de ne pas avoir été assez attentive à mes cours. Je persistais, désirant dur comme fer décomposer cette chaîne. Mais quelque chose clochait... «Tout repose sur la compréhension de la matière.» Et si je m'étais trompée sur la première étape d'analyse ? Je reconsidérai la matière qui la composait. Après tout, l'or n'était pas le seul matériau de cette couleur. Et si... Et s'il s'agissait d'un alliage ? Je tentai de me rappeler la liste d'alliages que j'avais apprise ainsi que ce qui les composait. Le laiton ! C'est bien sûr. Le laiton ressemble beaucoup à l'or, et est composé... de cuivre et de zinc ! Bénie soit la science. Je réitérai l'expérience de déconstruction en prenant mes dernières découvertes en considération. Après un travail de longue haleine à me concentrer sur chaque atome de cette chaîne, elle finit par changer de forme à ma guise.

J'étais libre. Plus rien ne me retenait sur ce maudit toit. Pourtant, je ressentais le besoin de rester encore un peu... pour prendre ma vengeance. Je transmutai avec tout autant d'efforts la chaîne en une lame aiguisée. Je n'avais plus qu'à patienter jusqu'au moment où Harry viendrait pour me nourrir. Les minutes qui vinrent ensuite me semblèrent bien plus longues que les semaines que j'avais pu passer sur ce toit, et le soleil commença à me jouer des tours. Plus le temps passait, et plus je me demandais si j'en étais vraiment capable. Capable de tuer un autre être humain. Capable de mettre fin à cette horreur. Capable de me rabaisser au niveau de ce monstre. Capable d'affronter le regard d'autrui en leur expliquant que j'avais simplement pris la fuite. Capable de venger mon père, ma mère. Je pesais le pour et le contre, sans que l'un ne sorte gagnant. Mais le temps m'était compté : des bruits de pas commençaient à se faire entendre dans la maison de cette petite ruelle isolée. Harry allait sortir d'un moment à l'autre de cette porte à laquelle je faisais dos. Je devais prendre une décision. Maintenant. Baissant les yeux, je lâchai le couteau que je serrais entre mes mains et me contentai de glisser le long du mur vertical du petit bâtiment. Alors que je me remettais tant bien que mal de la chute modérée que je venais de faire, j'entendis le cri d'incompréhension d'Harry lorsqu'il découvrit le boulet de ma chaîne en laiton relié à un couteau. Je ne perdis pas une seule seconde de plus et pris mes jambes à mon cou. Je fonçai droit devant moi, ignorant complètement vers où je me dirigeais. Je voulais uniquement m'écarter le plus possible de cette maison de malheur.

Quatre années s'écoulèrent. J'eus le temps d'approfondir mes bases en alchimie auprès de mon ancien tuteur. Il ne posa pas de question quant à mes motivations, remarquant simplement que je m'étais éprise d'un intérêt nouveau pour la matière. Je vécus avec le remords de n'avoir rien fait ce jour-là, et la forme de chimère que je prenais chaque nuit me le rappelait avec une certaine insistance. Afin de résoudre ce problème, je reçus une formation en alchimie médicale, passant plus de deux ans dans un hôpital de Central à suivre les préceptes d'un élixirologue venu de Xing. Mais tout le nouveau savoir que j'avais acquis ne suffisait pas à me redonner forme humaine. Je me jurai de ne plus m'attacher à quiconque, mes sentiments m'ayant causé trop de tort par le passé. Tout cela ne serait pas arrivé si je ne m'étais pas tant liée à mes parents et à cet homme qui m'a trompée. Mais quelque chose avait changé depuis tout ce temps. Je me sentais prête à prendre ma revanche sur la vie. A faire ce que je n'avais pas été capable de faire autrefois. J'avais visité cette maudite maison, sans retrouver la moindre trace d'Harry. Il s'était volatilisé, mes parents avec. Dans un état militaire comme le nôtre, j'étais consciente qu'il ne me restait plus qu'un moyen de le pister : accéder aux avantages de l'armée. Dans ma condition, ma seule chance était de devenir Alchimiste d’État. Ainsi l'accès à la bibliothèque nationale des alchimistes me permettrait peut-être également de faire des recherches sur les chimères pour mieux maîtriser ma forme animale.

Je me rendis donc au quartier général de l'armée à Central et postulai au poste d'Alchimiste d’État. On me fit passer une série d'épreuves attestant de mes connaissances en alchimie. Je les réussis haut-la-main, étant habituée à des questions plus difficiles auprès de mon tuteur. Quant aux tests psychologiques, j'en bernai les examinateurs pour leur faire croire que j'étais une jeune femme saine et équilibrée. Ce que j'étais loin d'être, évidemment. Je parvins également à leur cacher mon état de chimère durant toute ma formation en académie militaire, ce qui ne fut pas une mince affaire. Mieux valait qu'ils ne posent pas trop de questions : je me réservais le plaisir de retrouver Harry par moi-même. Il était hors de question que l'armée intervienne dans cette affaire. J'eus au début quelques difficultés à obéir aux ordres au doigt et à l’œil, mais je finis par sacrifier mon indépendance, gardant toujours mes objectifs dans un coin de la tête. La discipline que m'avait instaurée mon éducation me facilita néanmoins la tâche. Il ne me manquait plus qu'à passer le test d'aptitudes devant le grand King Bradley en personne.

Je m'y présentai sans artifice, ne portant que mon uniforme militaire ainsi que mes gants jaunes sur lesquels étaient dessinés des cercles de transmutation alchimique. Je détenais également une épée que j'avais dégotée dans une armurerie militaire. On me fit entrer dans une pièce circulaire où se trouvait le Führer, sur une estrade au fond de la salle. Il restait de marbre, attendant que je fasse ma démonstration.
«J'aurais besoin d'un volontaire pour m'affronter à l'épée.»
Un des hommes de sa garde du corps se proposa après une brève hésitation. Je lui recommandai de ne pas me ménager. Nous nous fîmes face et dégainâmes nos armes respectives. Je me plaçai en position défensive, afin de contrer son éventuel premier coup. Il prit de l'élan afin de commencer en puissance et je me contentai d'une parade. Nos armes se figèrent l'une contre l'autre et je tenais la mienne d'une poigne de fer, ne fléchissant pas devant la force brute de ce soldat. D'un revers gracieux, je le repoussai et l'invitai à contre-attaquer d'un signe de ma main libre. Il prit cette fois-ci plus de temps pour analyser ma garde et tenta de la pénétrer par une fente, que je contrai une fois de plus sans mal.

Afin d'obtenir de lui toute sa puissance, je n'hésitai pas à le provoquer :
«Est-ce donc tout ce que tu peux donner ?», demandai-je d'un air vaniteux.
Blessé dans son orgueil, il s'élança vers moi sans aucune clémence. Je baissai volontairement ma garde, le laissant m'atteindre ouvertement. Il avait dessiné une entaille assez profonde sur mon bras droit. Surpris, il sembla désolé de m'avoir blessée. Il s'agissait certainement davantage de pitié machiste plutôt que de réelle compassion. Je m'écartai de quelques pas en arrière, satisfaite, puis je posai ma main sur mon bras touché. Le cercle alchimique dessiné sur mon gant couleur canari s'illumina alors. L'instant d'après, lorsque je dégageai ma main de mon bras, ce dernier avait regagné toute sa vitalité, l'entaille s'étant refermée d'elle-même. Mon adversaire sembla désarçonné. Je profitai de ce moment d'inattention pour adopter une posture plus offensive. Je me jetai sur lui, m'abaissai pour le tacler à la cheville et me redressai afin de poser mon pied sur son torse et ma lame sous sa gorge. Je me contentai d'un sourire supérieur, que me rendit King Bradley. Quelques heures plus tard, on me donna mon certificat signé de la main du Führer ainsi que ma montre gousset gravée du dragon d'Amestris. Une nouvelle vie commençait.
Caractère
La dure expérience d'Anna lui a permis d'acquérir une maturité sans pareille. Cependant, son passé l'a amenée à se refermer sur elle-même. En effet, elle n'accorde plus sa confiance à qui que ce soit et se méfie même de toute tentative de rapprochement d'autrui. Sur le plan sentimental, sa froideur glacera les sangs de ses prétendants. Elle ne se laissera plus tromper par un soi-disant amoureux transi.

Bien qu'elle soit particulièrement compliquée d'un point de vue relationnel, elle sait se montrer calme et attentive en cas de besoin, notamment lorsque cela concerne de près ou de loin les buts qu'elle s'est fixés. Ce sont effectivement ses seules sources de détermination et de motivation. Elle saisira toute occasion lui permettant de se rapprocher de ses objectifs.

Elle n'est pas non plus du genre à idéaliser quelque chose ou quelqu'un d'autre, bien trop rationnelle. Son naturel pessimiste et sa manière de faire redescendre les rêveurs sur terre peut parfois la rendre blessante. Et ses remarques n'auront rien de maladroit. Chaque mot sera parfaitement pesé. Elle poignarde verbalement, sans doute pour prendre sa revanche sur la vie et sur les autres.
Physique
Anna est une jeune femme svelte de taille modérée. Elle n'est pas beaucoup plus musclée que la moyenne, mais suffisamment pour tenir son épée. Elle saura utiliser les atouts de son corps pour manier son arme, profitant au maximum de sa légèreté pour asséner des coups rapides et donc moins prévisibles.

Ses longs cheveux blonds et lisses sont le plus souvent détachés, atteignant généralement le haut de ses épaules. Ses yeux marrons en amande sont, quant à eux, d'un classique atonique. Son visage plutôt carré a cependant des traits fins et séduisants, mettant en valeur un nez discret et de fines lèvres.

Elle ne porte du maquillage qu'en de rares occasions, auquel cas elle se contentera d'un simple mascara et d'un rouge à lèvres discret. Sa garde-robe suit ce même modèle : elle porte le plus souvent son uniforme militaire bleu impérial ainsi que des gants d'un jaune canari sur lesquels sont dessinés des cercles de transmutation. Son fourreau est accroché à une ceinture assortie à ses gants. Lors des duels les plus prenants, elle n'hésitera pas à se défaire de sa veste militaire pour s'amincir davantage, laissant alors paraître un chemisier blanc des plus classiques. Lorsqu'elle doit se mettre sur son 31, elle porte des robes classiques, souvent jaunes ou rouges.
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Notes
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MessageSujet: Re: Taking revenge against life Taking revenge against life EmptyDim 7 Juin - 11:41
Hello et bienvenue à toi !

N'hésites surtout pas si tu as des questions et bon courage pour ta fiche

P.S : J'ai cru voir dans tes relation "Harry Potter" au mieux de "Porter", j'ai eu un WTF sur le moment XDD
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MessageSujet: Re: Taking revenge against life Taking revenge against life EmptyLun 8 Juin - 19:25
Merci merci. :)
Haha, je t'avoue que je n'y ai même pas pensé en inventant ce nom. Maintenant que tu le dis, la ressemblance est frappante. Je lui foutrai une cicatrice sur le front, histoire d'aller au bout dans l'amalgame. xD

EDIT visible : Parties 1 et 2 de l'histoire ajoutées. Il ne manque que la troisième partie, qui viendra sans doute demain.

EDIT visible 2 : Partie 3 ajoutée, clôturant l'histoire. Descriptions physique et de son caractère à venir.
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MessageSujet: Re: Taking revenge against life Taking revenge against life EmptyMar 9 Juin - 20:31
Bienvenue jeune fille !

J'avoue que le Harry Porter, pour moi, c'étais fait exprès. Du coup, la seule différence qu'il y aurait, c'est les yeux et la couleur de cheveux. Sauf si tu te fît à Daniel Radcliffe.

Dis moi, dis moi... Potterhead en vu ?
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MessageSujet: Re: Taking revenge against life Taking revenge against life EmptyMer 10 Juin - 14:30
Ah non, je t'assure que c'était totalement involontaire. Je voulais l'appeler Harry et j'ai tapé ça sur Google pour le nom de famille : http://lmgtfy.com/?q=noms+de+famille+anglais
Puis j'ai pris le deuxième lien et ai fouillé un peu jusqu'à tomber sur "Porter", qui m'a rappelé le gosse de Desperate Housewives. Et donc je l'ai pris, sans répéter l'association du prénom et du nom dans ma tête. Même en l'écrivant pour la première fois, je n'ai pas pensé à notre sorcier balafré, promis. x)
Je suis pourtant un grand fan d'HP, là n'est pas la question. C'est seulement un heureux hasard. Very Happy

Pottermore, je connais pas des masses. J'y ai passé un peu de temps il y a quelques mois, mais ça ne m'a pas vraiment plus. x) En terme de jeux, je suis plus axé League of Legends ou bons vieux MMO hardcore. Very Happy

A la revoyure.


EDIT visible : Fiche terminée. :)

EDIT visible 2 : Modification de la date de naissance d'Anna suite au changement de chronologie générale (1915 → 1914 ; 1890 → 1889). Pas d'autre changement puisqu'il s'agissait de la seule date fixée dans l'histoire (le reste étant sous forme d'ellipses temporelles). Néanmoins il me semblait avoir lu qu'on était au printemps, et le rappel indique à présent automne. Anna étant née en été, elle est donc en réalité âgée de 25 ans.
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MessageSujet: Re: Taking revenge against life Taking revenge against life EmptyJeu 11 Juin - 15:23
On a déjà vu ensemble la correction de l'histoire, c'est OK. Aucune faute dans le Caractère ni dans le Physique. ^^
Y'a plus qu'à attendre Rizouille pour la validation !
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MessageSujet: Re: Taking revenge against life Taking revenge against life EmptyJeu 11 Juin - 16:52
Eh bien, après une longue lecture, je te valide, je n'ai rien de plus à dire °.° fiche agréable et longue à lire ça faisait longtemps xD amuse toi bien et bon rp, tu peux poster tes demandes diverses et ouvrir ton compte en banque !
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MessageSujet: Re: Taking revenge against life Taking revenge against life Empty
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