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[5 novembre 1914] Mon royaume pour un bras [pv Zearth]

MessageSujet: [5 novembre 1914] Mon royaume pour un bras [pv Zearth] [5 novembre 1914] Mon royaume pour un bras [pv Zearth] EmptyJeu 15 Fév - 2:26
Les pas sont trainants, voire nonchalent. Cet étranger qui erre ainsi dans les rues de Rush Valley depuis l’aurore semble avoir un but précis. À son flanc repose une manche vide, solitaire. Il est un observateur à l’aguet , mais pour l’instant, il n’a pas trouvé ce qu'il cherchait. Dans sa main droite se trouve un papier sur lequel a été griffonné une adresse. À l’observer de plus près l’on reconnait plutot une serviette de table d’un restaurant commun avec quelques taches d’alcool séchées et de l’encre qui a bavé.

Il ne demande pas son chemin, silencieux, une expression des plus sérieuses dans son regard. Comme un prédateur chassant sa proie . Ses cheveux sont longs, retenus en une tresse qui descend jusqu’au bas du dos et un chapeau est partiellement rabattu sur sa tête. Un sinistre individu qu’il ne faut pas approcher, manifestement. Qualifié de mercenaire par certains habitants locaux qui ont observé son passage silencieux.

Les armes à sa tailles et sortant de son sac amplifient cette impression bestiale de l’homme qui tourne en rond depuis qu’il a surgi de la gare. Il semblerait qu’il sache hurler comme un animal. Voila ce qu’ils ont en face, un monstre étranger se cachant sous les traits d’un colosse terrifiant. Un homme sans barbe, mais sinistre, chassant sans doute une prime dans cette ville.

En fait, tu n’ose tout simplement pas demander ton chemin, parce que tu n’a aucune idée d’ou pourrait se trouver l’atelier de ce mécanicien fabricant d'automail dont tu as entendu parler par un autre buveur d’alcool que tu as croisé le lendemain de ton facheux accident. Son bras en acier , comme celui de ton assaillant t’avait impressionné. Puis, à défaut d’avoir ton bras, il t’en fallait un nouveau pour pouvoir te présenter au travail sans baisser l’echine de honte.

En moins d’une semaine, tu avais rencontré des gens hauts en couleur , mais pas tous amicaux. Cette sensations étrange qui te prenait dans l’espace ou se trouvait auparavant ton bras était particulièrement dérangeante. Gabriel Lucky, le médecin qui avait soigné ton pauvre moignon voulait de garder à ses cotés, mais tu lui as promi de revenir le voir des que tu aurais ton nouveau bras. Et foi de Flynn Anders Varric Dorian Blackwall Hawke, tu tiens toujours tes engagement. S’il t’arrivait de rompre un serment, tu t’en mutilerais une phalange de doigt.

Pour l’instant, ta main droite était intacte, mais ta main gauche manquait un doigt. Tu es celui qui as arraché ce doigt parce que tu n’a pas tenu un engagement. Tu ne te souviens plus lequel, mais tu ne veux plus le rompre à nouveau. Ces gens qui ont si peur de l’homme que tu es devenu ne comprennent rien. Tu es un protecteur solitaire loin de chez lui, un sergent préparer à servir un peuple qui a besoin de protection face aux criminels comme cet homme qui t’a privé de ton bras.

L’homme souffle du nez et reprend son chemin après avoir admiré la vitrine d’une boutique de patisseries pour quelques instants dans lequel il s’est attardé à ses pensées. Il avance, confus, puis birfurque finalement dans une rue qu’il n’a pas encore sillonnée. Flynn s’y enfonce, comme dans un labyrinthe et observe le moindre recoin à l’affut de la boutique qu’il cherche. Il y a bien plusieurs ateliers d’automails, mais il en cherche un tres spécifique.

Puisqu’il lui a été référé, il préfère aller voir la en premier. Ce n’est pas son genre de ville, il préfère Central ou North City. Ses sens sont moins alertes dans le Sud, comme si quelque chose pesait sur lui. Un peu comme le désert, mais beaucoup plus dillué. Sa pensée est moins claire et ses pas plus lents que dans le Nord. Il ne s’y sent pas a l’aise tout simplement.

Despair Paradise, voila le nom de l’endroit qu’il cherche et , tandis qu’il échappe son papier, il relève le nez et se trouve face à elle. Un atelier dans lequel traine une voiture qui ne semble pas vraiment acceuillant. Charmant, exactement le genre d’endroit ou l’on pourrait te voler tes effets personnels. Il souffle un coup et entre tout en cognant contre un mur de sa main.

“ Monsieur Jake, Flynn aurait besoin de vos services pour un automail. Une conaissance a indiqué votre adresse , donc Flynn est venu pour son bras gauche, hauteur mi-biceps. Si possible un modèle adapté au climat de Briggs, si jamais Flynn veut retourner voir son ours apprivoisé. Votre prix sera le prix de Flynn, il ne vient pas les poches vides. “

Il a entendu des mouvements de la part de l’homme sans le voir. Le nom, il l’a entendu de ce client de taverne. Si les choses s’enveniment, Flynn sait parfaitement se battre même sans son bras gauche. Il ne faut pas le prendre pour un simple niais non plus, son apparence a beau ne pas réfléter sa personnalité, elle est la réflexion de son style de combat. Impulsif, fort et efficace, comme un ours au combat. Il a entendu de nombreux préjugés au sujet des Drachman, dont il partage l’accent, mais il est bien Amstrien, sans aucun doute.

Si cet homme ne peut pas l’aider, il cherchera ailleurs et appellera au quartier général pour signaler un retard. D’ailleurs, il lui faudra demander à son futur colonel comment il doit procéder pour rapporter une attaque sur sa personne. La montre qu’il a lui indique 13h d’un simple coup d’oeil. Si cela se termine rapidement, il pourra prendre le dernier train de la journée et arriver à temps à Central pour ne pas être en retard.
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[5 novembre 1914] Mon royaume pour un bras [pv Zearth]

MessageSujet: Re: [5 novembre 1914] Mon royaume pour un bras [pv Zearth] [5 novembre 1914] Mon royaume pour un bras [pv Zearth] EmptyMer 28 Mar - 19:06
  • Jake Jefferson
  • Flynn

Mon royaume pour un bras.
Jake était sous une voiture en réparation. Son client l'avait amené durant la matinée en lui demandant de réparer les freins et faire quelques changements pour améliorer ses voyages. Une bonne semaine pour tout la liste. Un défi que Jake avait relevé haut la main. Les doigts dans le nez pour lui. L'homme à la crinière sombre tâtonna sur le sol pour chercher un tournevis, mais ne le trouva pas. Un grognement se fit entendre avant qu'il ne sorte de sa cachette pour retrouver l'objet des yeux. Finalement, en restant assit sur le sol, ses vêtements tâchés par des traces de cambouis, il jeta un coup d'oeil dans un coin de l'atelier pour voir une petite masse sombre avec des grands yeux, regardant dans sa direction.

« Lily... »

Un soupire, presque un râle sourd dans le ton de sa voix. L'animal qui était dans un coin, tenait le fameux tournevis dans sa gueule et son arrière train se mouvait comme pour montrer son envie de s'amuser avec son maître. L'humain soupira longuement avant de se lever et s'étira longuement pour calmer un mal de dos. Jake s'approcha du chaton chapardeur et tendit la main pour tenter de récupérer son outil. Malheureusement, la bête ne l'entendit pas de cette oreille et se mit à gambader à travers l'immense pièce, déambulant entre les plans de travail et les caisses de matériel. Son propriétaire plissa des yeux et se mit à la poursuite de la petite boule de poil.

« Lily, fais pas chier et rends-moi ça ! Sinon je t'accroche au capot de la voiture et je fais une virée dans les montagnes à toute allure ! »

Il sauta presque au sol pour attraper le chat, mais Lily lui fila de justesse entre les doigts. Le mécano se releva et tenta de tendre un piège au voleur en faisant croire qu'il faisait le tour d'une caisse. Le chaton passa à droite et Jake eut le temps de sauter par dessus pour chopper le minou par la peau du dos et le soulever dans les airs. De son autre main, il attrapa le tournevis, mais le chapardeur le gardait fermement dans sa gueule et ses petites pattes poussaient les doigts de l'humain. Qu'il était joueur ce matou... Surtout quand Jake devait travailler.

« Si tu ne lâche pas, tu peux dire adieu à ta bouffe ce soir. Et pas la peine de pleurer dans les jupes de Mallory. »

Le chat commença à lâcher, mais il émit un grognement pour montrer qu'il n'était pas d'accord avec son maître.

« Ok, gardes le tournevis, mais ce soir tu peux te préparer à prendre un bain avec de la mousse avec moi et non avec la petite militaire. »

Lily plissa les yeux, comme si l'animal avait compris la menace qui planait sur lui. Quelques secondes plus tard, le tournevis se fit libérer et le chaton se mit à ronronner fortement. Tsss... Profiteur va ! Pire que son maître, hein ? Totalement. L'humain aussi avait ce genre d'envie. De plus, la petite squatteuse aux cheveux bleus qui vivait chez lui, était mignonne et le mécano avait du mal à calmer ses ardeurs face à la demoiselle. La raison ? Allez savoir... Il s'était longuement posé la question pendant des jours, mais au final... Il en avait mal à la tête à force de se poser des questions. C'était Zearth qui se posait des questions pas Jake.

Puis un bruit attira son attention. Quelqu'un venait d'entrer dans l'atelier. Un grand roux. Jake déposa le chaton sur son épaule, qui s'amusa à mordiller les mèches rebelles de son humain. Le grand type se présenta à la troisième personne et lui demanda un automail mi-biceps et capable de tenir au climat du nord pour aller voir un ours. Complètement con comme type ? Le mécano haussa les épaules et lança son tournevis dans un boite avant de s'approcher de l'inconnu. Il faisait sa taille, pas de quoi l'impressionner.

« Une connaissance, hein ? Retire tes vêtements du haut et je vais regarder ça d'un peu plus près. T'as de la chance, j'ai un automail qui pourrait faire l'affaire. Un client m'a passé commande, mais il est mort avant d'arriver ici. Enfin, c'est ce que j'ai entendu dire.»

Il pointa une partie de l'atelier avec une sorte de lit médical retravaillé pour les poses d'automail et une chaise haute pour que les clients puissent s'installer pendant les mesures. Jake s'éloigna pour aller au lavabo au fond de l'atelier pour nettoyer ses mains et ses bras sales, suite aux réparations de la voiture. Ce qui allait laisser le temps au type à la tresse de s'installer.

« C'est un ours qui t'as bouffé le bras ? Je vais prendre les mesures de ton bras  droit et regarder si ton bras gauche est apte pour les connections nerveuses, sinon je vais devoir te charcuter un peu pour avoir accès à tout ça. J'espère pour toi que t'as pas totalement cicatrisé sinon tu vas morfler mon gars. Je te dirais combien ça va te coûter à ce moment-là. Et t'as plutôt intérêt à avoir les cenz, sinon je te fous dehors en passant par la fenêtre, ok ? »

En revenant au centre de l'atelier, il attrapa un mètre et une loupe. Il traversa la partie garage pour arriver dans la partie plus vaste et un peu plus rangée où il faisait les automails. Si Jake était un homme ordonné, son atelier ne reflétait pas sa vraie personnalité. Après tout, il devait se faire passer pour un mécano grossier et une brute plutot qu'un amateur de livre et intelligent, utilisant l'alchimie. Zearth ne devait pas se faire reconnaître, surtout pas... L'ennemi n'était jamais loin.


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